La nuit m’a encore transportée dans une salle de cours,
tout comme celle d’avant.
Cette fois-ci, j’ai plus de souvenirs et notamment le
sujet d’étude concernant l’individualité et l’unité, leur parfaite compatibilité
et l’image d’une « sphère » où chacun est relié aux autres par des
liens énergétiques traçant, reflétant, cette inter-reliance. C’est l’image de la
fleur de vie.
J’emploie le terme « salle de cours » mais ça ressemble
plus à un genre d’arène, pour sa forme circulaire qui permet à chacun de s’exprimer
et d’être entendu par tous et pas l'arène des matadors ou encore celles des luttes ou des jeux olympiques.
C’est un lieu où chacun
apporte son expérience, ses connaissances, son point de vue, afin d’enrichir
l’ensemble.
Il n’y a pas de maitre, de personne, qui soit au-dessus des autres
puisque tout le monde est enseignant et élève à la fois.
Bien que j’en aie peu
de souvenir, je garde tout de même la sensation de l’ambiance qui règne dans
ces rencontres.
C’est là qu’on peut vraiment parler de liberté d’expression, de
fraternité et d’égalité.
C’est ce qui fait cruellement défaut à notre société,
et ce, dans tous les domaines.
Je ne sais pas si quelque chose se prépare dans le monde
mais les deux nuits passées ont été plus longue qu’habituellement, neuf heures de sommeil! De même,
l’après midi d’hier a été très éprouvante !
J’ai passé beaucoup de temps à
accueillir la colère, la peur du manque et il m’a fallu réitérer l’exercice d’accueil des pensées
négatives et leurs émotions associées, de nombreuses fois afin de retrouver la
paix.