dimanche 13 décembre 2015

« Le chemin ou The Way » film; parcours initiatique & méditations guidées par Sophie Riehl





Les circonstances actuelles de ma vie, ce manque de confort, ce froid crispant, sont l’exacte manifestation de ma rigidité, de la dureté de cœur vis à vis de parts intérieures, le jugement et la critique quasi systématiques que j’exerce envers mon mental et mon corps émotionnel. Ce n'est pas réfléchit, pensé, mais c'est juste un réflexe interne de protection qui bien qu'il apparaisse obsolète à l'adulte que je suis, continue de s'activer lorsque je me coupe de l'amour en moi. Ou quand je me prend pour les souffrances, m'identifie au pensées émotions douloureuses et injustes.
Une fois de plus, les chats me reflètent mon état d’être intérieur en étant couchés ensembles sur mon lit. Bon, un mètre et demie les séparent mais c’est mieux qu’avant puisque la femelle collait des tartes au mâle quand ils ce croisaient dans l’appart alors qu’elle se couchait en signe de soumission quand ils se rencontraient dehors.

J’ai aussi retenu dans la vibraconférence de Sophie Riel, une phrase déterminante : « on ne peut accueillir le soutien de la vie si on est fermé intérieurement ». Il est vrai que j’ai tendance à me plaindre, à me révolter et de cette façon, à me fermer encore plus ce qui fait que je ne sens plus la bienveillance de la vie envers moi.

C’est avec le recul que je peux constater qu’effectivement, elle me donne tout ce dont j’ai besoin pour aller vers l’autonomie et c’est moi qui bloque le flux de la réception en exerçant le contrôle, en essayant de résoudre les choses par le raisonnement plutôt que de développer la confiance.

samedi 12 décembre 2015

« Transcender les douleurs » les guides de l’unité via Daniel Desjardins & Invitation à une méditation guidée






Il me semble utile d’ajouter l’introduction du message des guides d l'unité, reçu en canalisation, que Daniel Desjardins a faite, dans la lettre d’info hebdomadaire. Utile pour les raisons que je développerais plus bas.

« Cette semaine j'ai fait une demande spéciale aux Guides de l'Unité. Je vivais simultanément plusieurs situations que je trouvais mentalement difficiles. 
Je percevais que c'était seulement dans mon mental, mais j'avais réellement de la difficulté à me permettre de lâcher-prise. J'ai donc demandé aux Guides de l'Unité de me montrer comment changer tout cela. Ils m'ont fait percevoir la situation en images; je me voyais tenter d'avancer, mais je portais des salopettes gigantesques et remplies de cailloux. Oui, c'était vraiment comment je me sentais face à ces situations, cloué sur place sous le poids de ce que je tentais de trainer. Comment changer cela ? »

Les guides de l'unité:  
« Très chers humains, aujourd'hui nous voulons vous parler de ces lourdeurs que vous portez dans votre corps, dans votre esprit et parfois même dans votre cœur. 
Ces lourdeurs prennent plusieurs formes, des jugements, des résistances, des attentes, des projections dans le futur basé seulement sur ce que votre mental peut comprendre et plusieurs autres formes énergétiques difficiles à mettre en mots.

« La vie nous aime sans conditions, elle ne nous demande rien » vibraconférence de Sophie Riehl






La journée d’hier a commencé dans la confiance en la vie puis je suis passée par une phase de grande lassitude au point de perdre tout motivation à agir. Je suis donc allée me coucher sans complexes, six heures après m’être levée. 
Je n’insiste plus quand j’ai ce genre d’envie enfin de besoin, j’obtempère. Et ce mot qui appartient au vocabulaire guerrier n’est pas choisi par hasard ! 
La résistance à s’abandonner à l’amour, n’est plus perçue comme quelque chose à combattre mais je constate qu’il faut encore que j’arrive à l’extrême pour lâcher prise véritablement. 
ET il semble que ce soit nécessaire, puisque la résistance est une façon de revenir au centre avec un profond désir et en même temps elle me permet d’extérioriser tout ce qui s’est accumulé dans cet état de fermeture.
Un genre d’exercice qui va m’obliger à sortir ce qui est encore bloqué à l’intérieur parce que les stratégies d’évitement sont encore nombreuses bien que difficile à déceler. L'inconscient et le divin qui prennent alors le relais afin de libérer le passé.

Une fois que la tempête émotionnelle est passée, avec un peu de recul, je vois (enfin avec plus ou moins de clarté) que chaque étape du processus est nécessaire à ma libération. Comme si le mouvement de la vie amenait la personnalité et le divin intérieur à se rapprocher un peu plus, à s’éloigner pour mieux fusionner. Un genre de jeu d’équilibre entre les deux qui permet de s’expanser et de s’élever tout en gardant les pieds sur terre. 

vendredi 11 décembre 2015

« Le confort intérieur »





Ce matin, malgré le froid, j’ai chaud à l’intérieur et même si je peux me dire que mes croyances limitantes ont créé cette situation inconfortable, en me centrant dans l’unité intérieure, la chose apparait comme une forme d'initiation, une occasion de plus d'apprendre la maitrise des énergies en répondant aux stimuli, par le retour au cœur qui génère l'action juste, fluide et spontanée. 
Évidemment quand je commence à me plaindre, à me complaire dans le rôle de la victime, je vois les choses d’une façon négative et là, je souffre. 
Ce qui ne veux pas dire non plus que je vais sauter de joie en faisant mine d’ignorer la situation, en me voilant la face et en essayant de positiver à tout prix.

J’ai confié à la source, au vide, à l’univers, à mon cœur, que c’était éprouvant puisque ça me demande de trouver des solutions pour ne pas être figée par le froid et ça m’a ramené dans l’humilité, la douceur du cœur. 
Je vois les bénéfices de cette situation qui m’oblige à sortir de ma zone de confort, de mon train train et comme on développe ses capacités en s’adaptant, de ce point de vue, c’est plutôt bénéfique. 
J’y vois aussi les croyances que je continue de porter bien qu’elles m’apparaissent comme obsolètes mais je vois surtout que ça m’oblige à rester centrée en mon cœur, à y cultiver l’amour, la douceur et aussi à lâcher la colère qui monte parfois envers ces programmations.

jeudi 10 décembre 2015

« Reconnaitre et libérer »





Après avoir commenté le message des êtres de lumière, hier, en faisant l’éloge de l’amour, les reproches envers l’ego et le mental étaient à peine visibles mais bien présents. 
Et ça m’est apparu de façon violente, quand je me suis rendue compte que j’avais fait une fausse manipulation, par manque de concentration, perdant ainsi plus de 100 photos parmi lesquelles certaines que j’avais sélectionnées pour leur rareté. Certaines de Bilou (la chatte en voie de guérison qui m’accompagne depuis plus de dix ans) qui ne se laisse habituellement pas photographier facilement. 
Il semble vraiment qu'elle m’aide à intégrer les énergies féminines de façon équilibrée, par l’attention que je lui porte, le fait de maintenir la paix intérieure puisque son rétablissement semble liés à mon état d'être, ma vibration. Cette énergie féminine qui peine à trouver sa place en moi tellement l'ego est présent.

Je suis consciente d’avoir un ego plutôt fort ou une forte personnalité parce qu’utiliser ce mot « ego », si mal aimé de ceux qui cherchent l’amour lumière en eux, c’est encore nourrir la confusion et le conflit intérieur.

Depuis quelques jours d’ailleurs, l’idée que ce mot "ego" ne m’appartient pas, que je l’utilise seulement depuis que je lis des messages "spirituels", m’est venu en tête et je suis invitée à reconsidérer cet aspect de soi, par les yeux et l’énergie du cœur.

J’essaierais d'utiliser maintenant le mot "personnalité" pour désigner l’humain que je suis. Parce que finalement, toute étiquette nous fait perdre l’essence des « choses » et quand on permet à l’amour en soi de se révéler, de changer notre vision, tout apparait sous un nouveau jour ; de façon neutre et harmonieuse.

mercredi 9 décembre 2015

« Les exercices et les méthodes » les êtres de lumière via Monique Mathieu





Ici, sur Terre, allier le cœur à la raison est un exercice difficile, surtout lors de certains évènements pénibles à vivre. Pourtant c'est ce vers quoi nous devons aller, c'est à dire beaucoup plus de cœur dans nos réflexions, nos actions et notre vie. Pourriez-vous nous proposer des exercices qui rendraient la tâche plus aisée ?

« Vous, humains, qu'est-ce que vous aimez les exercices ! ...
Même s'il y a des difficultés dans votre vie, ce ne sont pas les exercices qui les résoudront ! C'est le regard que vous aurez sur vos problèmes, qui pourra les résorber ou tout du moins les rendre moins difficiles, c'est aussi le regard que vous aurez sur vous-même, sur la vie, sur les autres et sur les expériences de la vie !

Que pouvons-nous vous donner comme exercice, alors que la vie elle-même est un champ d'exercices permanent ? 
Bien sûr, nous pourrions vous donner une sorte de poudre de perlimpinpin et vous dire de faire ceci ou cela et qu'ensuite tout ira bien, mais ce n'est pas notre principe !.
Nous savons que certains marchands du temple (parce que nous les appelons ainsi) vendent de l'illusion, de l'irréalité, en vous faisant croire que si vous faites ceci ou autre chose tout va changer en vous, que tout ce sera plus facile. C'est de la poudre aux yeux !

« L'équilibre passe par le déséquilibre »






Ce que je vis en ce moment est assez particulier mais ça n’est pas non plus nouveau, il semble même que ce soit cyclique. Ce dernier point est la seule chose qui me rassure parce que tous mes anciens repères s’écroulent. Ce qui n'est pas mauvais en soi parce que ces repères sont des croyances qui par nature sont changeantes.
C’est comme une mise à jour de ces croyances et même plus que ça, un effondrement de certaines illusions. 
Mon côté radicale envisage encore plus ou moins les choses de cette façon pour le moment parce que je suis encore sous l'emprise de la dualité, enfin je la voie encore comme une contrainte, une réalité conflictuelle plutôt que comme un moyen, un outil. 

Mon interprétation de l’amour, du divin, des lois universelles, est en train de changer et pour le moment, c’est plutôt la phase rébellion, rejet, de ce qui m’apparait comme une chimère, une illusion de plus. 
En général, juste avant ces périodes de remise en question, je vois les choses d’une façon presque idyllique, l’espoir est à son comble, la sensation de voir clair et de comprendre la vie, ce que je suis, me poussent à vouloir me prendre en main. 
Mais comme c'est par la force, selon l'ego et ses stratégies, je me trouve face à ce que j'appelle une épreuve, parce que ça ne correspond pas à ce que je voulais, et ça vient tout remettre en question. 
Une bricole que je vais voir comme un obstacle immense parce qu’en fait ça fait voler en éclat mes certitudes, ça vient remettre en question ma façon de comprendre la vie et surtout le supposé libre arbitre, le pouvoir de la pensée... 
Avec un peu de recul et quand je retrouve mon calme, je me dis que je me suis encore laissée emporter par la peur, que je me suis fait un film alors je passe par une phase de colère, de culpabilité puis d’accusation.