jeudi 15 octobre 2015

« Quel genre de vie voulez vous? » Lise Bourbeau





Savez-vous quel genre de vie vous voulez? Dans quelle catégorie vous retrouvez-vous? 
·         Je ne sais pas du tout ce que je veux dans la vie.
·         Je sais surtout ce que je ne veux pas.
·         Je dirige ma vie selon ce que les autres veulent pour moi.
·         Je sais ce que je veux, mais je ne sais pas comment y arriver.
·         Je sais ce que je veux, mais je n’arrive pas à passer à l’action.
·         Quand je décide de passer à l’action, je me laisse arrêter par mes proches qui ne sont pas d’accord.
·         Je sais ce que je veux, mais j’attends que toutes les circonstances soient parfaites.
·         Je sais ce que je veux, je passe à l’action et je n’ai pas peur de me tromper, car je sais que tout n’est qu’expérience. 

Quelle que soit la catégorie où vous vous retrouvez, le plus important est de vous donner le droit d’être ainsi pour le moment et surtout d’accepter d’avoir des forces et des faiblesses en tant qu’humain. 

Si vous faites partie de ceux qui ont de la difficulté à savoir vraiment ce qu’ils veulent, posez-vous la question suivante : Si toutes les circonstances étaient parfaites, si ça ne dérangeait personne autour de moi, si j’avais les connaissances et l’argent nécessaires, qu’est-ce que je voudrais pour moi dans la vie? 

mercredi 14 octobre 2015

« C’est notre fréquence vibratoire qui détermine le type de qualité de vie que nous menons » & Film : « La famille Bélier »





Il est 12h12 au moment où je m’installe devant l’ordinateur pour écrire! Sacré progrès, d'habitude, je m'y colle au saut du lit! Tiens c’est assez parlant ce mot : "ordinateur", l’idée qu’il ordonne, commande, me renvoie à l’importance que je lui donne. J’y passe beaucoup de temps mais à mesure que je reprends ma vie en main, que je libère les critiques par rapport au mental, l’ego, le masculin, j’arrive à mieux organiser mes journées. 

C’est vrai que lorsqu’on vit seul, Internet peut être un sacré piège d’autant plus si on a tendance au repli sur soi. 
Il y a intérêt à apprendre à gérer son temps mais ça n’est pas non plus en forçant les choses qu’on y arrive. 
Ça vient naturellement selon notre capacité à accepter ce qui est, en un premier temps, à reconnaitre les faits sans juger. 
Tant qu’on se sent coupable, minable, tant que se fait des reproches, on ne fait que nourrir l’impuissance et rien ne peut changer. 

C’est notre fréquence vibratoire qui détermine le type de qualité de vie que nous menons. Quand on reconnait que quelque chose en nous n’est pas juste, que ça ne sert pas notre joie, on change naturellement de comportement mais ça doit venir du cœur, de l’élan joyeux et pas de la contrainte mentale basée sur le rejet de soi.

« Bien-être et amour de soi » Jeff ... & vidéos conférences de Marshall Rosenberg





J’ai regroupé une série d’articles du site anti-deprime.com à propos de l’amour de soi et du bien-être. Notre culture judéo-chrétienne nous a maintenus dans l’idée qu’il fallait faire passer les autres avant soi mais ce genre de comportement ne fait que créer des conflits, des malentendus, des frustrations et des attentes envers les autres. 
En effet, quand on sert les autres par devoir, par obligation ou par pitié, on a tendance à vouloir qu’ils changent, qu’ils soient reconnaissant. On devient exigeant et frustré qu’ils ne fassent pas ce que l’on veut, "qu’ils ne rendent pas la monnaie de la pièce".

Le rôle de sauveur cache souvent un déni, un rejet de soi, c’est une stratégie de l’ego, une façon de détourner l’attention de ses propres problèmes, de ne pas affronter ses blessures…Et comme toutes les stratégies, ça ne fait qu’éviter la réalité ça ne rend pas heureux au bout du compte.

L’amour véritable de soi, celui qui vient de l’acceptation de tout ce que nous sommes, de nos ombres, nos défauts, mais aussi de nos qualités, cet amour sincère qu’on cultive patiemment, au jour le jour, nous rapproche des autres de la même façon et surtout sans attentes ni besoins. 
Nous sommes empathiques sans tomber dans le rôle de sauveur, et pouvons faire preuve de la même compassion que celle que nous éprouvons à l’égard de notre enfant intérieur, de nos propres blessures. L'enfant intérieur qui est pris en compte, n'appelle plus de miroir pour nous interpeler, ne joue plus les tyrans quand il est écouté...

mardi 13 octobre 2015

« Qu'est-ce que l'ego ? » le groupe Miriadan via Magali





Lors de votre incarnation, l'âme vous a offert des outils adaptés à votre dimension dense et d'expérimentation. L'ego en est un.
 
L'ego est une émanation de votre Masculin Sacré, votre Protecteur divin. 
Il s'appuie sur les missions de ce Gardien et est chargé de vous protéger des dangers de votre dimension.
 
L'ego se base sur les expériences ancrées en vos corps subtils afin de vous aider à pacifier les leçons douloureuses incomprises dans les vies simultanées (ou dites antérieures). 
Lors de votre avancée dans la vie, il reconnait ce qui peut vous blesser, moralement et physiquement, et active vos défenses selon des schémas déjà éprouvés précédemment et auxquels il a accès.
 
L'ego ne juge pas, il vous protège. 
Il n'est qu'amour pour vous : il est votre protecteur. Il réagit selon ce qu'il connait : peur, colère, pouvoir, révolte, etc…,  afin de parer aux attaques énergétiques et physiques de votre environnement.

« Votre présence » TalL via Philippe Bouhelier





Divines salutations toi ma sœur, toi mon frère, vous qui prenez conscience de vos attributs divins, vous qui vous éveillez à votre réalité divine. Nous sommes heureux de vous retrouver dans cette merveilleuse étape de vos existences. 

Quel ravissement de voir que vous être installé(e) dans votre lumière et votre amour à diffuser la bienveillance dans la justesse de qui vous êtes. 
Votre choix de rectitude dans la l’amour et la lumière a permis d’enraciner de belles vagues d’énergies au sein de votre humanité; et cela s’accentue encore par votre maintien au cœur de vos énergies divines dans la constance et la persévérance.

Avez-vous remarqué que lorsque vous êtes vous-même : tout est juste autour de vous et rien ne peut vous déstabiliser en quoi que ce soit
Avez-vous remarqué que lorsque vous êtes au centre de votre espace sacré, vous diffusez l’amour, la lumière et la bienveillance dans votre sphère d’interactions ; et que votre présence suffit à apaiser l’atmosphère d’un lieu et à en rehausser la fréquence?

Vous savez qu’être soi-même, c’est être juste avec soi-même à dire ce qui doit l’être en toute conscience, à faire ce qui est juste dans l’amour de qui vous êtes, à être qui vous être dans la présence de votre êtreté.

Vous avez aussi remarqué que cela demande la mobilisation de certaines aptitudes et autres qualités comme le courage d’exprimer et de faire ce qui doit l’être; et c’est par votre courage que vous exprimez votre liberté à être qui vous êtes et à aimer celle ou celui que vous êtes.

lundi 12 octobre 2015

« Choisir d’être heureux »





Ce matin, le ciel est tout gris et le soleil invisible. Dans ce genre de situation, j’ai deux solutions, soit je me laisse envahir par les pensées négatives, soit je me dis que j’ai tout pouvoir sur mes pensées émotions.
Quand je parle de pouvoir, cela veut dire que je peux choisir de voir les choses à partir de mes blessures, de l’idée que je suis malade, malheureuse à cause de mon passé, ou alors je peux choisir de considérer ce qui est, à partir de maintenant et d’orienter mes pensées dans la direction de mon objectif principal, de ce que je veux. 
Soit je pense que mon bonheur dépend des autres, des circonstances extérieures, soit je considère que mon bonheur dépend de la façon dont je comble mes besoins.

Quand on arrive à définir ce que l’on veut vraiment dans la vie, ce qui est prioritaire, il est beaucoup plus facile de s’orienter. Pouvoir répondre à ces deux questions : « qu’est-ce qui est ? » et « qu’est-ce que je veux ? », détermine le sens, l’essence et la direction, que je donne à mes pensées et à mes gestes. C’est ce qui détermine la cohérence intérieure, l’alignement des corps; de l’esprit de l’âme et du corps. Ce qui permet à la pensée de s’orienter dans l’action et le résultat souhaité.

Parler d’ancrage, de centrage et de connexion semble abstrait, on peut se dire que ce sont des termes qui appartiennent à la spiritualité, des paroles répétées comme des « formules magiques », des mantras, un langage tiré de la mode New âge… 
Mais si on développe ce thème d’une façon simple, ça veut dire être conscient de qui on est et de ce que l’on veut ; Être conscient de son potentiel et du libre arbitre dont chacun dispose.

dimanche 11 octobre 2015

« Colère, agressivité,… : les conseils de Catherine Gueguen pour réagir avec bienveillance » par Jeff & conférence de Marshall Rosenberg





Selon l'effet miroir; le fait que chacun reflète en l'autre ce qu'il cache, refoule et sachant qu'en chaque adulte, l'enfant que nous étions demeure, cet article rédigé par Jeff du site "anti-deprime.com", peut être utile à tous. 
Il existe en nous, cet enfant fragile, ou cet aspect intérieur vulnérable, immature, mais aussi pleinement vivant, celui qui ne sait pas exprimer ses émotions parce qu'il les a toujours niées ou refoulées. 
Le processus alchimique qui consiste à offrir à la source en soi, les émotions de l'instant, est une sorte de dialogue entre l'enfant et le parent, ou la sagesse interne innée qui habite chacun. 
On peut aussi l'appeler la conscience bienveillante, l'amour, lumière, ou encore selon les scientifiques, le cerveau reptilien; le tronc cérébral et le néo-cortex, la partie préfrontal du cerveau, ou d'un point de vue 'spirituel'; l'ego et la conscience pure...
Lydia

Dans son livre « Vivre heureux avec son enfant » , Catherine Gueguen répond à une problématique que rencontrent de nombreux parents au quotidien : Mon enfant fait des colères, il est agressif, il tape, il mord. Comment réagir avec bienveillance ?
Voici ses conseils.
Comprendre
« Entre 1 et 3 ans, si l’enfant se trouve dans des situations très émotionnelles qui le mettent en état d’insécurité, s’il se sent en danger, si des besoins fondamentaux ne sont pas satisfaits (besoin d’affection, d’attention, de jouer, de calme,…), son cerveau archaïque va le dominer et le conduire à avoir des réactions instinctives d’attaque, de fuite ou de sidération.  »