Je suis abonné à la lettre de psychologie.com depuis
pas mal de temps mais comme la plupart des mails, je ne les lis plus ou
seulement quand l’élan me pousse à le faire.
Celui-ci est tout à fait synchrone avec la
guérison de l’enfant intérieur qui est un passage nécessaire lorsqu’on a vécu
un trauma ou simplement quand on n’est pas connecté à la joie, au vivant en soi, quand on veut être soi-même, fidèle à qui on est.
L’enfant intérieur est cet aspect de nous-même qui
sait exprimer les émotions, qui rêve, qui prend la vie avec légèreté et
insouciance. Mais la majorité des gens pour être en mesure d’affronter la dureté
de la vie, se coupe de ses émotions, soit en les réfrénant, soit en les
anesthésiant avec des médicaments ou autres psychotropes. Puis il y a ceux qui
utilisent l’alcool, le shit, l’herbe, comme un moyen de lâcher tout ce qui est caché,
retenu, contraint, un genre de soupape, une façon de décompresser.
Chacun
trouve le moyen de contrôler, d’occulter ou d’éviter d’avoir à affronter les
émotions désagréables et par ce fait se coupe de sa nature véritable, de son
pouvoir créatif…
Le contrôle n’est pas la maitrise et on passe à côté de sa vie,
jouant des rôles de mari, de femme, de fils ou de fille de, d’employé,
endossant tour à tour à tour le rôle qui convient à la situation…
Pourtant il est possible de retrouver son intégrité
en apprenant à gérer ses émotions, et ce qui suit peut être très utile pour
savoir comment écouter, comprendre, éduquer l’enfant intérieur.