mercredi 31 juillet 2013

Le plus beau cadeau de la vie! canalisation reçue par Daniel Miron





Je viens de recevoir la newsletter de Daniel Miron qui canalise les êtres de lumière. C’est toujours appréciable de constater la résonance dans les propos. C’est une canalisation reçue pour une personne en particulier mais qui peut être utile à tout le monde, même des gens qui n’ont pas vécu le problème dont il est question. 

Nous avons tous à nous responsabiliser en libérant l’idée de victime, de bourreau et de sauveur. C’est vrai qu’il n’est pas évident de lâcher cette notion puisque tous nos systèmes de croyances reposent sur elle. Cependant, la délivrance, l’autonomie et la souveraineté passent obligatoirement par ce processus. 

Tant que nous jugeons, divisons les choses, les événements de la vie en bien ou mal et les gens en bons ou méchants, nous restons piégés dans des rôles et ressassons les mêmes dialogues intérieurs qui nous rendent la vie pénible. Ce système de croyance s’applique à nous-mêmes et nous condamne systématiquement, amenant la culpabilité, le devoir, le sacrifice...
En faisant appel à la guidance de son cœur, de son âme, on peut finalement voir les choses avec du recul et changer de perspective sans se sentir coupable et sans croire que l’on bascule dans le côté obscur. 
Notre véritable nature, c’est l’amour divin, inconditionnel, nous ne pouvons pas devenir des monstres en libérant la notion de bien et de mal, nous devenons alors comme le christ, capables d’aimer nos ennemis. Certes pas du même amour mais au moins nous pouvons nous libérer de l’emprise qu’ils ont sur nous, en ne les nourrissant pas par des pensées négatives qui ne feront que les fortifier dans leur rôles de persécuteur et nourrir la haine en nous-mêmes, amplifiant notre statut de victime. 

Vague d'amour






Il est rare que j’aie envie d’écrire le soir mais là, je ne peux m’empêcher de témoigner. Jusqu’à maintenant, ce qui était de l’ordre de l’émotionnel s’exprimait en réaction à des situations dérangeantes ou par le constat de petites victoires. Là, je suis envahie par une vague d’amour et de tendresse qui est venue crescendo à mesure que j’ouvrais les mails et lisais les commentaires. Je ne pense plus être en besoin de reconnaissance, bien que le fait de s’exposer en public puisse le laisser croire, mais je dois dire que ces témoignages affectueux me touchent particulièrement au point de ne pas pouvoir y répondre individuellement. Les journées que nous vivons en ce moment sont très intenses mais cette vague d’amour qui me remplit n’est pas vraiment émotionnelle, c’est plus de l’énergie qui se libère de mon cœur. Comme si le fait de m’autoriser à m’aimer, à aimer les autres, et à embrasser la vie avec tout mes corps, mon âme, avait ouvert une vanne. J’ai comme une envie de pleurer, comme si mon cœur s’attendrissait sans que ce soit un mot, une phrase, quelque chose issu du mental, qui l’ait suscité. L’envie de m’éclater dont j’ai parlé dans le précédent message, n’est pas vraiment la même chose que ce que je sentais par le passé. Cette expression signifiait plutôt l’envie de sortir de mon corps, de ma tête, de ma routine, ressentir des sensations fortes pour pallier l’impuissance à gérer et à aimer ma vie. Là, c’est simplement le désir de vivre pleinement en conscience à travers l’amour incarné en tous mes corps. Plus seulement au niveau mental, comme un idéal espéré mais comme quelque chose de réalisable au quotidien.

mardi 30 juillet 2013

Il est l’heure de vivre !




La fraicheur matinale me permet de récupérer de l’énergie. Pour une fois, j’ai eu l’impression de « travailler » cette nuit. Nous sommes bien trimballés en ce moment, dans les hauteurs et les profondeurs mais d’un autre côté, bien que ça puisse être épuisant, il y a comme un enthousiasme et une excitation à vivre ses mouvements qui ne laissent aucune place à l’ennui. Pas le temps de souffler que les énergies reçues amènent à s’ancrer afin de profiter de chaque opportunité de s’élever en accueillant les émotions suscitées par les rayonnements énergétiques. Se caler sur le cœur exige une souplesse d’esprit et la recouvrance de sa responsabilité qui seule peut amener la souveraineté de l’être réunifié. La stabilité émotionnelle est à trouver. Parfois, l’équilibre semble précaire mais en s’abandonnant en confiance à notre propre lumière, tout se stabilise et amène un large sourire né de la joie subtile mais profonde du cœur soulagé, guéri. Se souvenir à chaque creux de vague, que le mouvement perpétuel de la vie amènera naturellement à remonter à la surface, voire à s’élever au-delà du flot, permet de rester serein. Comme nous sommes amenés à épurer le corps émotionnel et que celui-ci porte la vie dans ses extrêmes violents, avoir purifié le mental de la notion de bien et de mal permet de surfer sur la vague parfois avec délice. Merci mon âme, merci la vie d’avoir libéré ces fausses croyances qui créent le jugement, l’auto-critique, d’avoir libéré l’idée que l’amour inconditionnel de soi est un mouvement égotique et de m’avoir permis de comprendre dans la chair, par expérience qu’au contraire, c’est la base de la souveraineté qui ouvre le cœur à un amour pur, à la capacité d’aimer l’autre sans retenue, sans attente, sans restriction, sans projection et sans peur.

lundi 29 juillet 2013

Libération, après le corps mental, le corps émotionnel...





Je voulais juste me relaxer mais je me suis endormie. Mon réveil a été assez désagréable parce que c’est la chaleur qui m’en a sorti. En essayant de m’attacher les cheveux pour ne pas les avoir collés dans le cou, j’ai senti de la colère monter. Je me suis dit que c’était bien fort pour un petit souci de coiffure. Puis, j’ai réalisé que je n’avais pas évacué la charge émotionnelle que je retenais depuis l’enfance. 
La plupart des aînés ont un rôle de persécuteur pour les cadets qui leurs volent la vedette. Avec ma sœur, c’était assez violent du fait de l’inceste et je ne répondais pas à ces agressions. Une part de moi savait que ça n’était pas une solution et je préférais m’éloigner, m’isoler, aller vers les animaux. 

La situation d’hier a réveillé l’enfant intérieur et en lui expliquant les choses, mon point de vue actuel sur la vie, en le rassurant, j’ai pu me calmer mentalement. Mais, toutes les émotions de frustration, de colère, de tristesse, n’ont pas été libérées. 

C’est une chose de pouvoir « raisonner » le mental, mais nier tous ce qui a été refoulé sous prétexte qu’il ne faut pas faire de vague, n’est pas bon du tout. 
Il est clair que le raisonnement est nécessaire pour ne pas être en conflit avec l’extérieur mais il faut pouvoir libérer la charge émotionnelle dans l’intimité pour ne pas se retrouver à amplifier un petit truc présent, par des fantômes du passé. 

Alors, j’ai laissé monter la colère. Une boule à l’estomac a grandi, s’est contractée. J’ai respiré profondément, détendu tous les points de crispation dans le corps et des larmes sont sorties d’une façon qui m’a fait vraiment ressentir un soulagement. 

Libérer, libérer et encore libérer...




J’ai commencé la journée en remerciant le ciel d’avoir éclaté en orage pendant la nuit. J’ai dormi comme un bébé, d’une seule traite ! C’est bon signe, ça veut dire que le travail effectué de jour a été suffisant pour ne pas avoir à aller le faire dans l’astral.
Par les expériences vécues avec ma famille cette semaine, je suis en train de libérer l’idée que le fait de savoir ce que je suis, m’amènerait à devoir « sauver » ma famille, à l’enseigner. Bien que consciemment, je ne pense pas mériter quoi que ce soit, mon comportement m’a montré que dans l’inconscient, restent gravées des idées tenaces à ce propos. Parce que derrière l’idée de sauveur, il y a aussi l’idée de vouloir bien faire aux yeux de Dieu, et donc « mériter » une quelconque récompense spirituelle, un afflux d’amour venu de la source. Mais le mérite et la récompense tout comme la punition, sont des concepts complètement humains. La source d’amour n'est pas à l'extérieur mais elle est effectivement en soi et la seule façon d’y accéder, de sentir son flux, c’est d’être en amour pour soi et pour l’extérieur, d'accepter ce qui est.
S’il est une chose utile à faire vis-à-vis de ses proches, c’est d’être dans l’amour au point de pardonner, de ne plus jouer de jeux de rôle, de ne plus réagir par l’ego. Ce nouveau comportement pourrait leur donner l’envie de se tourner aussi à l’intérieur, de rencontrer leur propre amour et leur propre cœur, de s’ouvrir à l’inspiration de leur âme. C’est ce que j’ai vérifié quand je suis rentrée dans l’église ; J’avais un tel amour pour Jésus christ que celui-ci irradiait et me remplissait, au point que l’entourage en était touché.
J’ai pu me rendre compte cette semaine, à quel point ma famille complètement hermétique à l’ascension, réalisait sa propre progression. L’ouverture de cœur et de conscience provoquée par l’afflux de lumière de la source, touche tout le monde.

dimanche 28 juillet 2013

Journée sacrée 5 "La responsabilité"par Murielle Robert





Voici le texte de Murielle Robert rédigé le 12 mai de cette année, publié dans la presse galactique. Ce dimanche porte la même vibration du "5". C'est tout à fait à propos! J'ai eu à réfléchir à propos de l'idée de sauveur et le genre de responsabilité que je croyais avoir vis à vis de ma famille, qui heureusement perd peu à peu son ampleur. Cette journée passée avec ma sœur, m'a montré que cette croyance qu'étant "l'éveillée" de la famille, je devais à tout prix partager ces connaissances, restait un peu en moi puisqu'il m'a fallu freiner un peu mon enthousiasme, trouver le ton approprié pour ne pas jouer l'enseignante. Le fait de lui parler des séances d'EFT, ne m'a pas obligé à argumenter au niveau de la foi. C'est une technique énergétique qui peut s'expliquer sans croire en l'ascension, ni au divin. Elle a voulu que je lui parle du blog et je me suis contentée de lui montrer la page d'accueil d'aujourd'hui où apparait la vidéo de l'interview du docteur Eber Alexander. Je lui ai parlé quand même de ce qu'avait vécu cet homme mais sans insister lourdement, sans vouloir la convaincre. Ce besoin inconscient de "sauver", s'est reporté sur le jeune pigeon. Heureusement, même si j'ai interféré dans le cours naturel de la vie, je le relâcherai bientôt et il pourra vivre sa vraie vie de pigeon! Je fais en sorte de ne pas trop l'approcher pour qu'il reste sauvage et puisse être autonome et libre.

De la fraîcheur!



Éruptions solaire sous ultra violets


8h20 et la chaleur est déjà écrasante ! Je n’en puis plus ! Depuis trois jours, je vis au ralenti et chaque geste coûte. Ma sœur doit venir tout à l’heure et moi qui me faisait un plaisir de partager mes découvertes en matière de mieux être, je suis vannée. Merci mon âme de ne pas me laisser reprendre le rôle de sauveur ! Le gamin du quartier fêtait son anniversaire hier. J’ai bu trois verres de rosé dans la soirée et ce matin j’ai un peu la tête qui tourne! Je ne bois jamais d’alcool mais pour l’occasion, pour trinquer, comme on dit, aussi pour me sortir un peu du rythme scolaire que je m’impose dans l’ascension, je me suis laissée tentée. Heureusement, je n’empire pas mon état vaseux en me critiquant, en me disant des phrases du style : « c’est bien fait, tu sais que l’alcool ne te va pas »...Non, la culpabilité n’arrange rien, au contraire ça a tendance à amplifier le malaise.
J’ai chopé un malware que j’ai éliminé mais depuis hier, quand je vais sur blogger, le programme du blog, ça ne fonctionne pas très bien. Des pages de pub, de sondages continuent d’apparaître alors que j’ai bloqué le site en question. Bref, c’est l’invasion dans l’ordi. J’espère que vous ne serez pas affectés. Si vous voyez des pages de pub sur le blog, ça n’est pas moi qui les ai mises ! Je ne supporte pas ces intrusions publicitaires, qui même si elles peuvent permettre de rentabiliser un blog, sont pour moi, une manipulation généralisée, un manque de respect pour le lecteur, pour l’humain, en général.
La propagande quelle qu’elle soit, est un moyen d’influencer l’opinion des gens trop naïfs pour les éloigner d'eux-mêmes, du vrai sens de la vie.