mardi 24 mars 2015

« La Joie et la Sérénité de la re-connaissance de l’ ÊTRE UNIFIE »





"Le Royaume de Dieu est dans l’être humain",
pas dans un seul humain ni dans un groupe humain,
mais dans tous les humains"
Charlie Chaplin
J’ai trouvé cette citation sur un site « à la lumière du nouveau monde » et comme la lumière appartient à tous et à chacun, je vais la mettre sur la page d’accueil de ce blog qui va changer à mesure que je renais, que je deviens l'être véritable et compler que je n 'ai jamais cessé d'être. 
J’hésite encore à ‘construire’ un nouveau blog mais comme pour tout le reste, je laisse monter le désir jusque dans ma tête, descendre dans mes tripes, imprégner tout mes corps jusqu'à s'aligner à la fréquence d'amour et de joie afin de sentir quand le moment sera venu. 
Pour l'instant, il s’agit de maintenir cet état d’être, un état d’unité intérieur des plus jouissifs ! Le réveil a été un des plus beaux de ma vie !
Depuis deux ans environ, je me levais avec un enthousiasme grandissant mais c’était plutôt de l’excitation mentale, l’envie de savoir, de mieux comprendre l’humain et le divin au travers de mes lectures et surtout de l'observation de mon environnement, des animaux qui m’accompagnent, des synchronicités, des rencontres, par l'effet miroir et par la gestion de mes émotions et de mes pensées.
Ce qui a changé depuis quelques jours, c’est le fait d’avoir validé et accepté de réunir mon ombre et ma lumière.

lundi 23 mars 2015

« La face sombre des chercheurs de lumière » Résumé-traduction du livre de Debbie Ford, par Geneviève Lebouteux (1ère partie)





Introduction (Jeremiah Abrams):
Le sombre ne signifie pas seulement le négatif, cela concerne tout ce qui est en dehors de la lumière, de notre état conscient. Nous devons nous aider à devenir plus conscients des parties déniées de nous-mêmes, de façon à devenir plus « entiers ». Le plus grand péché est peut-être de ne pas vivre notre vie.
De par notre culture, nous sommes constamment en train de sélectionner et de montrer des expériences, créant un idéal de nous mêmes et du monde basé sur l’égo. Plus nous cherchons la lumière, plus notre ombre s’épaissit. Ce qui ne correspond pas à notre égo-idéal (l’idée idéale de nous mêmes, renforcée par la famille et la culture), nous le mettons de côté, cela devient de l’ombre.
« Préférez vous être entier ou être bon ? » demandait Jung.
Un livre sur l’ombre ne s’adresse pas à l’intellect uniquement, il est mieux compris par le cœur et par l’imagination.

Préface (Neale Donald Walsh)
Ce que vous appelez vos défauts, tout ce que vous n’aimez pas de vous mêmes, ce sont vos plus grands biens. Ils sont simplement sur-amplifiés. Baissez simplement légèrement le volume.
J’ai vu le don apporté par chacun de mes traits « négatifs ». Tout ce que j’ai à faire c’est de les utiliser différemment. Ne pas les réprimer. Ne pas les nier. Simplement les utiliser différemment. J’ai compris l’importance extraordinaire de mener une vie pleine, « intégrale ». Cela signifie aussi une complète transparence. Rien de caché, rien de dénié. La visibilité est la clef de l’authenticité. L’authenticité est la porte pour accéder à votre Vrai Soi.

« Miroir, miroir…rhâ!...puis finalement: merci ! »





Je m’épate, enfin si on veut parce qu’à la longue, le sommeil en prend un coup, mais depuis que je tiens ce journal de bord, avant même de le publier ici, je me réveille tout les matins avec un enthousiasme renouvelé, une envie irrésistible de me lever. 
C’est très significatif puisque les trois quart de ma vie, je n’avais qu’une envie, c’était de dormir le plus longtemps possible et d’être dans un état second pendant la journée. 

La vie me remplit chaque jour enfin, je prends conscience d’être Vivante, d’être un monde, dont je n’ai plus à subir les tempêtes, les crues, et même les bouffées de chaleur qui ont disparu, mais que je peux explorer, connaitre et apprendre à gérer dans l'amour ! 

Savoir faire la paix en soi, puis pratiquer ce temps d’arrêt sur image, quand ça secoue à l’intérieur, finit par apporter une stabilité émotionnelle et bien évidemment mentale, générale. 
Dans la semaine, j’ai pu lire deux commentaires qui me disent manquer de folie et de joie. J’avoue que j’ai été très surprise parce que ça n’est pas du tout le reflet de ma réalité quotidienne ! 
Bien évidemment, selon l’effet miroir je m’interroge mais franchement je ne trouve rien qui justifie ces propos. Ce serait même plutôt l’inverse dans la réalité mais ce que j’y vois, c’est tout simplement mon envie de partager mes découvertes à propos de l’humain divin plutôt que d’afficher surtout mon côté loufoque. 

dimanche 22 mars 2015

« Mouvement oscillatoire naturel avant d’arriver au point zéro »






Je suis dégoûtée, j’avais réussi à écrire, à poser clairement, pour une fois, ce que je découvre de mes recherches (introspection et lectures) ce que je pense-ressens puis en revenant d’aller voter, j’ai constaté que l’ordi déconnait et n’avait pas enregistré mon ‘super papier’ ! J’ai commencé par gueuler puis je me suis posée pour calmer tout ça et ne pas retomber dans la peur, l’accusation, l’auto-critique, etc.…
J’ai pu alors voir les choses de façon neutre, plus objective, calmant ainsi le jeu des « pourquoi » 
Je constate depuis un certain temps que je suis trop souvent sur le net, au détriment des besoins de mon corps physique, donc ce break serait 'profitable', puis j’ai un ami informaticien qui peut venir 'à mon secours', même le dimanche. 
Le mental rassuré, je suis passée à une vision plus large, plus spirituelle de la situation ; 
Je suis en train d’assimiler la notion d’unité, peu à peu, selon ce que j’expérimente, pense, lis et constate, de valider ma foi par la raison logique;
La véracité de la nature essentielle de l'humain divin, de l’effet miroir; de l’autre, l’environnement, qui reflètent mon état d’esprit, ma vibration du moment, mes croyances conscientes et inconscientes; la puissance énergétique des pensées et le fait que je sois un canal (comme chacun), générateur, récepteur et émetteur de l’énergie, que tout est inter-relié, interconnecté, interdépendant même puis "Un" au niveau de la conscience pure. 

samedi 21 mars 2015

« Jean Jacques Crèvecœur…la 5e vidéo : "La pédagogie" et une autre: résumé des précédentes »





Voilà qui va sûrement faire plaisir à ceux qui ont zappé les quatre premières vidéos puisqu’on peut voir un résumé des précédentes conférences et la cinquième de la série qui aborde le thème de la pédagogie. C'est sympa de sa part d'avoir tenu compte des commentaires.
Je ne l’ai pas encore visionnée mais cette fois-ci, j’essaierai de le faire avant son retrait, le dimanche 29 mars, sans attendre le dernier moment. De toute façon ce dimanche là, c’est le jour de mes cinquante ans ! 
Déjà un demi siècle sur cette terre et quelle ‘ascension’, des profondeurs de la peur en passant par les feux des psychotropes, la fuite dans le rêve New âge, la redescente consciente et volontaire dans mes profondeurs, guidée en tous temps par l’essence d’amour et de lumière intérieure, jusqu’au cœur de l’amour, en mon propre cœur et dans la lumière de son espace infini, sans changer de corps ! 
Une vie bien remplie et maintenant la paix de l’esprit.

« Utiliser les circonstances pour puiser en moi ce dont j'ai besoin...et reconnaitre l'abondance de ressources intérieures et extérieures »





Depuis hier, je suis décalée dans le temps, je pensais qu’on était samedi, pour cette raison, j’avais décidé d’aller au marché et c’est la boulangère qui m’a ramenée au présent. Heureusement que j’ai passé beaucoup de temps dans la salle de bain, ce qui m’a obligée à revoir mon planning sinon je serais arrivée sur une place déserte ! Et aujourd’hui, rebelote, j’ai dans l’idée qu’on est dimanche ! Il y a quelque chose en moi qui se libère, se détend mais qui côtoie l’habitude de courir. 
La conscience et l’inconscient ne sont pas encore en phase mais ça ne suscite aucune colère, tristesse, sentiment de perte ou encore des critiques. Et pour le moment ça me va bien, je n’ai pas envie de forcer quoi que ce soit, j’accepte ce décalage naturel qui m’invite juste à être plus présente à mon corps physique, à l’instant. 
Ce n’est qu’une question d’équilibre, de stabilité que je ne vais pas tenter de créer mentalement en expliquant par exemple à mon mental, l’importance d’être alignée, centrée, ancrée…
Je continue de suivre l’élan du moment et d’écouter les idées spontanées, éclairs, qui se manifestent lorsque le mental est en paix. Je continue de « consoler » l’enfant intérieur s’il manifeste le sentiment d’injustice, sachant que c’est mon aspect pensant-émotionnel qui se stabilise dans l’acceptation de ce qui est. 
J’ai encore quelques résistances mentales mais mon âme me guide toujours à revenir au cœur, à calmer les pensées et les émotions mais c’est beaucoup moins intellectualisé. C'est-à-dire que je n’ai plus besoin de « parlementer » avec les aspects intérieurs. Je fais de plus en plus confiance à la vie, aux différents corps qui me constituent et aux énergies masculine et féminine qui ne sont plus trop en conflit. Mon sommeil semble aussi profiter de cette acceptation générale parce que mes nuits s’allongent de plus en plus.

vendredi 20 mars 2015

« Ce qui est » Byron Katie, commentaires perso & vidéo interview de Bryon Katie





Nous ne souffrons que lorsque nous croyons une pensée qui conteste ce qui est. 
Lorsque l’esprit est parfaitement clair, ce qui est, est ce que nous voulons. 
Si vous voulez que la réalité soit différente de ce qu’elle est, vous pourriez tout aussi bien essayer d’apprendre à un chat à aboyer. Vous pourriez essayer et réessayer, et le chat finira par vous regarder en faisant « Miaou ». 
Vouloir que la réalité soit différente de ce qu’elle est, est futile.

Et pourtant, si vous y faites attention, vous remarquerez que vous avez ce genre de pensées des douzaines de fois par jour. « Les gens devraient être plus aimables. » « Les enfants devraient être sages. » « Mon mari (ma femme) devrait être d’accord avec moi. » « Je devrais être plus maigre, ou plus beau (belle), ou avoir plus de succès. » 

Ces pensées sont des façons de vouloir que la réalité soit différente de ce qu’elle est. 
Si vous trouvez cela déprimant, vous avez raison. 
Tout le stress que nous ressentons est dû au fait de contester ce qui est.