jeudi 31 mars 2016

« Apprivoiser son univers, reconnaitre la valeur des corps, leur langage et leurs rôles »





Comme c’est bon de retrouver la santé ! Même si je suis encore dans la phase de toux grasse et comme c’est la dernière étape, je me réjouis d’avoir passé ce gros rhum en adulte responsable plutôt qu’en victime qui subit. 
Et ça change tout quand on considère son corps physique comme un allié, quand on lui fait confiance, quand on reconnait l’intelligence des cellules, leur capacité de régénération, quand on s’observe avec neutralité. 

Si j’enlève tous les jugements, les peurs, les critiques lorsque je regarde ma vie, je me dis qu’il doit m’aimer très fort ce corps physique pour être encore en vie aujourd’hui malgré toute la violence que je lui ai infligée, qu’il a une conscience paternelle et maternelle, et que cet associé, ce partenaire de vie est d’une fidélité, d’une loyauté incomparable.

Maintenant que je sais qu’il n’est pas seulement constitué de chair et de sang, et même cela est sacré, puissant, divin, qu’il est un ensemble complexe très sophistiqué dont la perfection se situe dans sa composition divine et l’harmonisation qui le régit, je porte un regard émerveillé sur ce que j’ai rejeté auparavant. Le seul fait d’écrire cela remplit mon ventre d’une douce chaleur et comme je sais qu’il est intelligent, comme je sais qu’il communique sans cesse avec mon esprit, mon mental et mon âme, je suis heureuse de l’habiter et de favoriser le nettoyage interne en libérant les énergies cristallisées par les croyances invalidantes basées sur la peur et la division.

mercredi 30 mars 2016

« Les 5 bienfaits insoupçonnés du jardinage sur la santé » Louise Col





Le bonheur est dans le pré, ou plutôt dans le jardin. Car on le sait peut mais lorsqu'on rempote, on fait du sport en plein air, et donc, on fait du bien à son corps. La preuve par 5 bienfaits réellement insoupçonnés du jardinage sur la santé. Et maintenant, plantez !

1– On brûle des calories
Lorsqu'on jardine, on s'entoure de superbes fleurs, on cultive ses propres légumes, et sans forcément s'en rendre compte, on pratique une activité physique. A tel point que les experts se sont amusés à faire quelques rapprochements entre ce loisir et certains sports. Ainsi, s'occuper de son jardin durant 45 minutes correspond à 30 minutes d'aérobic ou de course à pied, tandis que lorsqu'on tond son gazon avec une tondeuse à main, on dépense la même énergie qu'en faisant de la natation ou des exercices d'aérobic. 
Comparé à un sport doux, le jardinage permet tout de même de brûler 1 000 calories sur une période de 3h30. 
Une étude menée par un hôpital toulousain sur un échantillon de 1 200 personnes a ainsi montré que le jardinage favorisait la forme physique et l'entretien de la masse musculaire tout en réduisant les risques d'obésité. De quoi nous donner l'envie de remplacer nos exercices de cardio par un arrosoir et un chapeau de paille.

« La voie de l’autoguérison » : « Accueillir nos limites » vidéos d’Isabelle Padovani






Aujourd'hui 29 mars, est un jour particulier pour moi puisque je venais au monde. Cinquante et un an après ce jour important, je renais littéralement. Même si les contractions ont été douloureuses, étalées sur un demi siècle, ça valait vraiment la peine.
La chienne m’a offert un étron dans le salon et j’ai pu mesurer ma capacité à lâcher prise, à ne pas entrer en réaction face à une situation que j’aurais pu considérer comme l’expression de la vision de l’ado intérieure qui voyait la vie comme une épreuve et pour le dire carrément comme de la merde! 
Je sais que l’ajustement intérieur, l’unification des corps et les libérations énergétiques se manifestent dans la matière au travers de symptômes physiques, et contrairement à ce qu’on pourrait croire, c’est pour aller vers le meilleur. 

La manifestation dans la matière est le résultat final, la suite logique du travail interne et la période de pâques, le printemps propice à la renaissance sont des processus de mort qui mène à la résurrection.
Le christ a symbolisé ce processus au moment de la crucifixion qui représente à mon sens, l’abandon à l’amour lumière, le centrage, l’ancrage et la connexion (la conscience d’être une étincelle de la source, reliée à elle et en même temps, cette source elle-même), simultanés, au ciel, à la terre, au cœur. 
Le fait de se positionner au centre de l’être, dans la communion, l’unification corps-âme-esprit, au carrefour de la verticalité et de l’horizontalité, c’est choisir d’agir selon l’intelligence du cœur.

mardi 29 mars 2016

« Un Événement Miraculeux » Emmanuel Dagher





Mes amis magnifiques,
Je voulais que vous soyez les premiers à savoir que quelque chose de miraculeux était arrivé récemment.
On m’a demandé de parler et d‘animer une session de guérison globale aux Nations Unies à New York le 15 Avril 2016.
Je vous donnerai un peu plus de détails de sorte que – si vous êtes près de New York – vous puissiez me rejoindre ou bien joindre votre énergie / vos prières aux miennes lorsque nous élèverons la conscience de la planète ce jour-là.

Pouvez-vous le croire? Nous allons être littéralement au cœur de l’endroit où se fait la diplomatie mondiale et nous allons guérir les restes de densité qui peuvent encore y persister.

J’ai grandi pendant la première partie de ma vie au Liban qui était (à cette époque) un pays ravagé par la guerre et des choses comme cela ne semblaient même pas envisageables. 

Être passé d’une vie – où il n’y avait pas assez de nourriture à manger car mon enfance s’est déroulée dans un environnement de guerre, où il n’y a pas eu d‘électricité pendant des mois, pas d‘eau courante, pas de lit chaud pour dormir, pas d’amis pour jouer et aucune tranquillité d’esprit en ne sachant pas si je passerai un autre jour en sécurité – à une vie où le 15 Avril je vais être debout devant les Nations Unies et où je vais animer une session de guérison globale afin de soutenir la conscience collective grâce à la compassion et à l’amour … Wouah! Rien que d’y penser, j’en ai les larmes aux yeux.

« Renaitre entièrement unifié, comblé, conscient et bienveillant »





28 mars 
Bien que je sois encore affaiblie par le rhum, ma vision s’éclaircit et j’en arrive à me dire que la quête spirituelle qui attire de plus en plus de monde est une forme de fuite, de déni, qui peut éloigner de l'être Véritable, divin en soi ou potentiellement souverain. 

Les fêtes pascales ont mis en évidence le besoin général et ancestral de trouver un sauveur et bien que les églises aient moins d’influence qu’avant, ce besoin se reporte maintenant sur les êtres de lumière, les extra-terrestres, on continue d’espérer qu’une intelligence supérieure viendra nous sauver du chaos.

On a élaboré toutes sortes de stratégies pour éviter le mal-être intérieur, répondre aux angoisses existentielles, masquer les blessures d’enfance, au point qu’on ne sait plus qui on est vraiment et quel est le sens de notre vie. 
On se sent perdu, divisé, simplement parce qu’on ne se connait pas intimement. 

Ce qui était sensé nous protéger nous a finalement éloigné de l’être véritable, de l’être authentique, spontané et les relations humaines fondées sur le mensonge, la manipulation ont toujours été vécues dans la méfiance instinctive et réciproque.

lundi 28 mars 2016

« Accueillir sa vulnérabilité » & vidéos: Sylvain Didelot et Diane Baran





27 mars Ces deux jours consécutifs de fièvre, de toux, de douleurs physiques parfois intenses, me donnent la sensation d’être dans un monde parallèle, celui de l’adolescence, des rêves désillusionnés, cette période où on prend conscience de l’état du monde, de sa folie, des injustices, celle où on se sent perdu entre le monde de l’enfance et celui des adultes. 
La période pascale où on sacrifie un agneau est très symbolique et elle maintient en place l’idée qu’il faille trahir l’innocence, sacrifier l’enfant en soi pour devenir adulte. 
Même si l’idée du sauveur est évoquée dans ce rituel, les églises ont personnifiés ce "sauveur" à l'extérieur de soi et la notion de sacrifice a perverti le monde, créé toutes sortes d’injustices, de devoirs, d'obligations qui ne peuvent être perçus de façon juste sans la notion de responsabilité. 

Tant qu'on s'imagine qu'on a besoin de trouver en l'autre un sauveur, on ne se prendra pas en charge et on ne pourra donc pas se connaitre, reconnaitre son potentiel, savoir que nous sommes notre propre sauveur dans le sens où nous pouvons agir sur nos mondes intérieurs, cocréer notre état d'être. 

Plus le monde évolue dans le chaos et moins je trouve de sens à tout ça. J’ai l’impression d’être en pleine crise d’adolescence à écouter de la musique à fond pour ne pas penser à cette folie meurtrière. Même si ça peut sembler être une fuite, j'ai besoin de ne plus penser et de me laisser porter par l'élan qui nourrit la joie. Puis j’appelle la source père mère à consoler l’ado intérieure, à donner du sens à tout ce cirque. Il est clair que nous sommes face aux pires manifestations de l’humain et sans la foi en l’amour, il y aurait de quoi vouloir passer le portail de l’autre monde.

dimanche 27 mars 2016

« La carapace qui nous rend lents comme une tortue » les guides de l’unité via Daniel Desjardins





Très chers humains,
Aujourd'hui nous voulons vous parler de votre carapace. Cette carapace que vous portez trop souvent, car vos avez peur, vous croyez que vous devez vous défendre des autres, de la vie elle-même. Nous voulons aujourd’hui vous ouvrir les yeux et le cœur pour percevoir la réalité qui est toute autre. Vous n'avez besoin de ces carapaces que parce que vous croyez en avoir besoin. 
Nous voulons vous rappeler que vous créez votre réalité, TOUTE votre réalité. 
Tous les aspects de votre vie et votre réalité sont créés en co-création avec le reste de l’humanité et de la Vie, mais toujours selon vos croyances profondes. 

Si vous n’aviez réellement plus de croyances qui vous gardent dans une position de victime, mais qu'au contraire vous étiez conscient de votre divinité, alors vous sauriez que tout ce qui vous arrive, vous pouvez le changer. 
Tout ce qui se retrouve dans votre vie est tout d'abord en vous. 
Et lorsque vous le choisirez, les choses que vous n'aimez pas réellement, vous les changerez en changeant leur réflexion, ou plutôt leur source, en vous.