J’ai
remis un peu d’ordre dans mon emploi du temps en me couchant relativement tôt
hier soir, ce qui m’a permis de me lever à 5h30. Il faut dire que le voisin qui
rentre toutes les nuits vers 4h me perturbe un peu puisque ça me réveille. Il
ne se gêne pas pour claquer les portes en pleine nuit, maintenant qu’il travaille ! Il a
repris un restau en ville, alors il se la pète et se croit tout permis.
Remarque ça n’est pas nouveau. Même si mon comportement est puéril, je me lève
et j’en fais autant. Enfin, je ne me gêne pas pour freiner mes gestes. Je dis
ça mais il n’entend sûrement rien puisque je suis assez discrète malgré tout.
Je prends ça comme l’occasion de me lâcher, d’apprendre à oser, sans pour autant
écraser l’autre. J’ai vraiment du mal à concevoir qu’on ait besoin d’être
bruyant pour se sentir exister. Une blessure de rejet doit le titiller. Bon,
j’ai encore passé quelques temps à lui accorder de l’attention ! Il est
clair qu’il me renvoie quelque chose qui est en moi mais j’y vois plus le fait
d’oser être. Du moins oser être, sans culpabiliser, sans se dire que je suis
exubérante puisque ça n’est pas le cas. On peut dire que je suis assez
« spéciale », que je ne passe pas inaperçue mais je ne suis pas dans
l’excès. Enfin, de mon point de vue parce que pour les gens de la génération de
ma mère, par exemple, je suis quelqu’un d’extravagante ! Tout ça n’est que
la trace de la peur d’oser être soi-même et certainement le besoin de se
distinguer de la masse. Ce n’est pas un défaut en soi si ça ne pousse pas à
écraser ou nier les autres, leur droit d’être eux-mêmes. Comme le dit Lise
Bourbeau, nous portons tous des blessures en notre âme.
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
mercredi 21 août 2013
Développer son autonomie affective, selon Lise Bourbeau
Visoflora |
Je suis
en train d’écouter une conférence de Lise Bourbeau qui parle de la dépendance
affective et je reviens à l’acceptation de ce qui est, par rapport aux cachets.
Elle m’a convaincue de continuer dans l’acceptation de ce que je suis et de ce
qui est.
Ce qui suit est la transcription littérale de la partie concernant les
raisons de la dépendance :
-Pourquoi
vouloir lutter contre une dépendance est une forme de déni.
-Les
blessures qui sont cachées derrière les dépendances.
-Le
processus de guérison qui permet de guérir les blessures de l‘âme.
J'ai ajouté quelques commentaires en italiques.
mardi 20 août 2013
"L’Énergie de Guérison" Par Murielle Robert
Avec deux jours de retard, voici donc le texte écrit par Murielle, le 24 février de cette année. D'après mes calculs selon ses explications, dimanche était aussi sous l'énergie du "14". La vibration étant valable pour la semaine entière, il n'est donc pas trop tard pour bien faire. J'avoue que de constater qu'il reste encore des trucs à guérir, me pèse un peu. L'ego n'aime pas ce genre de constat et la patience et la persévérance sont indispensables. En même temps, vouloir comprendre le masculin et le féminin, puis la sexualité sacrée ne peut qu'amener à sonder les profondeurs et y découvrir des blessures mais aussi des trésors! Un truc positif, c'est que je ne doute plus de ma foi et du soutien de l'âme, de la source, des anges, des archanges... Alors! c'est déjà un immense progrès!
Gros plantage !
Trouvé sur "Facebook Rivers in the ocean" |
Ce
matin, c’est un peu le trouble. Je me suis couchée tard et me suis levée à 7h
quand même pour pouvoir arroser et aller en courses avant qu’il fasse trop
chaud. Les synchronicités continuent. J’ai trouvé une planche qui trace les points
de la colonne vertébrale, reliés aux émotions.
Je
remets à nouveau en question ma décision d’arrêter les cachets après avoir
écouté une conférence de Lise Bourbeau qui parle de la dépendance affective.
Mon cher
ego, on s’est planté ! La claque ! L’orgueil en prends un coup d’autant
que ce qui motive ce désir d’arrêter les médocs, c’est aussi le fait de vouloir
être crédible dans mon souhait de proposer un accompagnement. Je ne lâche pas l’affaire
mais ce qui reste le plus difficile, c’est de trouver la bonne étiquette. Remarque
c’est peut-être là que ça cloche, trouver l’étiquette. Pour quelqu’un qui veut
s’extraire de la dualité, des jeux de rôle...
J’ai
oublié de calculer la vibration numérique de la semaine mais j’ai bien l’impression
que ça à voir avec la nécessité d’y voir plus clair et plus en profondeur. Dimanche
18 août, ça fait 18 (jour) +8 (mois)=26 ; 2+6=8+6 (année)= 14 : « L’énergie
de guérison »
Bon, je
n’étais pas vraiment à côté puisque pour guérir, il faut savoir ce qui a besoin
de l’être et donc aller dans ses profondeurs. J’avoue que je sature un peu de
devoir plonger régulièrement dans mes ombres et la patience n’est pas ce qui me
caractérise ! Néanmoins, il est clair que je ne suis pas au bout du processus
de guérison et je garde espoir. Le côté optimiste de la situation c’est que la semaine porte la
vibration de l’énergie de guérison.
lundi 19 août 2013
Envisager la vie avec neutralité
Après
une longue nuit, je me réveille en étant moi-même. Consciente de ce que je suis
en vérité. C’est comme si tous les voiles se désagrégeaient à mesure que
j’intègre l’amour pur en moi. Que je le laisse me remplir, rayonner sur tout ce
que je suis. Le seul fait de vouloir libérer la notion de bien et de mal, et
oui encore ce concept, est la clef qui ouvre le cœur à recevoir le flux de l’énergie
de vie. Tant qu’on reste enfermé dans cette vision réductrice, on ne peut
accéder à l’amour divin, à notre véritable essence, à notre soi supérieur, peu
importe le nom qu’on lui donne. Ce qui en nous est vérité, c’est l’amour,
l’acceptation de ce qui est. Le fait que je n’ai pas jugé d’avoir bu de
l’alcool, même si ça peut paraître peu de chose, représente un pas de géant
dans l’acceptation de ce qui est. Dans mon chemin de vie, j’avais collé
l’étiquette « mal » sur ce produit. Je ne dis pas non plus que c’est « bien »,
c’est, tout simplement. Le non jugement face à cela, me montre que
l’inconscient est libéré du concept duel limitant. Se juger soi-même ou juger
l’autre, c’est nier sa perfection, sa divinité et celle de l’autre. Quand nous
nous incarnons, notre vision des choses
est très large et la notion de jugement et de division n’existe pas. Retrouver
cette vison, c’est accueillir son âme et redevenir complet, soi-même.
dimanche 18 août 2013
"Penser à soi ou penser à l’autre ?" Dr Véronique Baudoux
Voici la suite des articles concernant les relations de couple. Comme d'habitude, je partage avec vous ce qui me semble aller vers une meilleure compréhension de soi, de la vie et qui permet de vivre mieux. Être célibataire n'est pas forcément un souhait à long terme même si c'est un choix. Il est clair que pour bien vivre une histoire d'amour, il est nécessaire de s'aimer d'abord soi-même de façon à ne pas attendre de l'autre mais à être en mesure de donner et de recevoir dans un esprit de liberté et d'échange épanouissant.
Le temps des récoltes
Je me
suis encore payée un temps de pause. Pas envie d’écrire, c’est comme si mon ego
se faisait une petite crise de rébellion. Il faut dire qu’il y avait la soirée
entre voisins vendredi soir et j’ai voulu m’y préparer tranquillement. J’espérais
ne pas retomber dans les vieux comportements et rester sobre mais j’aurais eu
vite fait de me sentir encore plus à part. Je n’ai pas abusé non plus. Pourtant
comme je n’ai pas l’habitude de boire, il m’a fallu la journée entière d’hier,
pour me retrouver, pour éliminer les vapeurs d’alcool. Malgré tout, le bilan
est assez positif. Le fait de ne plus me laisser envahir par la culpabilité a
énormément diminué l’impact du produit qui je dois le dire est plutôt violent. Je
n’ose même pas écrire le mot tellement ça me remue les tripes. Je suis contente
d’avoir su mesurer ma consommation et rien que ça constitue déjà un immense progrès.
C’est aussi la preuve que je n’ai plus besoin de m’enivrer pour éprouver des
états de conscience différents. Je suis heureuse de retrouver mon plein
potentiel et d’aimer mon état naturel. Puisque maintenant, je peux modifier mes
états de conscience sans avoir besoin de produits violents, cette expérience m’en
a amené la preuve. J‘ai respecté mon être et ne suis pas tombée dans les divers
pièges tendus par le regard ou les comportements de l’extérieur. Je n’ai pas
parlé à outrance de ma foi mais je ne me suis pas tue non plus.
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