samedi 17 octobre 2015

« Sortir du triangle de l’attraction terrestre « victime-sauveur-persécuteur » pour rayonner l’Essence-Ciel » Christelle





« Que sont ces rôles que nous interprétons sans grande conscience au sein de nos sociétés ? D’où proviennent-ils ? Qui, au cœur de qui nous sommes, définit ces rôles que nous jouons ? Qu’est-ce qui les alimentent ? Qu’est-ce qui leurs donne autant d’importance et de pouvoir au sein de notre existence ?

Quelle est la particularité de ces rôles que nous endossons ? 
Bien souvent de n’en être pas conscient, bien souvent d’être totalement envahi(e)s par ce qu’ils sont au point d’en devenir ce qu’ils sont. 
Mais cela définit-il pour autant qui nous sommes, ou cela exprime-t-il plus spécifiquement la nature de ce que nous sommes lorsque justement nous ne  sommes pas cela ?
Dès lors cela nous ramène à cette conscience qui est nôtre de ce qui se vit à travers qui nous sommes.

Lorsque nous expérimentons le triangle de l’attraction terrestre, cette structure de vie où tout est conditionné nous mettons en œuvre un ensemble d’automatismes, de mécanismes reproduits sans conscience, appris par cœur au fil du temps, dont nous sommes les structures qui sont engrammées par nos sociétés, par nos lignées trans-générationnelles,  par nos religions, par les images et représentations que nous avons de ce qu’est l’homme, et de ce qu’est la femme. 
Nous reproduisons mécaniquement cet ensemble de croyances, de conditionnements, de valeurs qui définissent l’être que nous sommes pour être conforme à la société, aux structures et être ainsi reconnu(e).

« Il n’y a pas de problèmes, d’ennemis, mais des révélateurs et des cocréateurs.






16 octobre ; Et bien aujourd’hui, la journée commence avec un problème à résoudre; la machine à laver a rendu l’âme ! Je peux demander à une voisine de me prêter la sienne mais ça ne me tente pas trop. Il y a aussi la possibilité de laver à la main et puis, il y a des laveries automatiques. Ou encore acheter une machine neuve à crédit mais ça, je n'ai jamais voulu le faire parce qu'on paie cher et s'engager pour quelque chose de matériel...

Pour le moment, je ne me prends pas la tête avec ça, je laisse venir les idées. 
Il y a toujours une solution aux problèmes matériels et le fait que je ne sois pas attachée à la matière est une chance dans ce genre de situation.
Mon ‘problème’ n’est pas le manque d’intérêt pour la spiritualité, l’ignorance de ma vraie nature, il est plutôt dans le fait d’avoir toujours voulu fuir la réalité du monde. 

Nous avons tous à surmonter des difficultés relatives à notre parcours, notre enfance et notre personnalité mais quand on sait que la source de toute vie est en soi, qu’on n’en a jamais été séparé, ça permet de prendre du recul sur ce que l’on vit. 

Nous devons tous trouver le juste milieu, l’équilibre et l’harmonie afin d’être en paix et de pouvoir manifester une réalité quotidienne qui corresponde à nos aspirations véritables. 

Pour beaucoup, la difficulté majeure, c’est de sortir des jeux de rôle, de l’identification à la personnalité, aux rôles de parents, d’enfant, d’employé...

vendredi 16 octobre 2015

« La loi de la Grâce » le groupe Miriadan via Magali





Pour expliquer la loi de la Grâce, il faut détailler un peu la loi de l'attraction qui jusqu'alors dirigeait nos vies, avec notre libre-arbitre.
Nous étions jusqu'alors guidés par notre âme, selon les expériences incomprises dans des vies simultanées qui nous avaient fait souffrir, blessé, profondément amputé de nous-même. Tout est juste dans la Vie

Ainsi, lorsque nous nous engagions dans une incarnation avec des objectifs de compréhension, nous passions un contrat avec d'autres êtres qui nous aideraient pour cela. Si nous choisissions une voie, en lien avec notre âme, les détails ou événements pouvaient être modifiés selon notre avancée. Mais des nœuds précis devaient se dérouler. 
Si vous vous trouviez à blesser quelqu'un, sachez que cette personne (au niveau de son âme) avait accepté cette éventualité. Pour vous aider. Lors de votre " mort ", vous évaluiez alors ce que vous aviez pacifié et intégré, et ce qui avait pu s'ajouter à votre incompréhension de la loi d'attraction.
 
Une précision : je parle de vies simultanées car tout se passe en " même temps ". 
Lorsque vous transcendez une leçon reçue d'une vie simultanée, cette douleur est instantanément transcendée dans cette vie. Sinon, elle serait toujours active.

« Être soi-même et heureux de vivre, est un challenge à notre époque »





15 octobre ; Quoi de mieux que de se réveiller le matin en ayant plein d’envies, d’idées, d’enthousiasme à vivre. Envisager le vie en dehors de la peur, des rôles, de la notion de bien et de mal, la rend tellement plus épanouissante !

Quand on sait qu’elle nous enseigne, qu’on la créé selon la vibration qu’on émane, ça devient une aventure passionnante dans la quelle les moindres petites choses prennent un sens nouveau, révèlent leur beauté, leur valeur. 
Le film que j’ai regardé hier n’arrive pas par hasard au moment où je me sens capable de créer ma vie en conscience, selon mes aspirations profondes, selon la raison d’être de mon âme. 
L’histoire de cette ado qui suit son cœur, choisit de vivre sa vie en sortant du rôle de sauveur, est tout à fait ce que je vis maintenant. 
Nous ne sommes pas tous destinés à devenir des célébrités, nous n’avons pas tous le don de savoir chanter mais nous avons tous un immense potentiel
Celui de devenir conscient de l’être magnifique que nous sommes c’est déjà immense !  
Puis nous pouvons tous connaitre la raison pour laquelle nous sommes venus sur terre, à ce moment précis de l’histoire de l’humanité.
Nous sommes dans une période de révélation, de découverte et de changement profonds et décisifs. 
Nous pouvons nous connaitre dans tous les aspects de l’être, savoir que nous sommes reliés à la source, que nous sommes tous issus de la conscience, libérer les vieilles croyances, tomber les masques, agir depuis notre cœur, penser par nous même, vivre libres, créer notre quotidien en conscience…

jeudi 15 octobre 2015

« Quel genre de vie voulez vous? » Lise Bourbeau





Savez-vous quel genre de vie vous voulez? Dans quelle catégorie vous retrouvez-vous? 
·         Je ne sais pas du tout ce que je veux dans la vie.
·         Je sais surtout ce que je ne veux pas.
·         Je dirige ma vie selon ce que les autres veulent pour moi.
·         Je sais ce que je veux, mais je ne sais pas comment y arriver.
·         Je sais ce que je veux, mais je n’arrive pas à passer à l’action.
·         Quand je décide de passer à l’action, je me laisse arrêter par mes proches qui ne sont pas d’accord.
·         Je sais ce que je veux, mais j’attends que toutes les circonstances soient parfaites.
·         Je sais ce que je veux, je passe à l’action et je n’ai pas peur de me tromper, car je sais que tout n’est qu’expérience. 

Quelle que soit la catégorie où vous vous retrouvez, le plus important est de vous donner le droit d’être ainsi pour le moment et surtout d’accepter d’avoir des forces et des faiblesses en tant qu’humain. 

Si vous faites partie de ceux qui ont de la difficulté à savoir vraiment ce qu’ils veulent, posez-vous la question suivante : Si toutes les circonstances étaient parfaites, si ça ne dérangeait personne autour de moi, si j’avais les connaissances et l’argent nécessaires, qu’est-ce que je voudrais pour moi dans la vie? 

mercredi 14 octobre 2015

« C’est notre fréquence vibratoire qui détermine le type de qualité de vie que nous menons » & Film : « La famille Bélier »





Il est 12h12 au moment où je m’installe devant l’ordinateur pour écrire! Sacré progrès, d'habitude, je m'y colle au saut du lit! Tiens c’est assez parlant ce mot : "ordinateur", l’idée qu’il ordonne, commande, me renvoie à l’importance que je lui donne. J’y passe beaucoup de temps mais à mesure que je reprends ma vie en main, que je libère les critiques par rapport au mental, l’ego, le masculin, j’arrive à mieux organiser mes journées. 

C’est vrai que lorsqu’on vit seul, Internet peut être un sacré piège d’autant plus si on a tendance au repli sur soi. 
Il y a intérêt à apprendre à gérer son temps mais ça n’est pas non plus en forçant les choses qu’on y arrive. 
Ça vient naturellement selon notre capacité à accepter ce qui est, en un premier temps, à reconnaitre les faits sans juger. 
Tant qu’on se sent coupable, minable, tant que se fait des reproches, on ne fait que nourrir l’impuissance et rien ne peut changer. 

C’est notre fréquence vibratoire qui détermine le type de qualité de vie que nous menons. Quand on reconnait que quelque chose en nous n’est pas juste, que ça ne sert pas notre joie, on change naturellement de comportement mais ça doit venir du cœur, de l’élan joyeux et pas de la contrainte mentale basée sur le rejet de soi.

« Bien-être et amour de soi » Jeff ... & vidéos conférences de Marshall Rosenberg





J’ai regroupé une série d’articles du site anti-deprime.com à propos de l’amour de soi et du bien-être. Notre culture judéo-chrétienne nous a maintenus dans l’idée qu’il fallait faire passer les autres avant soi mais ce genre de comportement ne fait que créer des conflits, des malentendus, des frustrations et des attentes envers les autres. 
En effet, quand on sert les autres par devoir, par obligation ou par pitié, on a tendance à vouloir qu’ils changent, qu’ils soient reconnaissant. On devient exigeant et frustré qu’ils ne fassent pas ce que l’on veut, "qu’ils ne rendent pas la monnaie de la pièce".

Le rôle de sauveur cache souvent un déni, un rejet de soi, c’est une stratégie de l’ego, une façon de détourner l’attention de ses propres problèmes, de ne pas affronter ses blessures…Et comme toutes les stratégies, ça ne fait qu’éviter la réalité ça ne rend pas heureux au bout du compte.

L’amour véritable de soi, celui qui vient de l’acceptation de tout ce que nous sommes, de nos ombres, nos défauts, mais aussi de nos qualités, cet amour sincère qu’on cultive patiemment, au jour le jour, nous rapproche des autres de la même façon et surtout sans attentes ni besoins. 
Nous sommes empathiques sans tomber dans le rôle de sauveur, et pouvons faire preuve de la même compassion que celle que nous éprouvons à l’égard de notre enfant intérieur, de nos propres blessures. L'enfant intérieur qui est pris en compte, n'appelle plus de miroir pour nous interpeler, ne joue plus les tyrans quand il est écouté...