vendredi 16 octobre 2015

« Être soi-même et heureux de vivre, est un challenge à notre époque »





15 octobre ; Quoi de mieux que de se réveiller le matin en ayant plein d’envies, d’idées, d’enthousiasme à vivre. Envisager le vie en dehors de la peur, des rôles, de la notion de bien et de mal, la rend tellement plus épanouissante !

Quand on sait qu’elle nous enseigne, qu’on la créé selon la vibration qu’on émane, ça devient une aventure passionnante dans la quelle les moindres petites choses prennent un sens nouveau, révèlent leur beauté, leur valeur. 
Le film que j’ai regardé hier n’arrive pas par hasard au moment où je me sens capable de créer ma vie en conscience, selon mes aspirations profondes, selon la raison d’être de mon âme. 
L’histoire de cette ado qui suit son cœur, choisit de vivre sa vie en sortant du rôle de sauveur, est tout à fait ce que je vis maintenant. 
Nous ne sommes pas tous destinés à devenir des célébrités, nous n’avons pas tous le don de savoir chanter mais nous avons tous un immense potentiel
Celui de devenir conscient de l’être magnifique que nous sommes c’est déjà immense !  
Puis nous pouvons tous connaitre la raison pour laquelle nous sommes venus sur terre, à ce moment précis de l’histoire de l’humanité.
Nous sommes dans une période de révélation, de découverte et de changement profonds et décisifs. 
Nous pouvons nous connaitre dans tous les aspects de l’être, savoir que nous sommes reliés à la source, que nous sommes tous issus de la conscience, libérer les vieilles croyances, tomber les masques, agir depuis notre cœur, penser par nous même, vivre libres, créer notre quotidien en conscience…


C’est sûr que ça demande du courage, de l’audace mais sans parler de vies antérieures, de réincarnation ou encore de vies simultanées, nous bénéficions de l’expérience de nos ancêtres qui est inscrite en nos gènes, nous sommes reliés à la conscience de la Terre, de l’humanité et par ce fait, nous avons accès à tous les savoirs mais par-dessus tout, nous pouvons connaitre ce qui est juste pour nous-mêmes, dans l’instant en apprenant à faire confiance à note âme, à la vie, à notre cœur et notre instinct sauvage. 
Nous sommes autant « animal » qu’humain et en cela, notre capacité à être connexion avec la terre, ses énergies, est une réalité. Nous partageons notre ADN avec les chimpanzés: 98,5%, 75% avec le chien, 50% avec une mouche, 33% d’ADN commun avec la jonquille...


Tout comme le fait d’être constitué des mêmes éléments qu’elle, d’être traversé par ses énergies telluriques, par l’énergie du désir, nous permet d’être ancré à la réalité de la nature, connectés aux éléments, rempli de magnétisme. Et par la connexion à la source, à l’énergie du ciel, nous sommes chargés d’électricité. 

Notre cœur est le carrefour de notre être, reliant le masculin et le féminin, le ciel et la terre, l’humain et le divin. Tous nos corps subtils nous relient aux dimensions invisibles et en cela notre potentiel est immense. 
Nous avons la capacité de vivre dans l’harmonie, la paix et la joie simplement en prenant conscience des richesses que nous portons et en nourrissant l’amour intérieur, en restant connecté à la lumière de la conscience divine, de notre âme.

Savoir tout cela vaut tous les trésors du monde ! Notre potentiel est illimité tous comme nos corps sont multiples et l’espace de notre cœur infini. Nous connaissons les lois universelles de l’amour, de la communion, la reliance, la création délibérée, la loi d’attraction, de résonance, l’effet miroir, le puissant générateur d’ondes bénéfiques, d’amour et de lumière qu’est notre cœur.

Nous savons qu’en alignant notre corps, notre âme et notre esprit, nous pouvons créer le meilleur pour nous-même et pour le bien commun.

Les richesses qu’offre le monde sont bien pâles à côté de ses connaissances et leur application. L’humain a couru après le pouvoir qu’il voyait dans l’acquisition de biens matériels, la domination, l’expansion de territoire et nous découvrons maintenant que tout ce que nous avions cherché en vain, est en nous-même !

J’ai commencé à tricoter et ça, c’est le signe que mes corps sont en harmonie, alignés sur les fréquences du cœur, que l’énergie du désir circule sans entrave puisque la pensée se matérialise, l’idée est portée par l’énergie du désir et se déploie dans l’action, selon l’élan de l’instant. 
Vous allez me dire que ça n’est pas grand-chose mais pour moi, ça représente la concrétisation du désir d’amplifier l’amour en moi, la capacité de prendre soin, le fait de ne pas se sentir limité par un petit budget. Tout comme le fait que suivre les élans de son cœur, sans savoir trop pourquoi on le fait, permet d’amplifier l’a confiance en son intuition de comprendre les mécanismes et le langage de l’âme. J’ai acheté la laine il y a deux ou trois ans, en suivant un désir mais sans avoir d’idée particulière.

Connaitre son âme permet de savoir comment lui parler et comment elle communique avec la personnalité. Puis savoir que l’élan de l’instant est toujours pertinent augmente la confiance en soi, en sa propre guidance. Ce qui est essentiel pour quelqu’un qui veut devenir autonome, utiliser son pouvoir de guérison, d’écoute, de communication, de création délibérée.
C’est par de petites choses qu’on vérifie les lois universelles et ce qui nous compose. Cette communication intime libère du besoin de suivre des maitres, des modèles et nourrit la liberté d’être.

Remercier pour tout ce que nous vivons, pour les petits progrès quotidiens, pour le confort dont nous disposons, pour la guidance intérieure, la confiance en soi et la paix, créé un sentiment de sécurité qui permet de voir le monde, ce qui est, de façon positive. Et de voir que les choses néfastes du monde ne peuvent pas nous atteindre même si elles sont horriblement injustes.
Savoir que notre vision  dépend de notre état d’être intérieur mène à la puissance véritable en toute humilité.   
Puisque notre plus grand pouvoir est celui d’aimer et que tout commence en nous-mêmes, l’amour vrai de soi n’a rien à voir avec le narcissisme. 
Il ne s’agit pas de se flatter, de se valoriser en mettant ses qualités en avant mais d’éclairer notre ombre, d’accepter nos faiblesses, d’appliquer l’amour véritable à tous les aspects de l’être.

Aimer uniquement ses qualités rend orgueilleux, égoïste, vaniteux et suffisant. Ce genre d’amour ne nourrit pas l’être ni l’entourage. Celui qui peut rayonner l’amour, s’aimer avec un ‘handicap’, comme le montre le film « la famille Bélier », nourrit l’espoir de tous, l’équité et le respect de toute vie.

Le plus grand handicap d’un être humain, c’est l’incapacité d’aimer, de s’aimer vraiment. Quand on rejette des aspects de soi, on nie le désir de notre âme de venir sur terre pour vivre toutes sortes d’expériences afin d’enrichir la conscience collective, d’élever la fréquence vibratoire de l’humanité. 
Notre âme veut nous donner les moyens de contribuer au bien-être commun, d’exprimer nos talents et de le faire depuis le cœur, sur les fréquences de l’amour inconditionnel
Un talent n’a pas besoin d’être spectaculaire et très souvent c’est dans les petits gestes du quotidien qu’on fait le plus grand bien aux autres. 
Le fait de sourire, d’être ouvert de cœur et d’esprit, de pouvoir écouter l’autre sans le juger, d’être juste présent en rayonnant la joie de vivre, est un cadeau, un don précieux et silencieux qui vaut tous les beaux discours.

Être soi-même et heureux de vivre, est un challenge à notre époque où les médias distillent la peur, le sentiment de petitesse, d’impuissance. Où on nous vend des modèles sans vie, des vêtements sensés nous valoriser, portés par des mannequins squelettiques, fabriqués par des enfants dans des conditions déplorables.

Nous avons accès à toutes les infos par le biais d’Internet et c’est à double tranchant parce que ça nous hypnotise, nous maintient dans le virtuel, la peur, ça nous insensibilise, nous déshumanise. 
On s’habitue à des images horribles, on inscrit en profondeur les pires injustices comme si c’était la norme, la fatalité à la quelle personne ne peut échapper.

Se tourner vers son cœur, son intériorité permet de découvrir les valeurs et qualité de l’humain puis par l’acceptation de son ombre, de ce qu’on a refoulé, on trouve son pouvoir d’agir avec empathie, de vivre dans l’harmonie et la joie malgré tout ce qui se passe au dehors.

Déjà, on ne cherche plus de réponses à l’extérieur, on n’a plus besoin de se comparer, de chercher des sensations fortes, des stimulations extérieures, pour se sentir vivant, pour combler un vide. 
On reconnait qu’il est vain de vouloir changer le monde en apprenant à faire confiance à la source, à sa propre guidance, à son âme et par là, on reconnait que notre seule responsabilité se situe dans la relation à soi, la qualité de celle-ci qui détermine le type de relation qu’on aura avec les autres
Puis vouloir changer le monde est encore une façon de nier son propre pouvoir, de nier sa nature véritable, de nourrir les personnages du triangle de Karpman.

Si on rejette la Vie en nous, qui s’exprime par toutes sortes d’émotions et de fréquences vibratoires, on reste enfermé dans la vision étriquée que créé la peur, la sensation d’impuissance.

Pour voir, ressentir, reconnaitre le divin en soi, il faut être transparent, capable de se voir en totalité avec bienveillance. 
On peut commencer par dialoguer avec l’invisible, demander à la source de se manifester, de nous aider à voir la lumière en nous-même
Cette lumière nous montrera Tout ce que nous sommes afin que nous puissions tomber les masques, les fausses identités, lâcher les rôles, les stratégies de l’ego. Il ne veut que notre bien-être et ces masques nous ont protégé de la souffrance. 
L’humain est maintenant prêt à reconnaitre le pouvoir de l’amour, à le trouver en lui-même.

Les médias nous montrent que la gloire n’apporte pas le bonheur, les recherches scientifiques révèlent la perfection de l’humain, l’intelligence qui anime le corps humain et l’interconnexion entre toute vie
L’aspect invisible de l’être est révélé à tous par le biais des sciences mais aussi des canalisations. Les connaissances de chaque nation, civilisation, sont à la portée de tous. Les médecines des peuples se rejoignent et enrichissent l’ensemble.

On devient conscient à l’échelle mondiale, du caractère multiple et universel de l’être.
Je ne cherche pas trop à savoir quelles sont les êtres qui peuplent l’univers mais je sais que nous ne sommes pas seuls. Je sais que nous sommes constitués de corps subtils reliés à bien des niveaux et bien des sphères. 
Je me contente de suivre mon cœur, mon intuition et de glaner des infos utiles à ma progression. Je me laisse guider pour aller vers les messages qui m’aideront à fortifier et rendre plus intime la reliance à l’âme, à la conscience universelle tout autant que celle que j’entretiens avec mon corps physique et les corps mental, émotionnel
Je me fie à la résonance, à l’effet que ça produit en moi sans me soucier de la provenance du message.

J’affine mes perceptions, maintiens mon cœur et mon esprit, ouverts, réceptifs.
Les méditations quotidiennes me permettent de prendre confiance en moi, aux images qui se forment quand j’ai les yeux fermés. Les couleurs, les énergies que je perçois, changent et m’indiquent que je suis connectée aux mondes subtils, que j’entre dans d’autres mondes mais je ne cherche pas à les interpréter. Je suppose que ce sont des énergies qui me pénètrent, que j’intègre puisqu’elles viennent en ma direction. Les traits de lumière créent des formes qui sont encore floues, éphémères mais se précisent de plus en plus.  
 Les sensations physiques deviennent plus douces, calmes, à mesure que j’offre à la source tout ce qui nourrissait le personnage de la victime et que j’apprends à me relaxer, à être en paix.
Les émotions et pensées dites négatives sont perçues avec neutralité et ne m’effraient plus trop, disons que je ne m’y identifie plus.

C’est de cette façon que je me libère de la dépendance aux médicaments. Je suis moins convaincue de leur nécessité. Je ne rejette plus cet aspect de moi qui n’est plus non plus considéré comme un obstacle mais plutôt comme un moyen
Un outil de connaissance de soi, des énergies, de la maitrise émotionnelle, une façon de découvrir mon potentiel d’autoguérison par l’abandon à la source, à la grâce
Une façon de trouver la paix, l’harmonie intérieure et d’augmenter la confiance en soi, en tous les aspects de l’être, et en la vie. 
J’ai enfin compris et admis que ça n’était pas en focalisant mon attention sur la nécessité de changer le geste que je pouvais me libérer de ce comportement. 

C’est d’abord au niveau des pensées, des croyances qu’il faut agir et augmenter la confiance en soi par l’accueil de ce qui est, le lâcher prise pour que la fréquence qui s’élève permette de changer la vision de la situation.

Alors je continue de diminuer mais en suivant l’élan de l’instant puis en parlant à mes corps lorsque l’envie de prendre un bout se manifeste. 
Je ne remets pas en question la stratégie mais j’interroge la pertinence du geste et offre à la source toutes les pensées qui émergent en guise de réponse à la question posée.
Le mental ego est ouvert au changement, il est programmé pour évoluer. 
Le néo cortex, la partie préfrontale du cerveau est celle qui permet de recevoir de nouvelles infos et de trouver de nouvelles réponses. 
D’ailleurs, la science et les connaissances spirituelles ancestrales se rejoignent puisqu’on parle de troisième œil, de visions. 
La vision est une capacité à anticiper, à voir les potentialités futures selon une hypothèse. On stimule cette partie du cerveau en étant centré, en état méditatif, contemplatif, en étant conscient, présent à soi-même mais aussi en marchant. 
La marche apporte de l’oxygène au cerveau et sollicite le tronc cérébral qui tant focalisé sur la coordination des mouvements laisse la conscience libre de toutes interférences mentales, de pensées de peur…

Le soleil est radieux et la rosée blanche fond peu à peu. Je ne suis pas obligée d’allumer le poêle tant qu’il ne pleut pas et ça, c’est un cadeau !
C’est l’heure de prendre soin de mon corps physique. Je ne me reproche plus de faire passer les besoins du mental en premier. J’apprends juste à reconnaitre l’inspiration de l’âme qui se manifeste par des envies subites d’être dans l’action.
Tant que j’éprouve le besoin ou plutôt l’envie d’écrire, c’est que c’est important, nécessaire à mon équilibre.

Encore une belle synchronicité ! Je tombe sur ces quelques mots de Neale Donald Walsch au moment où une chanson se manifeste dans ma tête, son titre « gracias a la vida » : « merci à la vie »…Il n’y a décidément pas de hasard ! 
Je suis en train de remettre des photos sur les articles du blog puisque j’ai retiré toutes celles qui n’étaient pas à moi et cet exercice me permet de voir les progrès effectués. 
Le dernier parlait d’être en paix malgré le chaos et là aussi, comme le ciel commence à s’assombrir, c’est un rappel qui tombe à pic. 
On s’imagine que la guidance est quelque chose de spectaculaire, que ceux qui reçoivent des messages d’êtres de lumière, voient des choses extraordinaires mais en fait, la Vie elle-même nous montre ce que nous avons à savoir au moment où c’est opportun par des petits clins d’œil que nous sommes seuls à pouvoir reconnaitre ou comprendre
Et c’est cela qui fait toute la magie de l’écoute, de la connaissance de soi et des lois universelles ; voir au-delà des apparences, entendre les nombreux messages de l’âme, à travers les symptômes, les situations, les rencontres…

En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez …
qu’il y a des chœurs qui chantent dans votre tête. Si vous
écoutez, vous entendrez la musique. C’est le chant des anges.
Ne prêtez pas attention aux sons du monde. Ce sont juste
des bruits, et même cumulés tous ensemble, ils n’ont
aucune valeur, et n’ont aucun sens. Efforcez-vous d’écouter
le chant des anges. Écoutez cette mélodie avec votre âme.
Ce message est une métaphore. Vous savez
exactement ce qu’elle essaie de vous dire.
Avec tout mon amour, votre ami …
Neale

Puis deux clefs de sagesse piochées au hasard sur le site de Monique Mathieu viennent nourrir la curiosité de l’enfant intérieur :
Clef 393
« Ne vous découragez jamais ! Vous êtes réellement sur la bonne voie, celle qui vous mènera vers votre merveilleuse destinée ! La préparation à la transition peut parfois vous paraitre douloureuse, mais sachez qu’au bout de la route beaucoup de bonheur et de joies vous attendent ! Ce ne seront pas des joies humaines, ce seront des émotions très profondes que vous ne connaissez pas encore ! »
Clef 988
« Vous êtes aveugle ! Vous ne savez même pas voir en vous-même ! Vous ne savez même pas voir votre propre transformation, votre propre avancement ! 
Regardez un peu en arrière ! 
Regardez comment vous étiez il y a un, deux ou trois ans ! 
Nous vous donnons notre Amour, nous essayons de vous rendre beaucoup plus conscient, nous vous donnons le moyen de grandir en sagesse, de vous élever spirituellement. 
Vous ne le percevez pas parce que vous êtes encore endormi, parce que vous êtes encore aveugle, parce que vous ne voulez voir que ce qui vous arrange ! 
Ce que nous vous donnons, c’est réellement la possibilité d’un grand éveil spirituel, mais vous êtes bloqué dans votre petite vie car tout ne va pas comme vous le souhaitez, parce que tout ne va pas assez vite ! »

Je crois que j’apprends à voir et à reconnaitre les immenses progrès effectués en peu de temps mais c’est sûr que la patience est encore à acquérir ! Néanmoins, ça aussi, ça s’installe lentement mais sûrement !  Une chose essentielle, c’est de maintenir la cohérence intérieure, de faire en sorte d’agir sur les fréquences de la joie, de l’amour de soi. 

Je vous souhaite une belle journée créative, en conscience, en présence et dans l’amour, la joie, la liberté d’être et de faire. 

Clefs de sagesse trouvées sur le site de Monique Mathieu : http://ducielalaterre.org

Si vous trouvez un intérêt à partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteur et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » http://lydiouze.blogspot.fr