Je
suis de plus en plus déterminée à passer à l’action, à utiliser les outils que
mon âme m’a donnés, maintenant que je comprends mieux comment fonctionnent les
systèmes internes, les rayons, la guidance, et surtout ce que je suis en
essence et en totalité.
Depuis l’enfance, une des croyances fausses, élaborée à partir du
drame, c’est que le joie devait venir de l’extérieur. Je portais tellement de
tristesse, de colère, de regrets, que je ne pouvais pas sentir la joie
naturelle. Les drogues puis les médicaments venaient nourrir à la fois la
croyance et en même temps me coupaient de la joie véritable, celle qui vient de
la connaissance de soi, de la connexion à la source.
J’ai donc décidé hier de
diminuer la dose mais cette fois-ci, en utilisant les rayons comme des
initiateurs et amplificateur de ce choix. Je sais qu’à chaque fois que je
diminue de quelques milligrammes, ces émotions et pensées troublées, celles qui entretiennent
les croyances relatives à la victime impuissante, se manifestent. Mais à chaque
fois, l’idée d'impuissance et la croyance en un parcours de délivrance difficile, m’empêchaient de passer
à l’acte ou du moins d’aller au bout du processus de sevrage.
Maintenant que j’ai
vérifié maintes fois le pouvoir de la reconnaissance et de la confidence à la
source, maintenant que j’ai admis qu’il n’est pas nécessaire de souffrir pour
lâcher une addiction, pour laisser émerger l’être véritable, maintenant que j’ai
confiance en mon âme, en son amour et son désir de voir la personnalité
heureuse, épanouie, je me sens capable de surmonter ce que j’appelais l’obstacle ultime.
J'ai déjà bien diminué les doses mais je sens que l'heure est venue de lâcher définitivement ce réflexe. J'ai suffisamment confiance bien qu'il subsiste quelques craintes et en offrant tout à la source, elles vont nourrir la foi.
On
pense que le mental nous empêche d’avancer, qu’il nous maintient dans l’impuissance
mais en fait, c’est parce qu’on le connait mal, on s'en méfie et parce qu’on ne sait pas gérer nos mondes intérieurs.
La joie est l’état naturel de l’âme, de l’enfant
intérieur, et il ne s’agit pas de la provoquer mais d’aller la chercher au-delà, à travers même de la peur et des illusions. D’apprendre
à laisser les émotions s’exprimer, quelles qu’elles soient, afin que la vision
change à leur sujet et que l’énergie de vie s’écoule plus librement.
Depuis
ce matin, des pensées de tristesse, une sorte de mélancolie et de fatigue se
manifestaient et au lieu de croire que c’était mon état naturel ou encore que
je ne pouvais rien changer, je me suis rappelée que j’avais supprimé une petite
quantité de produit, hier. Je sais qu’à chaque fois ça laisse certaines émotions
sortir et maintenant que je sais que c’est le processus normal de libération,
que ce qui s’exprime demande juste à être vu depuis l'espace serein du cœur, j’ai
offert à la paix du cœur ces pensées émotions.
Je devrais plutôt dire que je me
suis contentée de les laisser s’exprimer, de laisser quelques larmes couler,
sans raisonner, en sachant juste avec certitude et confiance, que c’est un
processus libérateur.
Au
lieu de me dépêcher de prendre un premier bout de cachet pour ne pas sentir les émotions de tristesse, je me suis posée pour
accueillir ce qui montait et j’ai confié à la source le fait que je ne voulais
plus martyriser mon corps physique, que je voulais laisser la joie véritable
trouver son chemin.
La médiation de Deepak Chopra a été un soutien puisque ça m’a
rappelé l’essentiel et ainsi calmé le mental, tout comme l’utilisation des
rayons blanc, vert et de la lumière dorée, hier soir.
Je sentais de l’énervement et
en même temps je craignais d’avoir du mal à m’endormir alors j’ai visualisé ces
énergies qui m’enveloppaient, je me suis laissée guidée. Je me suis endormie facilement mais la nuit a été
mouvementée. Malgré tout je n’étais pas démoralisée au réveil.
Savoir
ramener la paix au niveau du mental est essentiel parce que c’est souvent là qu’on
se laisse impressionner par les croyances passées. Et quand le mental ressasse,
les émotions associées s’expriment mais au lieu de les laisser faire, on les
bloque, on les rejette ou on les juge. De ce fait, on leur donne plus de poids,
on s’y attache alors même qu’on souhaite les voir disparaitre.
Maintenant, le fait d’écrire, de revivre le processus en détail et surtout de sentir à nouveau la paix du mental par cette forme de structuration des pensées, l’idée de prendre un bout de cachet s’est estompée naturellement.
Je
prends l’habitude de m’ancrer en profondeur dans ce ressenti paisible plutôt
que de suivre le fil des pensées qui dès le matin vont relater tout ce qui a
été vécu de négatif la veille. En ce moment, la connexion Internet déconne et
cela fait émerger de la colère, de l’incompréhension que je ne réprime pas. Je ne
laisse pas non plus ces émotions m’envahir, je les confie à la source et par le
fait, je m’en dissocie.
J’ai
fait le test proposé par orange pour détecter d’éventuelles pannes, savoir d’où
ça vient au niveau physique et l’idée qui m’est venue alors que j’ai confié ce que
laissait émerger cette situation, m’a été confirmée par le résultat du test. L’idée
de vérifier les branchements et d’arranger les fils qui sont emmêlés m’est
venue spontanément alors que j’offrais à la source mes pensées troublées.
Des pensées qui nourrissent les croyances
négatives envers la vie, l’idée qu’elle m’en veut ou que ce qui arrive est là
pour m’écraser, me ramener à l’humilité.
Dans un sens ça n’est pas totalement
faux mais le but premier en toute expérience, c’est de m’amener à me tourner
vers le cœur afin d’y puiser la force qui nait de la confiance absolue en l’âme,
en la source.
Il y a d’une part la vibration qu’on porte qui va donner une
teinte particulière à la situation qui va nous faire interpréter les faits et d’autre
part la réalité qui est ce qu’elle est.
Tant qu’on lutte contre ce qui est ou
encore qu’on croie qu’on est responsable, que c’est notre état d’être qui a
provoqué les choses, on est coincé dans l’illusion. Notre état d'être influence la réaction qu'on aura face à ce qui advient, la façon dont on va le vivre et l'interpréter et ça s'arrête là. C'est cependant déterminant puisque selon notre réaction, notre positionnement intérieur, notre vision, nos pensées et nos actes seront influencés par le taux vibratoire, l'énergie prédominante.
On
n’est pas responsable des faits au niveau de la personnalité même si c’est l’âme
qui créé des situations spécifiques.
Elle agit à un niveau subtil et jusque
dans la matière, par le fait qu'elle ait une vision élargie de la vie et d’être
reliée aux âmes.
La façon dont elle opère nous échappe totalement ou tout au moins on ne peut qu'en avoir le pressentiment et se croire
responsable de ce qui arrive est à mon sens une vision égotique, disproportionnée
et décalée de la réalité.
Cependant en venant au cœur par la communion avec l’âme,
on peut entrevoir comment elle opère, recevoir la confirmation qu'on peut lui faire confiance mais l’interprétation de son intervention sera
toujours aléatoire parce qu’on n’a pas une vision suffisamment claire et vaste
de la réalité ou des mondes de l’âme pour savoir comment elle agit ou ce qu’elle
fait. Et par-dessus tout, ça n’est pas l’affaire de la personnalité de chercher
à savoir ce que fait l’âme et encore moins d'endosser la responsabilité de ce qui advient.
Le
rôle de l’ego ou du mental, ou de la conscience humaine, c’est de clarifier la
vision et surtout d’apprendre à faire confiance à la source afin de lui confier
le soin de remettre de l’ordre en soi au niveau énergétique, au niveau des pensées
et des émotions.
L’ego est amené à comprendre que l’essence divine, l’âme et la
conscience qui l’ont créé tout comme le corps physique, sont les meilleurs
guides en qui il peut placer sa confiance. Une confiance absolue qui s’acquiert
au fil du temps dans la proximité et la confidence.
Peu
à peu, on va s’identifier à l’âme plutôt qu’à la personnalité seulement et c’est
par le nettoyage, la pacification et l’harmonisation des corps mental,
émotionnel, éthérique, que cela se réalise. Par la connaissance intime dans cette connexion consciente à la source,
on prend conscience de qui on est
en vérité au-delà des pensées, émotions, au-delà des mouvements internes chaotiques et en ce mouvement qui n'est autre que l'énergie de vie qui tente de se frayer un passage.
Et en même temps, on comprend l’importance
de chaque corps, son rôle indispensable et sa place selon l’ordre divin.
Ce n’est
pas une hiérarchisation selon la loi du plus fort à la façon des humains, mais
une position selon la fonction liée aux capacités inhérentes à chaque aspect de
l’être.
Soit
on se laisse guider par l’ego parce qu’on
est identifié à la personnalité, soit on fait confiance à l’âme, à la source,
mais bien évidemment cette confiance est aveugle puisque tout passe surtout par
le ressenti, la sensation, l’intuition. Aveugle parce qu'on ne sait pas de quoi demain sera fait, on n'a pas la vision du futur.
La foi commence généralement par cette
sensation interne d’être plus vaste que ce que notre vue perçoit et elle s’exprime la plupart du temps,
dans le cadre religieux, par la prière ou selon d’autres traditions comme celle
des chamans, des orientaux.
L’idée
d’un dieu supérieur et autoritaire, extérieur à soi, à qui il faut plaire est
couramment admise mais c’est une distorsion de la réalité, une vision humaine
de la source.
C’est clair que la conscience Une ou divine est largement supérieure à celle de l’humain mais on la considère trop comme une autorité à laquelle il faut obéir.
Il ne s’agit pas d’obéir par peur ou pour lui plaire, pour obtenir des faveurs, mais de réaliser que cette intelligence
est en soi, que c’est notre essence originelle, que la source, l’âme sont des
"parents bienveillants", des partenaires dans cette incarnation, que la reliance
est constante, permanente, et que nous n’en avons jamais été séparé. On n'a pas a mérité cette présence/essence mais juste à la reconnaitre à l'intérieur.
On perçoit la source comme la lumière et l’amour parce qu’en tant qu’humain, c’est notre façon de considérer ce qui donne la vie et qui la nourrit. Dans l'observation et la compréhension de la façon dont la vie émerge dans la nature on en déduit le rôle majeur du soleil, de la lumière.
La lumière, c’est ce
qui éclaire, ce qui voit tout, ce qui illumine et ce vers quoi toute la nature
se tourne, c'est cette énergie qui élève les plantes et l’amour peut être considéré
comme l’eau qui elle aussi nourrit le vivant. L’eau qui caractérise les
émotions, les sentiments et qui nous montre par sa nature fluide, que les
émotions ont besoin d’être exprimées. La lumière, c'est aussi l'amour, la chaleur, la douceur...une puissance qui peut aussi détruire...Mais je m’égare…
Utiliser
les rayons, c’est juste poser une intention appuyée par l’énergie correspondante, c'est une intention qui agit sur le niveau subtil, éthérique et psychique.
Il peut être suffisant de poser l’intention mais le fait de visualiser l’énergie
va aider à rester centré sur l’intention et agir aussi au niveau éthérique. C’est
un support pour le mental en même temps qu’un soutient dans l’invisible.
Je
me suis dit hier que mon âme m’avait guidée vers les enseignements des rayons
afin de me montrer que tout peut être facilité et d’abord par la résonance que
ce point de vue a éveillée en moi.
J’ai toujours su que la vie est joie,
liberté, fluidité, enfin qu’elle devrait l’être mais je portais tellement de
souffrance, d’énergies opposées à cela, que ça créait un conflit permanent à l’intérieur.
Maintenant que je goûte la paix à volonté, lol, tout se replace dans l’ordre à
l’intérieur.
J’ai
prévu d’aller payer le loyer, tout de même, il serait temps et de ramener la
plante que je m’étais offerte, qui perd ses boutons à longueur de temps. J’en ai
parlé à la fleuriste qui me l’a vendue et elle m’a dit de lui ramener pour la
changer. Je me suis sentie gênée mais en
fait je crois que je vais le faire. Après tout, j’ai fait de mon mieux
pour lui donner ce qu’il fallait et là encore, je ne vais pas culpabiliser.
J’ai
bien l’impression que mon âme m’aide à lâcher encore la culpabilité, à
comprendre où se situe la responsabilité de l’humain.
Même
si je comprends que c’est seulement au niveau de la vision et de l’interprétation
des faits que le mental a la main, j’ai encore tendance à croire que son
pouvoir est plus étendu.
Pourtant, c’est sûr que déjà le fait de savoir que je
ne suis pas victime, soumise ni aux gènes, ni aux émotions, change totalement
la vision, la vibration, mais c’est clair que la personnalité a du mal à
admettre ses limites.
Savoir que nous sommes d’essence divine ne donne pas plus
de pouvoir à l’humain, du moins pas un pouvoir dominateur. Le pouvoir c’est
dans la capacité de lâcher prise, de faire confiance à l’amour lumière en soi.
C’est là que la source peut agir, se manifester par le fait de se taire, de ne
pas écouter les pensées et de ne pas s’attacher aux émotions.
Le mental peut comprendre que les pensées et les émotions sont des énergies, l’expression filtrée de l’énergie de vie et qu’en laissant le cœur harmoniser l’ensemble, en se fiant à la connexion avec la source, la vie devient beaucoup plus fluide, facile, agréable, épanouissante. Et c’est dans ce parcours d’apprentissage, dans ce réflexe qui mène au centre, qu’on apprend à reconnaitre la guidance de l’âme, sa voix, sa texture ou son essence.
Bon
je rabâche encore mais cette répétition m’aide à garder le mental dans la
foi, et en ce moment, dans ce désir de plus en plus sincère de lâcher l’addiction
qui est l'expression de l'ego, de sa volonté de contrôler le vivant, l’énergie de vie en moi, ça n’est
pas un luxe.
Le
pouvoir du mental est celui de la focalisation dans le cœur, de la foi en l’âme,
en tous les corps perçus comme des partenaires et surtout de l’abandon du rôle
de chef.
Seule la source, l’âme et la conscience peuvent diriger l’individu de
façon juste et pour son bien-être, son épanouissement.
L’ego agit en dictateur
s’il se croit obligé de jouer les chefs mais en la proximité avec l’âme, il
apprend à se laisser guider par elle et une belle amitié, une connivence, une
complicité se créé peu à peu. Quand il admet qu'il n'a aucun pouvoir sur la vie, il lâche la pression en apprenant à faire confiance.
Je
suis contente et même émue aux larmes d’avoir pu offrir à la source les
pensées, de l’avoir laissée gérer les émotions que je n’ai pas bloquées par la
prise d’un bout de cachet parce que la libération de ce geste est là.
Je le
sais depuis que j’ai compris l’importance de l’offrande à la source de toutes
pensées émotions troublées mais il fallait que la confiance soit suffisante pour
que le désir émerge naturellement.
Ceci dit, je continue de faire selon l’élan
et la seule différence néanmoins considérable, c’est de me poser avant d’agir,
à chaque fois que l’envie de prendre un bout de cachet arrivera. Remplacer peu à peu les cachets par les rayons sacrés peut aider à faciliter le processus de libération. C'est une façon d'orienter le mental et de le soutenir énergétiquement, psychologiquement et vibratoirement. C'est un support qui permet de changer les croyances et de connaitre les énergies, une façon d'utiliser la reliance aux mondes invisibles, de faire de l'interconnexion entre les mondes, un atout.
Jusqu’à maintenant
j’ai trouvé des stratégies visant à limiter les inconvénients de leurs effets
comme le fait que ça me coupe de mon ressenti mais maintenant, je me sens
capable de laisser monter les pensées émotions qui enclenchent le geste
compulsif.
Ou dit autrement de devenir consciente de ce qui se passe à ce
moment précis, sans craindre d’être submergée.
La joie naturelle ne peut pas
être forcée mais elle s’entretient et pour qu’elle puisse se manifester, il est
essentiel d’apprendre à exprimer ses émotions comme le dit Deepak Chopra. Apprendre
à laisser s’exprimer les bonnes comme celles qu’on qualifie de mauvaises parce
qu'elles sont à la base, les unes comme les autres, l’expression de l’énergie de
vie qui est polarisée. Plus on contient la tristesse et moins la joie peut s'exprimer. Plus on veut manifester la joie en occultant la tristesse et plus on est dans l'illusion, dans une fausse joie, une joie superficielle, une joie de façade.
Ce qui les rend extrêmes ou polarisées, c’est le fait de les retenir, de
les sélectionner.
Tant qu’on n’apprend pas à les observer avec du recul, on en
sera l’objet alors qu’elles sont la matière, le matériau de la manifestation. En ce sens,
elles sont précieuses.
Des larmes continuent de couler pourtant je n’ai pas de pensée de tristesse ou de peur mais il semble logique que l’idée de lâcher la carapace chimique suscite des réactions inconscientes. Elles ressemblent à une forme de détente interne généralisée.
La peur et l’idée de
manque ont été à l’origine de ce geste alors il faut bien que ces énergies
soient libérées. Le fait que je ne cherche pas à comprendre ce processus en
profondeur est déjà énorme parce que ça montre que le mental est prêt à lâcher
le contrôle, qu’il est en confiance.
La
souffrance vient lorsqu’on ne sait pas quoi faire de ces pensées émotions qui
nous envahissent nous donnant la sensation d’être impuissant mais quand on sait
qu’on peut les confier à l’amour lumière en soi qui a le pouvoir de les
harmoniser, ça change tout.
J’en suis encore toute émue parce que maintenant je
me rends compte à quel point c’est facile. Le plus difficile, si on peut dire,
c’est de faire confiance à la source.
La vision humaine de la vie, les croyances collectives sont peu à peu remplacées par la vision enfantine et simple de ce qui est.
Maintenant que j'écoute l'enfant en moi, c'est à dire que je laisse les pensées émotions du passé s'exprimer sans les croire, je retrouve les énergies ou la vibration de l'enfant pur. Sa présence est maintenant une bouffée d'oxygène pour l'adulte encore limité par les croyances limitatives.
J'avance main dans la main tant avec l'âme que l'enfant et la sensation de sécurité, de complétude amplifie de jour en jour! J'ai été inspirée à regarder un dessin animé hier plutôt que de bloquer sur la rupture de connexion Internet et je vois que le goût de la liberté a été insufflé par ces images.
"Spirit, l'étalon des plaines" évoque le parcours d'un cheval sauvage qui se libère du joug de l'humain et cette histoire qui m'a émue aux larmes me montre que la guidance est constante puis qu'en suivant son intuition, on peut se faciliter le processus de libération. C'est encourageant de constater que l'âme et l'enfant s'associent pour aider "l'adulte" à intégrer plus de légèreté.
Finalement, j'ai laissé un message au propriétaire et reporté ma sortie à plus tard. Je préfère continuer de suivre l'élan porté par la joie tout en offrant à la source chaque pensée de peur, de doute, chaque critique.
Des pointes au cœur me font penser qu'une nouvelle vague d'énergie est en train d'être intégrée mais je ne cherche pas à savoir si c'est juste ou non, je confie la peur de la mort, de l'accident cardiaque, à la source. J'ai associé ces pointes qui viennent et partent subitement à l'ouverture de cœur et ça suffit à clamer le mental et de toute façon si c'est l'heure de partir, je n'y peux rien. Comme c'est l'âme, la Vie qui décident et comme la seule chose à faire c'est de nourrir la confiance en la source, je m'abandonne sans résistance à ce qui est. Dans la foi, l'abandon, je ne perçois plus cela en victime et ça, c'est essentiel.
C'est en tous cas une occasion de plus de faire confiance et de se détacher des circonstances qui changent tout le temps. Ce qui demeure, c'est la paix du cœur, la stabilité émotionnelle que je trouve en ce lieu.
"Spirit, l'étalon des plaines" évoque le parcours d'un cheval sauvage qui se libère du joug de l'humain et cette histoire qui m'a émue aux larmes me montre que la guidance est constante puis qu'en suivant son intuition, on peut se faciliter le processus de libération. C'est encourageant de constater que l'âme et l'enfant s'associent pour aider "l'adulte" à intégrer plus de légèreté.
Finalement, j'ai laissé un message au propriétaire et reporté ma sortie à plus tard. Je préfère continuer de suivre l'élan porté par la joie tout en offrant à la source chaque pensée de peur, de doute, chaque critique.
Des pointes au cœur me font penser qu'une nouvelle vague d'énergie est en train d'être intégrée mais je ne cherche pas à savoir si c'est juste ou non, je confie la peur de la mort, de l'accident cardiaque, à la source. J'ai associé ces pointes qui viennent et partent subitement à l'ouverture de cœur et ça suffit à clamer le mental et de toute façon si c'est l'heure de partir, je n'y peux rien. Comme c'est l'âme, la Vie qui décident et comme la seule chose à faire c'est de nourrir la confiance en la source, je m'abandonne sans résistance à ce qui est. Dans la foi, l'abandon, je ne perçois plus cela en victime et ça, c'est essentiel.
C'est en tous cas une occasion de plus de faire confiance et de se détacher des circonstances qui changent tout le temps. Ce qui demeure, c'est la paix du cœur, la stabilité émotionnelle que je trouve en ce lieu.
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr