« Ne
te préoccupe pas de ce que tu dois faire dans la matière, pour le moment, ce
qui importe le plus, c’est que tu apprennes à faire totalement confiance en ta
guidance intérieure, que tu puisses reconnaitre la voix de la sagesse en toi.
La
sagesse n’est pas une attitude rigide ou encore faussement détachée face aux
circonstances de la vie, aux autres, c’est la conscience de ce que tu es, de la
paix du cœur et de sa capacité à pacifier tout ce que tu es. Il ne t’importe
pas de t’occuper des autres dans la matière mais de ces autres "toi" à
l’intérieur ».
Je
suis tellement en joie, connectée à mon âme par le fait d’espacer les prises de
médocs que la sensation de bien-être intérieure m’inspire encore à écrire
mais comme le soleil brille et que la température est douce, je vais d’abord en
profiter et reporter à plus tard l’écriture.
C’est clair que cette habitude de
confier sur l’ordi tout ce qui me passe par la tête au quotidien constitue à la
fois un stimulant et une aide pour le mental qui structure la pensée, concentre
l’énergie, mais en même temps, ça m’éloigne de la réalité tangible ou de
l’action dans la matière.
Le juste milieu est à trouver mais là encore, sans
forcer, juste en continuant de me maintenir dans la paix et l’unité
intérieures.
Ce moment d’écriture est une façon de démarrer la journée avec un
mental remplit d’enthousiasme du fait d’être dans la passion. La vibration qui
me porte est alors celle de la joie et le goût de passer à l’action vient dans
l’élan spontané, motivé aussi par le goût du changement.
L’effet duel ou
contraste sert le bien-être lorsqu’on est porté par l’inspiration, lorsqu’on
suit l’élan à changer d’activité sans s’y obliger, simplement par évidence, par
goût.