Le
bonheur est dans le pré, ou plutôt dans le jardin. Car on le sait peut mais
lorsqu'on rempote, on fait du sport en plein air, et donc, on fait du bien à
son corps. La preuve par 5 bienfaits réellement insoupçonnés du jardinage sur
la santé. Et maintenant, plantez !
1– On brûle des calories
Lorsqu'on
jardine, on s'entoure de superbes fleurs, on cultive ses propres légumes, et
sans forcément s'en rendre compte, on pratique une activité physique. A tel
point que les experts se sont amusés à faire quelques rapprochements entre ce
loisir et certains sports. Ainsi, s'occuper de son jardin durant 45 minutes
correspond à 30 minutes d'aérobic ou de course à pied, tandis que lorsqu'on
tond son gazon avec une tondeuse à main, on dépense la même énergie qu'en
faisant de la natation ou des exercices d'aérobic.
Comparé à un sport doux, le jardinage permet tout de même de brûler 1 000 calories sur une période de 3h30.
Une étude menée par un hôpital toulousain sur un échantillon de 1 200 personnes a ainsi montré que le jardinage favorisait la forme physique et l'entretien de la masse musculaire tout en réduisant les risques d'obésité. De quoi nous donner l'envie de remplacer nos exercices de cardio par un arrosoir et un chapeau de paille.
Comparé à un sport doux, le jardinage permet tout de même de brûler 1 000 calories sur une période de 3h30.
Une étude menée par un hôpital toulousain sur un échantillon de 1 200 personnes a ainsi montré que le jardinage favorisait la forme physique et l'entretien de la masse musculaire tout en réduisant les risques d'obésité. De quoi nous donner l'envie de remplacer nos exercices de cardio par un arrosoir et un chapeau de paille.
2– On réduit les risques cardiovasculaires
Cultiver
son basilic, tailler son rosier... quand on s'affaire dans son jardin, on se
connecte à la nature, on mémorise les noms des végétaux, on se situe mieux dans
l'espace, on se vide la tête et on fait même du bien à son cerveau et à son cœur.
Et oui, une étude menée en Allemagne a montré qu'en jardinant, on réduisait de 30 à 50% les risques de maladies cardiovasculaires. Car en jardinant, on pratique une activité physique qui entraîne une diminution de la surcharge pondérale et une réduction de taux de cholestérol. Ainsi, on réduit les facteurs de risques de problèmes cardiovasculaires. Une bonne nouvelle lorsqu'on sait que ces mêmes maladies sont la première cause de mortalité dans le monde.
Et oui, une étude menée en Allemagne a montré qu'en jardinant, on réduisait de 30 à 50% les risques de maladies cardiovasculaires. Car en jardinant, on pratique une activité physique qui entraîne une diminution de la surcharge pondérale et une réduction de taux de cholestérol. Ainsi, on réduit les facteurs de risques de problèmes cardiovasculaires. Une bonne nouvelle lorsqu'on sait que ces mêmes maladies sont la première cause de mortalité dans le monde.
3–
On réduit les risques de diabète
L'activité
physique a des effets positifs sur le diabète. En effet, elle sensibilise les
tissus à l'action de l'insuline, ce qui augmente son efficacité. Dans le même
temps, les muscles sollicités par l'exercice consomment du glucose. Son taux
dans le sang s'en retrouve donc abaissé. Les médecins estiment que 2h de
jardinage par semaine permettent de dépenser environ 500 Kcal et de diminuer
sensiblement son taux de glycémie. Au Canada, une étude a également montré que
la pratique régulière de jardinage réduisait de moitié les risques de diabète
type II.
4– On prévient le vieillissement
Vous
voulez rester jeune et fraîche comme la rosée du matin ? Alors direction votre
carré d'herbes. En effet, plusieurs études ont démontré que le jardinage
permettait de lutter contre le déclin des fonctions musculaires (associées au
vieillissement) et surtout, de réduire le taux de mortalité. Mieux qu'une crème
antirides !
5– On combat l'ostéoporose
Le
jardinage a également un effet positif sur l'ostéoporose, soit la perte de la
résistance des os. En 2000, une étude menée par des chercheurs de l'Université de l'Arkansas sur 40 000 femmes
(dont 3 000 âgées de plus de 50 ans) a démontré que le jardinage était la
deuxième meilleure activité physique (après le levé de poids) pour préserver la
qualité des os*.
Il faut dire que lorsqu'on bêche, taille, tond, arrose, on entretient la mobilité articulaire, on tonifie son corps et on travaille même sa souplesse.
Et ce n'est pas tout. Jardiner permet aussi de passer du temps au soleil et donc de favoriser la production de vitamine D nécessaire à l’absorption du calcium. Un verre de lait, un peu de rempotage, et le tour est joué !
Il faut dire que lorsqu'on bêche, taille, tond, arrose, on entretient la mobilité articulaire, on tonifie son corps et on travaille même sa souplesse.
Et ce n'est pas tout. Jardiner permet aussi de passer du temps au soleil et donc de favoriser la production de vitamine D nécessaire à l’absorption du calcium. Un verre de lait, un peu de rempotage, et le tour est joué !
*Selon l'article source en anglais, la consommation de thé serait aussi bénéfique pour les os. Bien que je connaisse ses bienfaits et que je n’aie pas besoin d’être convaincue, il y a quelques infos dans cet article qui viennent enrichir ma vision des choses et même si l’idéal, c’est d’agir de façon spontanée, de faire les choses depuis l’élan du cœur ce genre d’arguments peut aider ceux qui hésitent encore à se lancer.
On peut ajouter à cette liste, les bienfaits de cette proximité à la terre, à la nature, le fait que la relation consciente à la Terre, la mère de nos corps physique, aide considérablement à guérir l’enfant en soi, le manque affectif maternel, parce qu’on y cultive aussi la confiance en soi, en la vie, en l’incarnation.
On se sent en sécurité, aligné intérieurement et en harmonie tout comme l’est la nature, c’est une occasion de libérer des mémoires ancestrales, de se réconcilier avec la chair, la matérialité, de s’ancrer, d’être présent à soi, de développer la créativité, d’instaurer la paix en soi, de cultiver l’authenticité, la simplicité, la spontanéité, l’écoute du corps physique, de son intuition, d’apprendre à observer, à connaitre par l’expérience, à cultiver et amplifier la joie de l’enfant en nous.
Et cerise sur le gâteau on devient aussi autonome sur le plan alimentaire !
Ce n’est pas rien en ces temps de surconsommation où la nourriture est si frelatée, raffinée, polluée, pouvoir manger ses propres légumes est une façon de se prendre en charge sur le plan physique tout en lâchant la peur de manquer.
On se dissocie des lobbies de l’agroalimentaire, de l’influence des publicités, on peut acheter les autres produits de base de meilleur qualité puisqu’on fait des économies.
On va prendre du plaisir à cuisiner, développer la créativité aussi dans ce domaine et se réjouir de pouvoir partager; des graines jusqu’au produits finis, prêts à consommer.
Notre corps physique sera honoré à chaque étape et la joie qui augmente quand on fait les choses en conscience avec amour, viendra augmenter la qualité énergétique des aliments, élever le taux vibratoire.
Au final, c’est tout notre être qui en bénéficie !
La publication de cet article m’aide à patienter parce que le rhum n’est pas complètement terminé et j’attends de ressentir l’élan confiant pour y retourner. J’ai hâte de semer les graines reproductibles achetées chez Kokopelli et de pouvoir être autonome, du semis au compost jusque dans l’assiette ! Ces graines sont un peu plus chères que dans les jardineries mais on peut les utiliser à l’infini !
Merci
de laisser les références, les liens, si vous souhaitez diffuser cet article
dans son intégralité et de mentionner aussi ce blog (http://lydiouze.blogspot.fr )
afin d’honorer l’expression unique de chacune.