Je reste sur mon idée de partager ce message que j'ai déjà publié le 1er mars de cette année, qui me semble tout à fait approprié en ce moment. On reste sur le thème de la nécessité de plus en plus pressante de s'accepter en totalité afin d'intégrer l'amour inconditionnel de façon réelle, permanente et durable. La première fois que j'ai lu ce texte, j'ai tout de suite senti sa vérité, sa lumière et l'amour qui en émane. Beaucoup restent dubitatifs quant à l'origine de ce genre de message, la réalité de son mode de réception...Pour ma part, le ressenti et surtout le contenu sont des preuves irréfutables de sa véracité. Mon cœur tout comme mon mental ont approuvé ensemble ce qui est développé ici. Plus d'un an et demi après, je peux en attester la pertinence et la réalité, au travers de mes expériences vécues. Le parcours n'a pas toujours été facile mais ces vérités sont maintenant intégrées dans ma chair, ma conscience, mes corps denses et subtils. Même si dans un premier temps il est nécessaire d'accueillir des connaissances en "aveugle", par la foi en nos aspects divins invisibles, il n'y a que l'expérimentation qui puisse la rendre réelle. L'amour inconditionnel, l'acceptation totale de soi, est le chemin de l'éveil, de la réalisation et la libération de l'être.
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
samedi 31 août 2013
vendredi 30 août 2013
La puissance de l’amour de soi...vidéo Isabelle Padovani "La tyrannie des idéaux"
Après
avoir pratiqué les séances d’EFT pendant un certain temps, je peux constater
que je suis enfin prête à accepter totalement l’idée que la raison d’être de
toute âme qui s’incarne sur cette terre, c’est de retrouver le véritable amour
de soi. Je précise que je continue l'EFT parce qu'il est bon d'aller au bout d'une pratique afin de ne pas s'éparpiller et d'en goûter les fruits. Il a fallu que j’imprègne mon corps physique, mental et émotionnel de l’acceptation
totale de soi par ses tapotements réguliers pour enfin me dire que je ne suis
pas égoïste et que la solution c’est d’accepter tout mes défauts. Cette
préparation m’a amenée à pouvoir entendre les conférences de Lise Bourbeau sans
être trop choquée consciemment et inconsciemment. Une des choses qui m’a le plus freinée dans cette
acceptation, c’est le besoin d’être parfait qui amène à culpabiliser. Cette croyance
qui fait qu’il arrive des situations pour lesquelles on ne sait plus du tout comment réagir.
Il nous faut avoir l’humilité de reconnaitre que c’est en accueillant chaque
émotion, chaque pensée, sans les juger, tel que c’est, dans le moment présent
que quelque chose en nous se libère et s’ouvre. Comme le dit Lise Bourbeau, c'est inconcevable pour le mental et ça n'est qu'en en faisant l’expérience qu'on peut le vérifier.
Pourquoi est-ce que ce que j'ai libéré continue-t-il à revenir ? de Nicky Hamid
Traduit et publié par Marinette Lépine, sur Facebook TransLight, le 29 août 2013
"Oneness through Rasha" |
Garder la foi, sans rien attendre*
Après
avoir été réveillée à 2h du matin, par les bruits du voisin, force est de constater que je n’ai pas
trouvé la solution ! Je devrais plutôt dire que je n’ai pas appliqué la
bonne « méthode » à savoir : Le Lâcher Prise ! Je me suis
réveillée en colère contre la terre entière, tout y est passé ! L’utilité
de cette explosion, c’est qu’elle me permet de constater que je ne suis pas
dans le pardon total vis-à-vis de mon père, de mon âme et de moi-même. Comme je
ne me laisse plus envahir par la culpabilité, même si elle se manifeste, je
peux faire le bilan, prendre conscience de mon état inconscient. Je choisis de
positiver tout ce qui arrive et de ne plus nourrir la victime en me critiquant
ou en me rabaissant. Oui, je suis en colère de me voir rejouer le même scénario
mais non, je ne m’en rajoute pas en constatant que j’agis toujours à partir de
la peur. Celle d’être manipulée, dominée et abusée qui correspond aux idées que je me fait du divin intérieur. Je focalise seulement sur
ce qui a été libéré et continue de vouloir être consciente de ma façon d’être.
Je continue aussi les séances d’EFT afin d’amplifier l’amour de soi.
« Même si je suis déçue de ne pas
avancer assez vite, je m’aime infiniment, je m’accepte comme je suis et je me
pardonne » ;
« Même si je n’arrive pas à lâcher prise, je m’aime
infiniment, je m’accepte comme je suis et je me pardonne » ;
« Même si j’ai encore de la colère... » ;
« Même si j’agis
à partir de la peur... »
Comme le
lâcher prise commence par soi-même, quand on peut voir où on en est, le mieux
reste encore de libérer ses attentes de perfections. Comme je sais que la
solution, c’est d’accepter ce qui est, je commence par me l’appliquer à moi-même afin de
garder libre la circulation énergétique intérieure. Et même si les mêmes
défauts reviennent se manifester, même si je fais sans arrêts les mêmes erreurs,
je n’abandonne pas mon chemin. Je sais que c’est le bon et je m’en remets à
l’univers pour pallier mes carences. Je reste sur la route mais je n’ai plus
envie de marcher, je me pose !
jeudi 29 août 2013
En route vers de nouvelles aventures !
Le ciel mardi matin |
La
réaction à ma petite affiche posée au mur, ce matin, n’a pas tardé à se
manifester ! Une hystérique hurlait contre moi à trente mètres de
distance. Je me suis approchée pour ne pas que tous le voisinage profite du spectacle
et pour mettre les choses au clair mais devant une telle mauvaise foi, j’ai
fini par retourner au jardin, cueillir les framboises. Même le voisin de jardin
s’est fait agressé par la furie à sa fenêtre, alors qu’il n’avait rien dit du
tout. J’ai passé la matinée à me dire que j’aurais peut-être mieux fait de ne
rien dire mais en même temps, on ne peut sortir définitivement du rôle de la
victime sans savoir dire stop. Depuis un an que je subi le comportement
irrespectueux du voisin, son fils sacré, qui me réveille régulièrement entre 3
et 4h du matin, qui jouait de la musique à fond, hurlant dans son micro, qui a
laissé son chien tuer Maya ,la chatte qui m’accompagnait depuis 14 ans, sans
même m’avertir ou s’excuser...Jusqu’où allaient-ils jouer les bourreaux avant
que je réagisse ! J’ai dit ce que je pensais, en l’écrivant afin de ne pas
être dans l’affrontement direct, mais sa réaction ne m’appartient pas. Chacun doit assumer ses actes. Elle se place comme victime dans l'histoire et prends l'entourage à témoin! Hallucinant, heureusement personne ne s'est lassé berné! La phrase
« magique » : « Donnez vous le droit d’être humain »,
revenait régulièrement, appuyée par l’idée que bien que chacun ait le principe
christique en lui, je ne suis pas au niveau d’acceptation du Christ. Bref, j’ai
encore libéré la culpabilité, le doute, le sentiment d’injustice, la victime...
« Donnez-vous le droit d’être humain »
Image trouvée sur Facebook People |
Voilà La
phrase choc que j’ai retenue après l’écoute d’une autre conférence de Lise
Bourbeau. Elle a une façon de parler un peu trop speed, tant elle est
passionnée par ce qu’elle enseigne, que par moments, c’est un peu soulant. A
moins que ça ne soit tout ce qu’elle fait remonter à la surface ! Je dois
veiller à ne pas tomber dans la culpabilité et m’aperçois que ça n’est pas du
tout évident ! Pour cette raison, la phrase titre a fortement résonné en moi et
m’a permise de pouvoir m’endormir.
La
machine à laver des voisins tourne et il est 5h ! Je crois que je vais
pousser ma gueulante ! Me donner le droit d’être humaine ! Je ne l’ai
pas fait vendredi dernier parce que j’avais du monde à la maison mais là, je
vais leur coller la musique à fond, claquer les portes et leur dire mon ras le
bol. J’ai hésité pour ne pas nourrir le rôle de la victime puisque les autres
locataires étaient en vacances et que j’étais seule à pouvoir être dérangée
mais là, c’est bon !
Avec du
recul je me rends compte que j’ai été plutôt perturbée par l’attitude de mon
pote Fred qui a défendu mordicus, ses convictions religieuses, répétant ses
arguments vieux de plus de 10 ans en citant des passages du Livre de
Mormon ! C’est assez pénible d’entendre quelqu’un répéter comme un
perroquet des phrases écrites il y a plus de deux cent ans. Je préfère encore
quelqu’un qui parle avec ses tripes, son cœur même si je ne suis pas d’accord
avec ce qu’il dit. D’un autre côté, je comprends qu’on puisse être enthousiasmé
par sa foi mais il y a un côté pathétique qui met trop en évidence le manque de
confiance en soi. Comme chacun est un miroir pour l’autre, je devrais me
dire : « c’est celui qui le dit qui y’est ! » mais ce
constat me pousse plutôt à la vigilance, à ne pas tomber moi-même dans le
panneau et à libérer le prêcheur et le sauveur intérieurs. Il est naturel
d’avoir des convictions mais vouloir les imposer aux autres n’est pas net.
Peut-être aussi que je pense reproduire ce schéma en faisant ce blog mais en fait,
comme Internet est un espace d’expression et de liberté, enfin pour le moment,
je n’ai pas l’impression d’imposer quoi que ce soit. Vous n’êtes pas obligés de
lire ni d’adhérer à ce que je dis.
mercredi 28 août 2013
Stratégies de manipulations de masse similaires aux stratégies de l'ego
source inconnue, image trouvée sur google+ |
Ce
matin, à nouveau, je retrouve la sérénité et la fraîcheur matinales qui sont propices
à la guidance de l’âme et au centrage. C’est presque devenu une habitude de
faire appel aux dimensions qui me constituent afin de créer l’harmonie. Je m’adresse
tout autant à la source, qu’à mon âme, à mes différents corps et aux énergies
féminine et masculine. Plutôt que de voir ce que pensent les autres du travail, j’ai
posé la question à cet ensemble complexe qui me constitue afin de trouver dans l’unité,
la façon de les nourrir, qui corresponde à chacun d’eux. J’hésite à
téléphoner au producteur de vin bio pour savoir s’il y a de la place pour les
vendanges parce que ça fait pas mal de route. Mais, d’un autre côté, comme le
jardin peut se passer de moi la journée puisqu’en deux heures, arrosage et
cueillette peuvent être faits, le soir...
Plus ça va et plus je me dis que je ne
suis pas prête à transmettre ce que je connais, par expérience. Il me faut
encore acquérir plus de confiance en soi et de maîtrise des énergies. C’est
peut-être aussi un sentiment d’indignité qui me freine ou encore une exigence
de perfection mais je me dis que c’est plutôt la nécessité d’être suffisamment
affirmée. L’assurance en soi ne naît pas du vide, (quoi que), elle se cultive tout comme l’amour
de soi bien que cette énergie soit la base, le fondement de chaque être.
Ce ne sont
pas tant les gestes ou les comportements qui « détruisent » une
personne mais la motivation qui est derrière. Tant que je culpabilisais à me
dire que je nourrissais la victime intérieure, les pulsions de mort...j’amplifiais
l’effet négatif de mes addictions. Maintenant que je sais que celles-ci
comblent la dépendance affective maternelle mais aussi celle à la source, donc au "père", en
cultivant l’amour de soi par le non jugement, l’équilibre n’est pas rompu, l’amour
circule librement apportant la guérison des cellules.
Puisque
l’être est en recherche permanente d’équilibre, il est important de ne pas se
faire violence en essayant de changer à tout prix mais plutôt d’observer notre
façon de faire et une fois que l’on comprends le sens, la croyance qui fait
agir, on peut changer celle-ci, en douceur, par la prise de conscience et l’envie
de s’aimer mieux.
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