Byron Katie:
"Quand
j'étais dans les débuts de la quarantaine, je dormais avec une arme chargée
sous mon lit.
J'étais devenue très déprimée durant ma trentaine, et pendant
presque une décennie, je sombrais dans la paranoïa, la rage, la haine de moi,
et les pensées de suicide.
Je pesais alors plus de 90 kilos (je mesure
1,65m), et durant les deux dernières années, j'étais souvent incapable de
quitter ma chambre.
Puis, un matin, en février 1986, d'un seul coup, j'ai vécu une réalisation. En un instant, j'ai découvert que lorsque je croyais mes pensées stressantes, je souffrais, mais quand je les interrogeais, je ne souffrais pas.
Puis, un matin, en février 1986, d'un seul coup, j'ai vécu une réalisation. En un instant, j'ai découvert que lorsque je croyais mes pensées stressantes, je souffrais, mais quand je les interrogeais, je ne souffrais pas.
Je découvrais aussi un moyen simple de questionner mes pensées stressantes.
Je
l'appelais "Le Travail".
Je trouvais une joie en moi qui ne m'a
jamais quitté depuis, pas un seul instant.
Cette joie est en tout le monde,
toujours.
La souffrance est facultative.
La seule fois où nous souffrons c'est quand nous
croyons qu'une pensée rivalise avec la réalité. (quand nous luttons contre la réalité et résistons à ce qui est)
Quand l'esprit est parfaitement
clair, ce qui est, est ce que nous voulons.
Si vous voulez que la réalité soit différente de ce qu'elle est en ce moment,
vous pourriez tout aussi bien essayer d'enseigner à un chat d'aboyer.
Vous
pourrez essayer et essayer, et à la fin le chat vous regardera et dira:
"Miaou".
Vous pourrez passer le reste de votre vie à essayer
d'enseigner à un chat d'aboyer.