Il est
rare que j’aie envie d’écrire le soir mais là, je ne peux m’empêcher de
témoigner. Jusqu’à maintenant, ce qui était de l’ordre de l’émotionnel
s’exprimait en réaction à des situations dérangeantes ou par le constat de
petites victoires. Là, je suis envahie par une vague d’amour et de tendresse
qui est venue crescendo à mesure que j’ouvrais les mails et lisais les
commentaires. Je ne pense plus être en besoin de reconnaissance, bien que le
fait de s’exposer en public puisse le laisser croire, mais je dois dire que ces
témoignages affectueux me touchent particulièrement au point de ne pas pouvoir
y répondre individuellement. Les journées que nous vivons en ce moment sont
très intenses mais cette vague d’amour qui me remplit n’est pas vraiment émotionnelle,
c’est plus de l’énergie qui se libère de mon cœur. Comme si le fait de
m’autoriser à m’aimer, à aimer les autres, et à embrasser la vie avec tout mes
corps, mon âme, avait ouvert une vanne. J’ai comme une envie de pleurer, comme
si mon cœur s’attendrissait sans que ce soit un mot, une phrase, quelque chose
issu du mental, qui l’ait suscité. L’envie de m’éclater dont j’ai parlé dans le
précédent message, n’est pas vraiment la même chose que ce que je sentais par
le passé. Cette expression signifiait plutôt l’envie de sortir de mon corps, de
ma tête, de ma routine, ressentir des sensations fortes pour pallier
l’impuissance à gérer et à aimer ma vie. Là, c’est simplement le désir de vivre
pleinement en conscience à travers l’amour incarné en tous mes corps. Plus
seulement au niveau mental, comme un idéal espéré mais comme quelque chose de
réalisable au quotidien.
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
mercredi 31 juillet 2013
mardi 30 juillet 2013
Il est l’heure de vivre !
La
fraicheur matinale me permet de récupérer de l’énergie. Pour une fois, j’ai eu
l’impression de « travailler » cette nuit. Nous sommes bien
trimballés en ce moment, dans les hauteurs et les profondeurs mais d’un autre côté,
bien que ça puisse être épuisant, il y a comme un enthousiasme et une
excitation à vivre ses mouvements qui ne laissent aucune place à l’ennui. Pas
le temps de souffler que les énergies reçues amènent à s’ancrer afin de
profiter de chaque opportunité de s’élever en accueillant les émotions
suscitées par les rayonnements énergétiques. Se caler sur le cœur exige une
souplesse d’esprit et la recouvrance de sa responsabilité qui seule peut amener
la souveraineté de l’être réunifié. La stabilité émotionnelle est à trouver.
Parfois, l’équilibre semble précaire mais en s’abandonnant en confiance à notre
propre lumière, tout se stabilise et amène un large sourire né de la joie
subtile mais profonde du cœur soulagé, guéri. Se souvenir à chaque creux de
vague, que le mouvement perpétuel de la vie amènera naturellement à remonter à la
surface, voire à s’élever au-delà du flot, permet de rester serein. Comme nous
sommes amenés à épurer le corps émotionnel et que celui-ci porte la vie dans
ses extrêmes violents, avoir purifié le mental de la notion de bien et de mal permet
de surfer sur la vague parfois avec délice. Merci mon âme, merci la vie d’avoir
libéré ces fausses croyances qui créent le jugement, l’auto-critique, d’avoir
libéré l’idée que l’amour inconditionnel de soi est un mouvement égotique et de
m’avoir permis de comprendre dans la chair, par expérience qu’au contraire, c’est
la base de la souveraineté qui ouvre le cœur à un amour pur, à la capacité d’aimer
l’autre sans retenue, sans attente, sans restriction, sans projection et sans
peur.
lundi 29 juillet 2013
Libération, après le corps mental, le corps émotionnel...
Je voulais juste me relaxer mais je me suis endormie. Mon réveil a été assez désagréable parce que c’est la chaleur qui m’en a sorti. En essayant de m’attacher les cheveux pour ne pas les avoir collés dans le cou, j’ai senti de la colère monter. Je me suis dit que c’était bien fort pour un petit souci de coiffure. Puis, j’ai réalisé que je n’avais pas évacué la charge émotionnelle que je retenais depuis l’enfance.
La plupart des aînés ont un rôle de persécuteur pour les cadets qui leurs volent la vedette. Avec ma sœur, c’était assez violent du fait de l’inceste et je ne répondais pas à ces agressions. Une part de moi savait que ça n’était pas une solution et je préférais m’éloigner, m’isoler, aller vers les animaux.
La situation d’hier a réveillé l’enfant intérieur et en lui expliquant les choses, mon point de vue actuel sur la vie, en le rassurant, j’ai pu me calmer mentalement. Mais, toutes les émotions de frustration, de colère, de tristesse, n’ont pas été libérées.
C’est une chose de pouvoir « raisonner » le mental, mais nier tous ce qui a été refoulé sous prétexte qu’il ne faut pas faire de vague, n’est pas bon du tout.
Il est clair que le raisonnement est nécessaire pour ne pas être en conflit avec l’extérieur mais il faut pouvoir libérer la charge émotionnelle dans l’intimité pour ne pas se retrouver à amplifier un petit truc présent, par des fantômes du passé.
Alors, j’ai laissé monter la colère. Une boule à l’estomac a grandi, s’est contractée. J’ai respiré profondément, détendu tous les points de crispation dans le corps et des larmes sont sorties d’une façon qui m’a fait vraiment ressentir un soulagement.
Libérer, libérer et encore libérer...
J’ai
commencé la journée en remerciant le ciel d’avoir éclaté en orage pendant la
nuit. J’ai dormi comme un bébé, d’une seule traite ! C’est bon signe, ça
veut dire que le travail effectué de jour a été suffisant pour ne pas avoir à
aller le faire dans l’astral.
Par les
expériences vécues avec ma famille cette semaine, je suis en train de libérer l’idée
que le fait de savoir ce que je suis, m’amènerait à devoir « sauver »
ma famille, à l’enseigner. Bien que consciemment, je ne pense pas mériter quoi
que ce soit, mon comportement m’a montré que dans l’inconscient, restent gravées
des idées tenaces à ce propos. Parce que derrière l’idée de sauveur, il y a
aussi l’idée de vouloir bien faire aux yeux de Dieu, et donc « mériter »
une quelconque récompense spirituelle, un afflux d’amour venu de la source. Mais
le mérite et la récompense tout comme la punition, sont des concepts
complètement humains. La source d’amour n'est pas à l'extérieur mais elle est effectivement en soi et la seule
façon d’y accéder, de sentir son flux, c’est d’être en amour pour soi et pour l’extérieur, d'accepter ce qui est.
S’il est
une chose utile à faire vis-à-vis de ses proches, c’est d’être dans l’amour au
point de pardonner, de ne plus jouer de jeux de rôle, de ne plus réagir par l’ego.
Ce nouveau comportement pourrait leur donner l’envie de se tourner aussi à l’intérieur,
de rencontrer leur propre amour et leur propre cœur, de s’ouvrir à l’inspiration
de leur âme. C’est ce que j’ai vérifié quand je suis rentrée dans l’église ;
J’avais un tel amour pour Jésus christ que celui-ci irradiait et me remplissait,
au point que l’entourage en était touché.
J’ai pu
me rendre compte cette semaine, à quel point ma famille complètement hermétique
à l’ascension, réalisait sa propre progression. L’ouverture de cœur et de conscience provoquée par l’afflux de lumière
de la source, touche tout le monde.
dimanche 28 juillet 2013
Journée sacrée 5 "La responsabilité"par Murielle Robert
De la fraîcheur!
Éruptions solaire sous ultra violets |
8h20 et
la chaleur est déjà écrasante ! Je n’en puis plus ! Depuis trois
jours, je vis au ralenti et chaque geste coûte. Ma sœur doit venir tout à
l’heure et moi qui me faisait un plaisir de partager mes découvertes en matière
de mieux être, je suis vannée. Merci mon âme de ne pas me laisser reprendre le
rôle de sauveur ! Le gamin du quartier fêtait son anniversaire hier. J’ai
bu trois verres de rosé dans la soirée et ce matin j’ai un peu la tête qui tourne! Je
ne bois jamais d’alcool mais pour l’occasion, pour trinquer, comme on dit,
aussi pour me sortir un peu du rythme scolaire que je m’impose dans
l’ascension, je me suis laissée tentée. Heureusement, je n’empire pas mon état
vaseux en me critiquant, en me disant des phrases du style : « c’est
bien fait, tu sais que l’alcool ne te va pas »...Non, la culpabilité
n’arrange rien, au contraire ça a tendance à amplifier le malaise.
J’ai
chopé un malware que j’ai éliminé mais depuis hier, quand je vais sur blogger,
le programme du blog, ça ne fonctionne pas très bien. Des pages de pub, de
sondages continuent d’apparaître alors que j’ai bloqué le site en question.
Bref, c’est l’invasion dans l’ordi. J’espère que vous ne serez pas affectés. Si
vous voyez des pages de pub sur le blog, ça n’est pas moi qui les ai
mises ! Je ne supporte pas ces intrusions publicitaires, qui même si elles
peuvent permettre de rentabiliser un blog, sont pour moi, une manipulation
généralisée, un manque de respect pour le lecteur, pour l’humain, en général.
La
propagande quelle qu’elle soit, est un moyen d’influencer l’opinion des gens
trop naïfs pour les éloigner d'eux-mêmes, du vrai sens de la vie.
samedi 27 juillet 2013
« A quoi bon? »...vidéo dr Eben Alexander neurochirurgien qui a vécu une expérience de mort imminente, interview Lilou Macé
Ce matin, une petite phrase revient comme un leitmotiv : « A quoi bon ! »
A quoi
bon connaître l’avenir s’il se construit dans le présent.
A quoi bon
vouloir exprimer ce qui se ressent en dedans si le mental étiquète et nous
place dès lors d’un côté ou de l’autre de la dualité.
A quoi
bon se définir comme un être de lumière si c’est par notre chair que nous l’expérimentons
et que bien souvent ce sont nos ombres qui nous ouvrent à l’amour.
A quoi
bon se dire chevalier, artisan, éveillé, si ça nous éloigne du présent, du
vivant, des gens, si nous appréhendons la vie au travers de notre mental
seulement. L’ego se plait à se croire sauveur, victime ou bourreau. Il est
clair que c’est dans la position de sauveur qu’il sera le plus flatté ! Ce
rôle lui donnera du pouvoir sur tous ceux qui sont perdus, qui souffrent et se
croient victime. On fabrique à nouveau des camps, on divise l’humain, on
regarde la masse d’en haut en préparant des plans de sauvetage de ce pauvre
monde déchu.
A quoi
bon savoir que le monde est dirigé par des Illuminatis à qui ont associe des
méchants extraterrestres qui pratiquent des rituels sataniques, si nous ne
sommes pas capables d’accueillir nos propres ombres. C’est encore le bouc
émissaire, l’autre qui nous dispense de nous regarder en face, cherchant à tout
prix en dehors la cause de notre mal-être.
A quoi
bon continuer de chercher en dehors, la vie qui bouillonne en dedans et qui
nous effraie tant qu’on la cache derrière des masques conventionnels de
personnes aimables, serviables et de bonne réputation.
Proclamant
de beaux discours tout en pensant combien l’autre est inférieur, laid, méchant
ou ignorant.
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