9
octobre ; Ce matin, la journée commence dans la peine et la douleur. Depuis hier soir,
j’ai l’œil droit qui me fait mal et c’est pire quand je le ferme alors j’ai eu
du mal à trouver le sommeil. Je sais que mon corps me parle à travers cela et
ça n’est pas tant le risque que ça empire qui m’inquiète puisque je connais la
cause de cette douleur mais bien plus le fait que je ne puisse pas utiliser
l’ordinateur comme d’habitude. J’ai reçu de la terre dans l’œil quand j’étais
au jardin, avant-hier et il semble que ça ait provoqué une irritation, une
infection. Sur le moment, ça m’a fait mal alors j’ai fermé l’œil, laissé couler
les larmes pour que ça le nettoie et la gêne a disparu mais pas complètement.
Jusqu’à hier soir, ça pouvait aller mais petit à petit ça m’a démangé et j’ai
dû créer une petite infection en frottant. Bref, le côté physique n’est pas
alarmant mais du coup, je suis obligée de revoir ma gestion du temps.
Le
message de l’âme est toujours le même ; aime-toi entièrement, lâche prise,
fais moi confiance.
J’ai bien compris que je me persécutais, me collais beaucoup
trop de pression, étais trop exigeante, critique vis-à-vis de moi-même mais je
ne pensais pas que c’était si présent, puissant.
L’œil,
c’est l’outil de la vision et ça m’indique que je dois changer mon regard sur
les choses et surtout sur moi-même, sur ce que je pense être des défauts, des
erreurs, des échecs.
Le lâcher prise concerne le mental essentiellement puisque
tout commence dans la pensée.
Le message des êtres de lumière canalisés par
Daniel Miron a eu un effet soulageant et m’a confirmé ce que je pensais à
propos du message de mon âme.
Chaque fois que je reçois ses mails, ça
vient comme une réponse, une guidance personnalisée bien que ce soit extrait
d’une consultation privée.
Nous avons tous les mêmes choses à lâcher, les mêmes
croyances à changer, à laisser tomber, nous sommes tous en carence affective,
en manque d’amour.
Du moins nous pensons pour la plupart que ce sont les autres
qui nourrissent ce besoin insatiable d’amour.
Qu’on
ait eu une enfance difficile ou non, tant que nous ne nous aimons pas
complètement, inconditionnellement, nous serons en manque d’amour, en attente
de validation extérieure, de reconnaissance. Et c’est ce qui crée des
souffrances, des malentendus, nous coupe de l’amour lumière en nous-même.
Nous
sommes formatés dès l’enfance à croire que nous devons plaire aux autres afin
d’être aimé, que nous devons agir selon les attentes de nos parents, de nos
professeurs, de notre conjoint, de dieu même.
Et
c’est ce qui nous éloigne de notre vraie nature, de notre véritable
personnalité, ce qui nous oblige à nous conformer au regard des autres et
surtout à leur approbation.
C'est aussi ce qui nourrit l'esprit de compétition, les jeux de séduction qui ressemblent à des stratégies marketing, nous poussent à croire que nous devons nous vendre continuellement, plaire, se maquiller, et je ne parle pas spécifiquement de cosmétique mais du fait de cacher ses défauts, de ne pas dire ce que l'on pense de peur d'être rejeté, critiqué. Et l'erreur est là puisque dire ce que l'on pense n'est pas toujours la meilleure chose à faire dans l'échange; le mental ego est en mode réactif, il va continuellement rechercher à accuser l'autre, lui faire porter le poids de l'échec dans la relation, le rendre responsable de notre mal être. Mais l'autre nous renvoie ce que nous portons, ce que nous avons enfoui à l'intérieur pour ne pas souffrir.
Dire ce que l'on ressent, oser prendre en charge ses propres ressentis et ne pas rejeter la faute sur l'autre, voilà ce qui permettrait de mieux vivre toute forme de relation.
L’amour de soi ne peut pas reposer sur la
reconnaissance extérieure, l'amour du conjoint, il est en nous et c’est en s’aimant véritablement
qu’il nous comble nous permet d’aimer et d’être aimé sans attentes, sans
exigences, sans accuser l'autre et donc sans frustrations ni souffrances.
Mais
le savoir ne suffit pas, c’est en l’appliquant à chaque instant qu’on le
trouve, le nourrit, l’amplifie. Et ça commence par faire la paix avec Tous les
aspects de soi et avant tout avec l’ego, avec les pensées émotions relatives
aux vieilles croyances dévalorisantes qu’il continue de nourrir simplement par
‘habitude’.
Déjà quand on cesse de l’incriminer, de le juger, quand on comprend
qu’il est un programme de survie intrinsèque à la nature humaine et que
celui-ci peut être désactivé, formaté comme on le fait avec un disque dur, on
commence à se détendre.
Les
découvertes des neuroscientifiques montrent de plus en plus clairement que rien
n’est figé en nous, que notre corps physique, notre cerveau, ses connexions
neuronales, sont en perpétuelle évolution.
Nous avons que nous portons deux
systèmes en nous ; deux programmes
qui nous maintiennent en vie ou en survie.
D’un côté, celui de l’ego apeuré, ou l'inconscient, la peur dirigent l'être, qui réagit selon des
stratégies de fuite, d’agression ou de refoulement, stratégies déclenchées par la peur.
C’est une forme de protection instinctive qui va initier la fabrication
d’hormones telles que l’adrénaline. Celle-ci est un véritable poison pour
l’organisme qui réagit à une agression extérieure.
Ce sont nos pensées
inconscientes, nos croyances qui définissent ce qui est un danger pour nous,
pour notre survie et qui enclenche le mécanisme physiologique.
Les cellules
sont alors stimulées au maximum et dépérissent à chaque fois, se renouvellent
de façon aléatoire, dans l’urgence.
De l’autre côté, nous portons la vie
éternelle, un programme de Vie, d’évolution, qui stimule les cellules de façon
naturelle répondant aux pensées d’amour, de joie, de paix, de confiance..., toutes
les pensées qui ne sont pas empreintes de peur.
Les cellules se régénèrent alors de
façon optimale et les sécrétions hormonales (ocytocine, sérotonine, testostérone...) les soutiennent en ce sens agissant
aussi sur la psychologie de façon positive.
Le
programme de survie émet une vibration basse au niveau énergétique et attire
des pesées émotions, énergies similaires qui nous maintiennent dans la peur, le
pessimisme, l’état de victime. Il impacte tout notre être de façon négative,
tant au niveau physiologique, physique, psychologique qu’énergétique.
Lorsque
nous avons des pensées d’amour, de paix, de joie, d’unité, d’harmonie, nous
sollicitons le néocortex; la partie du cerveau à même d'apporter de nouvelles réponses et reconnaissons le divin intérieur, la Vie, la
lumière de l’âme par la vibration qu’elle émet, nous activons la croissance,
l’évolution, la régénération cellulaire.
L’instinct
de survie, l’inconscient, l’ego, la mort, sont des aspects viables de l’être dont
la fonction est importante, nécessaire au bien-être, à l'harmonie, l'équilibre, à l’évolution, la
manifestation de la Vie mais si nous les laissons gérer notre vie, nous sommes
perdus, en souffrance, malades, des morts vivants.
C’est
hallucinant de pouvoir vivre l’expérience de guérison en directe ! A
mesure que j’écris, mon œil semble guérir ! En tous cas, la douleur
diminue, il ne coule plus et je peux voir sans pleurer.
Souvent
je me dis que ce que j’écris est inspiré par mon âme en tous cas, ça me sort de
façon spontanée, ça n’est pas uniquement le fruit de mes réflexions bien que le
mental soit d’accord avec le propos.
Mais comme il ne suffit pas de savoir puisque tout l’être, les corps doivent intégrer la connaissance, les nouvelles infos, la lumière, jusque dans la matière, ce qui
m’apparait comme des vérités, je dois éprouver ce que j’affirme, en faire
l’expérience.
De
cette façon, je me préserve de l’orgueil non pas vis-à-vis d’une quelconque
morale mais parce que l’orgueil est une forme d’amour conditionnée,
distorsionnée, mentale, égotique. Un amour qui se base sur la comparaison, les
notions de supériorité et d’infériorité, les notions de pouvoir par la
domination, la prédation. Un amour qui est fondé sur l’idée que l’autre est un
ennemi, que je dois me mesurer à lui, le dominer ou même le détruire pour
exister, pour avoir de la valeur.
Bon
c’est raccourci mais finalement, l’idée est là, se comparer, c’est nier l’amour
lumière en soi et en l’autre.
L’amour
véritable de soi ne se fonde pas sur l’idée de compétition, d’exclusion,
d’ennemi, de division, mais sur l’harmonie, l’unité, la coopération, la
communion, le partage, le don et la réception, l’échange. Et c’est en soi que
ça se réalise, c’est en soi que se trouve l’énergie, la vibration de l’âme qui
ne demande qu’à croitre, s’expanser, rayonner. Elle le fait naturellement mais
nous ne la percevons pas à cause des filtres protecteurs que sont la peur et le
déni de soi.
Le
soulagement, la diminution de la douleur vient aussi du fait que j’aie pris un
bout de cachet. Ça aussi, tant que je me reproche d’avoir recours à cette aide
extérieure, rien ne peut changer. C’est en changeant le regard que je porte sur
la situation qui m’en libère peu à peu, pas à pas, étape par étape.
Revenir
au centre, à ma foi en l’amour vibration, porter mon attention sur la beauté de
la vie, la perfection de mon chemin et même de mon être puisque tout est fait
pour que je le constate, pour me montrer qui je suis véritablement ; un
être complet, un être d’amour et de lumière, un être spirituel qui vit une
expérience dans la matière afin de connaitre et de manifester la source de Vie,
l’UN.
A la fois humain et divin, ombre et lumière, esprit et matière, masculin
et féminin, conscient et inconscient, solaire et lunaire, magnétique et
électrique, terrien et céleste, qui porte tout, toute la gamme des pensées
émotions énergies et qui a le pouvoir d’unifier, d’harmoniser l’ensemble, en
laissant la source, l’âme, l’amour lumière agir.
Et pour que le divin en soi
puisse œuvrer, il me faut lui faire confiance, lâcher prise, comprendre qu’en
cessant de me critiquer, de m’invalider, de me persécuter, je permets à la
vibration d’amour de rayonner, de toucher, d’atteindre, tous mes corps,
d’activer la vie éternelle en mes cellules. D’intégrer jusqu’au cœur de la
matière, les énergies divines de la source de Vie, de l’être divin que je suis.
« J’accueille
cette vibration, porte mon attention sur l’amour lumière intérieurs et appelle
mes corps à s’unir, la source à harmoniser
les énergies cosmo-telluriques en moi. »
Je
sais ce qu’il me faut lâcher, l’auto-critique, l’addiction au blog, l’amour de
soi un peu trop dépendant du nombre de pages vues qui représente le manque de
confiance en soi. Puis la peur d’être jugée, critiquée tout autant que celle
d’être aimée. C’est clair que c’est beaucoup moins handicapant qu’avant mais
tant qu’il demeure des pensées de ce genre, des croyances limitantes, je me coupe
de l’amour lumière intérieur.
« Présence
divine, je t’offre toutes ces pensées dévalorisantes à mon sujet, merci de me
montrer cela, de m’éclaire pour que j’en sois consciente et de me donner
l’occasion de revenir au cœur, de ressentir l’amour vibration pure et de
pouvoir la reconnaitre, te reconnaitre ».
Bon,
c’est l’heure de sortir la chienne, de marcher, d’activer l’amour en prenant
soin de mon corps physique à commencer par accueillir les pensées sombres en
mon cœur et le laisser harmoniser les énergies.
La marche est vraiment
bénéfique et pas seulement pour le corps physique. Le mouvement par lui-même
est l’expression de l’harmonie naturelle des corps qui s’alignent sur la même
fréquence évolutive, pas à pas…Le tronc cérébral est sollicité seulement dans ses
fonctions essentielles (respiration, coordination des membres...) et le néocortex est en mode réceptif, actif, prêt à
capter les codes harmonieux du vivant, à les diffuser dans tous les corps.
L’énergie de l’action est enclenchée et activée par sa libre circulation dans tous les corps, les chakras,
donnant l’impulsion à agir dans la paix, l’harmonie, la joie, l’authenticité,
la spontanéité de l’enfant associé à la sagesse de l’âme, de la personnalité
adulte et de l’esprit.
Puis,
ça n’est pas par hasard si c’est de la terre qui m’a sauté dans l’œil ! Ça
me renvoie à la difficulté de vivre, aux croyances collectives qu’il faille en
baver pour vivre, à ma vision négative du monde à toutes les injustices,
magouilles…et finalement à ma propre ingérence, difficulté à assumer cette
incarnation. Et La Solution c’est TOUJOURS : le lâcher prise, arrêter de
se critiquer Et de s’en vouloir pour cela.
J’ai
commencé à écouter une conférence de Lise Bourbeau à ce sujet puis je me suis
dit que ça serait bien de faire un montage vidéo pour pouvoir la publier ici.
‘Hasard’, euh c’est ironique puisqu’il s’agit plutôt de synchronicité, le
programme n’a pas fonctionné. Du coup, je suis enfin allée faire mon tour dans la
nature.
Là encore, je dis, conseille et ne fais pas de suite !...
J’ai emmené
l’appareil photo comme d’habitude pour capter des belles vues et tandis que je
prenais le reflet du soleil dans le canal, une dame s’est arrêté à ma hauteur
et m’a demandée ce que je faisais. De fil en aiguille on a parlé de la
foi, enfin j’ai dis ce en quoi je crois. C’était inattendu et nous sommes
reparties le sourire aux lèvres.
Ça me renvoie au fait que je n'ai pas besoin de forcer les choses, que si je suis la fréquence de l'amour, si je fais ce que j'aime, je rencontre des gens avec qui je peux partager ce qui compte le plus pour moi et amplifier la vibration d'amour, de confiance en la vie, en soi.
Comme je devais aller chercher du tabac, je me suis dit que je prendrais du
collyre à la pharmacie. J’ai commencé à dramatiser, à me faire un film à l’idée
de devoir aller aux urgences, à flipper par rapport à ce que me dirait le pharmacien...bref, je me suis laissée envahir par la peur, la
colère, tout ce qui est encore contenu en moi
par le juge intérieur, celui qui veut contrôler les choses et passe son
temps à critiquer, à parler de sens du devoir, de "travail sur soi"…
Celui
là aussi, j’ai demandé à la source de l’entourer d’amour afin que ses énergies soient utilisées pour
le profit de l’ensemble, de tous les corps.
Et
oui, avoir l’esprit critique est utile quand l’amour l’harmonise, ça devient la
capacité à discerner ce qui est juste pour soi.
Mais ça n’est pas le mental qui
peut juger de cela, c’est en apprenant à faire confiance aux élans de l’instant
en ayant l’assurance que c’est la meilleure chose que je puisse faire dans le
moment, que l’énergie du juge intérieure s’harmonise. Que se manifeste la confiance en la vie,
en la source, en ma personnalité qui est une extension de la source, la
manifestation de son amour pour la matière, pour sa création.
Pour
en revenir à la pharmacie, j’en suis sortie avec du collyre et un désinfectant
nasal !
Je n’ai pas fait attention sur le moment mais juste avant de
l’utiliser, j’ai vu qu’elle s’était trompé. Remarque, peut-être que c’est lié…?
Comme
je n’ai pas envie de sortir à nouveau d’autant plus qu’il est 12h30 passées, je
vais me contenter d’accepter ce qui est, ne pas faire de scandale pour ne pas
nourrir la victime, les énergies de colère. Colère surtout envers mon mental qui a compris les choses de travers.
Le truc ça n'était pas de faire confiance aux autres concernant la guérison mais de m'écouter, enfin d'écouter mon intuition et pas les raisonnements du mental!
A vrai dire, depuis ce matin, une
idée toute simple m’est venue, puisque l’œil a besoin de se régénérer, le
mieux, c’est de limiter l’utilisation de l’ordinateur parce que ça aussi, entre
le plantage du programme pour le montage de vidéo qui vient montrer encore la
nécessité de lâcher le rôle de sauveur et la douleur à l’œil qui me renvoie à
celui de persécuteur, le message est clair !
Et
pour lâcher prise, rien de tel que le dessin ! L’harmonisation des
couleurs en cercles successifs c’est une forme de détente mentale et en même
temps, une façon d’intégrer en profondeur les énergies de l’harmonie, (au niveau
conscient par le geste choisi, puis au niveau inconscient par le fait de lâcher prise), le
calme mental et les couleurs ordonnées, porteuses de fréquences spécifiques.
Je
vais écouter la conférence en même temps histoire d’intégrer le principe et de
l’ancrer dans la matière par le geste. Le dessin aligne les corps et comme le
thème est l’harmonie, c’est un exercice qui devrait au moins élever ma
fréquence au-delà du conflit interne. Je viens de piocher ce qui suit sur le site de "la presse galactique":
"Il
n'y a aucun drame, uniquement une perception restreinte de la perfection
divine, gardes confiance"
--
Lulumineuse
Je ne lis pratiquement plus de messages spirituelles préférant écouter la propre guidance mais quand je deviens sourde, quand c'est un peu confus, je clique sur la boîte à idée de Lulumineuse et ce que j'y trouve m'inspire toujours et me ramène dans la confiance en soi.
J’ai
fini par aller me coucher tellement mon œil me faisait mal et pour ne pas nourrir
la peur en le voyant gonfler de plus en plus. A mon âge, je sais quand même que
la guérison d’une plaie, d’une infection, prend un certain temps et passe par plusieurs
phases dont celle de l’inflammation, au moment où les cellules luttent contre
le corps étranger, les bactéries.
Bien que ce soit spectaculaire et pourrait
être alarmant, puisque ça enfle, c’est un signe de guérison. Ensuite, c’est la démangeaison qui indique
la bonne évolution du processus, la guérison toute proche. Et la meilleure façon de soutenir le corps
dans ce travail de régénération, c’est le lâcher prise, le repos tant mental
que physique.
J’ai
pu constater une fois de plus l’effet de la peur, de la colère non seulement
sur l’humeur mais aussi sur l’organisme. La douleur amplifiait plus je me crispais mentalement et donc physiquement aussi.
Entre la pharmacienne qui me donne le
mauvais remède, le pain raté de la boulangerie et la colère qui amplifie, je
vérifie une fois de plus le pouvoir des pensées émotions !
C’est sûr que
les cachets n’ont pas favorisé la paix intérieure, au contraire, ils m’ont
poussé à lutter, à résister, à nourrir l’idée que je devais agir pour guérir !
Enfin, faire comme si de rien n’était, ne pas changer mes habitudes, ignorer la
douleur au lieu d’aller tout simplement me recoucher.
J'ai dormi plus de 4 heures et rêvé que j'étais dans un bal costumé. Le message est clair; tout ça n'est qu'un jeu, une expérience alors joue!
Ça va beaucoup mieux et maintenant, la paupière me démange...
Si vous trouvez un intérêt à partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteur et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » http://lydiouze.blogspot.fr