Il
est 12h12 au moment où je m’installe devant l’ordinateur pour écrire! Sacré progrès, d'habitude, je m'y colle au saut du lit! Tiens c’est
assez parlant ce mot : "ordinateur", l’idée qu’il ordonne, commande, me
renvoie à l’importance que je lui donne. J’y passe beaucoup de temps mais à
mesure que je reprends ma vie en main, que je libère les critiques par rapport au mental, l’ego, le masculin, j’arrive à mieux organiser mes
journées.
C’est vrai que lorsqu’on vit seul, Internet peut être un sacré piège d’autant
plus si on a tendance au repli sur soi.
Il y a intérêt à apprendre à gérer son
temps mais ça n’est pas non plus en forçant les choses qu’on y arrive.
Ça vient
naturellement selon notre capacité à accepter ce qui est, en un premier temps, à
reconnaitre les faits sans juger.
Tant qu’on se sent coupable, minable, tant
que se fait des reproches, on ne fait que nourrir l’impuissance et rien ne peut
changer.
C’est notre fréquence vibratoire qui détermine le type de qualité de
vie que nous menons. Quand on reconnait que quelque chose en nous n’est pas
juste, que ça ne sert pas notre joie, on change naturellement de comportement
mais ça doit venir du cœur, de l’élan joyeux et pas de la contrainte mentale
basée sur le rejet de soi.