mercredi 2 novembre 2016

« Crédibilité » Jamye Price





Êtres Bénis, alors que vous observez votre monde, vous créez une structure d’interprétation et d’interaction. 
Il est important que votre structure intérieure soit fluide, adaptable et fiable.
Tous les humains commencent en étant influencés par ceux qui les entourent. 
C’est nécessaire afin d’initier une connexion / une compréhension de points de vue extérieurs. C’est ce qui relie le soi intérieur aux autres à l’extérieur. 
En grandissant et en prenant de l’âge, votre focalisation change et vous n’êtes plus influencé par l’extérieur – qui peut aller de la famille aux amis, des amis aux collègues, ou toute combinaison de groupes extérieurs.

Sans l’effort d’individualiser, vous pourriez maintenir un semblant de structure intérieure, cependant elle serait fortement influencée par ceux qui vous entourent. Les compétences de discernement seraient principalement basées sur des influences passées plutôt que dans le moment d’interaction. Ce manque de confiance intérieure et de discernement crée un besoin de dominer certains et un besoin d’en suivre d’autres.

lundi 31 octobre 2016

« Les rôles du triangle dramatique ou triangle de Karpman »





30 10 La nature pour s’épanouir, a tout autant besoin de la fraicheur de la nuit que de la chaleur du jour. Cela illustre les besoins essentiels de l’humain, ce besoin d’équilibre, de complétude qui se nourrit dans le centrage, la communion avec l’âme. Puis c'est aussi le reflet de la nécessité d'honorer le besoin de sommeil, de détente, de régénération. Savoir répondre au besoin fondamental de sommeil et de repos semble évident cependant, on se laisse facilement distraire et très souvent, c'est le mental qui est stressé et qui mène la danse selon ses stratégies. Rien d'autre que la paix du cœur ne peut le calmer vraiment et en ce sens, la médiation, la relaxation, sont des outils concrets très utiles. Utiles si on se contente de respirer calmement, de se détendre physiquement sans rien chercher d'autre que cela.

On a tellement ajouté d’étiquettes, de concepts à la vie, au divin en nous, que lorsqu’on se rend compte que ce sont des interprétations illusoires de la réalité, on peut se sentir perdu. La première illusion c'est de s'identifier au rôle, au personnage, à la souffrance, aux pensées et aux émotions troublées. On le fait sans arrêt, sans même s'en rendre compte et tout naturellement, on a l'impression de subir.
Et ce qui peut sembler déroutant finalement nous libère des attachements, du besoin même de s’attacher à ces rôles, ces croyances, qui nourrissent la souffrance. 
Plus on tente de définir et de saisir le sens de la vie et plus il nous échappe. Et c’est tout naturel parce qu’il ne s’agit pas de se figer, de s’accrocher à la vie mais de se positionner dans le cœur afin de se laisser porter par son flux, son mouvement. 

Rien de tel que d’être face à la peur pour la démystifier. La peur de la peur, de la mort, la peur de la perte, du manque, apparaissent peu de choses finalement quand on voit que c’est éphémère, que tout passe et se transforme continuellement. 
Le temps devient un allié quand on s’abandonne en confiance à la paix du cœur, en ce lieu où tout s’équilibre et s’harmonise. 
On perçoit difficilement la paix lorsque les pensées émotions sont confuses pourtant, elle est toujours là. 
Si déjà on sait cela par expérience, on s’accrochera moins aux pensées troublées ou critiques.

dimanche 30 octobre 2016

« Quoi faire dans les moments de doute » les guides de l’unité via Daniel Desjardins





Très chers humains,
C'est toujours avec Amour que nous nous adressons à vous. Tout particulièrement aujourd'hui. La tempête fait rage dans vos cœurs, dans votre monde. 
Il y a de plus en plus de dualité qui s'affronte, et pour les porteurs de lumière comme vous il y a des moments de doute, de désespoir. 
Certains d'entre vous ont parfois même l'impression d'être comme mort, impuissant, comme si tous les efforts que vous aviez mis jusqu'à présent ne semblaient pas porter fruit, alors que certains perçoivent le soleil à l'extérieur et gambadent joyeusement avec nous. 

Aujourd'hui, nous nous adressons à vous tous, autant ceux qui voient la lumière que ceux qui semblent l'avoir perdu de vue. 

Nous voulons vous rappeler que le plus important pour vous, êtres humains incarnés, est de retrouver toujours ce lien à votre Source, à votre Divinité, afin de retrouver et percevoir cette lumière qui filtre de votre Divinité jusqu'à vous, à travers vous sur Terre. 

Et malgré que les choses semblent être en désarroi à l'extérieur de vous, et peut-être même dans votre vie en ce moment, tout cela n'est que temporaire, tout cela n'est que le reflet de cet ancien monde, ces anciennes énergies qui s'écroulent, mais qui se battent encore pour exister, mais qui n'ont plus rien sur quoi s'accrocher.

samedi 29 octobre 2016

« L’amour divin ne rayonne pas dans la contrainte, il ne se mérite pas, n’exige aucun acte de notre part ».





Ces dernières 24h m’ont encore amenée à comprendre quelques notions essentielles et à constater que j’agissais selon des croyances erronées. C’est toujours le même procédé, quelque chose me contrarie, un symptôme physique se manifeste m’amenant à vraiment lâcher prise et à pouvoir ainsi comprendre le message de l’âme, a le comprendre de tout mon être et pas seulement par l’intellect.
Celui qu’elle nous adresse en toutes circonstances, c’est de nous aimer véritablement, entièrement, tels que nous sommes ici et maintenant.
C’est la plus grande "mission" que nous ayons ici-bas puisque l’amour inconditionnel est un des attributs de la conscience, du divin en soi. C’est en même temps l’essence de l’être et le révélateur ou la manifestation de notre nature véritable.

J’ai eu une douleur continue au cœur jusqu’à ce matin et par réflexe, j’ai cherché la cause physique, la raison ou le mauvais comportement qui en était à l’origine.
J’ai offert à la source, la peur de mourir, la culpabilité et tous les sentiments qui viennent lorsqu’on est face à la douleur, l’incompréhension.
Puis ce matin, j’ai ouvert le dictionnaire des causes métaphysiques des malaises et maladies de Lise Bourbeau et en lisant ce qui concerne la douleur à la poitrine, quelques larmes ont coulé. J’ai vu que je tentais encore de contrôler et de mériter l’amour en changeant mon comportement plutôt que de lâcher l’auto jugement en étant juste dans l’acceptation de ce que je suis en totalité. Addiction comprise.

jeudi 27 octobre 2016

« Observer sa propre transformation de l’intérieur, de l’Un terre rieur, l'Un sur terre de jeu/je »






26 10 Quand on se tourne vers la spiritualité, on tombe sur toutes sortes d’infos qui parlent de l’âme, de chemin de vie, de mission d’âme, de mondes subtils, de dimensions supérieures, de sorties de corps, de hiérarchies célestes, d'anges, d'archanges, d'âmes et de flammes jumelles…toutes sortes de visions s’offrent à nous et dans cette profusion d’infos, il est difficile de savoir qui dit vrai.
Et si c’était l’occasion de s’interroger, de se tourner vers l’intérieur plutôt que de chercher au dehors ? Et si tout cela avait pour but de nous amener à chercher et à reconnaitre notre propre vérité ?

La vérité de la personnalité est par nature subjective et dans le contexte de la dualité, on peut extraire notre nature véritable de tous les jeux de rôle, trouver notre singularité, en apprenant à reconnaitre les masques adoptés par les humains. Ces rôles sont universels, tout comme les archétypes qui portent chacun une combinaison d'énergies spécifiques, de potentiel de réalisation.
Trouver notre vrai moi en apprenant à discerner le vrai du faux, l’être véritable des masques, en apprenant à ressentir les différentes fréquences vibratoires, les énergies qui portent chaque rôle, chaque pensée, chaque émotion et distinguer celles du cœur, de l'âme, de l'esprit. Voilà à mon sens, la première raison d'être de l'âme, de son désir d'incarnation.

Les trois rôles principaux ou forme d’état d’esprit, dans ce théâtre grandeur nature, sont ceux du triangle de Karpman : la victime, le bourreau et le sauveur.

mercredi 26 octobre 2016

« Quand la personnalité s’aligne à la géométrie sacrée de l’âme »





25 10 Apprendre à se connaitre, à se reconnaitre et à trouver un sens à sa vie, voilà un programme intéressant et infini. Le but est ce qui met en mouvement mais il n’est pas une fin en soi ni ce qui mène au bonheur. L’objectif permet de trouver l’enthousiasme qui va faire du parcours un chemin épanouissant. En ce chemin, on va apprendre à aimer, à s’aimer et à se respecter. 
Se respecter, à mon sens, c’est d’abord s’écouter, se fier à son intuition sans négliger les besoins de tous les corps. C’est apprendre à se connaitre de l’intérieur, à savoir comment nous fonctionnons et à porter un  regard bienveillant sur soi-même malgré nos attentes insatisfaites.
Savoir qui nous sommes au niveau physique, subtil, personnel et essentiel, révèle le sens de notre vie, notre raison d’être. Savoir au niveau sensoriel, intellectuel et surtout spirituel nous permet d’avancer avec confiance et enthousiasme. Mais au début, cette confiance est fluctuante, au gré des pensées émotions, elle peut basculer vers le doute en quelques minutes. 
On peut néanmoins se détendre en se disant que la psyché humaine est si complexe, la constitution de l’humain divin si complète que vouloir se connaitre en totalité et miser sur cette connaissance pleine et entière pour être heureux revient à espérer gagner au loto.

lundi 24 octobre 2016

« La responsabilité de l’humain face aux circonstances de la vie »





Je suis de plus en plus déterminée à passer à l’action, à utiliser les outils que mon âme m’a donnés, maintenant que je comprends mieux comment fonctionnent les systèmes internes, les rayons, la guidance, et surtout ce que je suis en essence et en totalité. 
Depuis l’enfance, une des croyances fausses, élaborée à partir du drame, c’est que le joie devait venir de l’extérieur. Je portais tellement de tristesse, de colère, de regrets, que je ne pouvais pas sentir la joie naturelle. Les drogues puis les médicaments venaient nourrir à la fois la croyance et en même temps me coupaient de la joie véritable, celle qui vient de la connaissance de soi, de la connexion à la source. 

J’ai donc décidé hier de diminuer la dose mais cette fois-ci, en utilisant les rayons comme des initiateurs et amplificateur de ce choix. Je sais qu’à chaque fois que je diminue de quelques milligrammes, ces émotions et pensées troublées, celles qui entretiennent les croyances relatives à la victime impuissante, se manifestent. Mais à chaque fois, l’idée d'impuissance et la croyance en un parcours de délivrance difficile, m’empêchaient de passer à l’acte ou du moins d’aller au bout du processus de sevrage. 

Maintenant que j’ai vérifié maintes fois le pouvoir de la reconnaissance et de la confidence à la source, maintenant que j’ai admis qu’il n’est pas nécessaire de souffrir pour lâcher une addiction, pour laisser émerger l’être véritable, maintenant que j’ai confiance en mon âme, en son amour et son désir de voir la personnalité heureuse, épanouie, je me sens capable de surmonter ce que j’appelais l’obstacle ultime.