mardi 30 juillet 2013

Il est l’heure de vivre !




La fraicheur matinale me permet de récupérer de l’énergie. Pour une fois, j’ai eu l’impression de « travailler » cette nuit. Nous sommes bien trimballés en ce moment, dans les hauteurs et les profondeurs mais d’un autre côté, bien que ça puisse être épuisant, il y a comme un enthousiasme et une excitation à vivre ses mouvements qui ne laissent aucune place à l’ennui. Pas le temps de souffler que les énergies reçues amènent à s’ancrer afin de profiter de chaque opportunité de s’élever en accueillant les émotions suscitées par les rayonnements énergétiques. Se caler sur le cœur exige une souplesse d’esprit et la recouvrance de sa responsabilité qui seule peut amener la souveraineté de l’être réunifié. La stabilité émotionnelle est à trouver. Parfois, l’équilibre semble précaire mais en s’abandonnant en confiance à notre propre lumière, tout se stabilise et amène un large sourire né de la joie subtile mais profonde du cœur soulagé, guéri. Se souvenir à chaque creux de vague, que le mouvement perpétuel de la vie amènera naturellement à remonter à la surface, voire à s’élever au-delà du flot, permet de rester serein. Comme nous sommes amenés à épurer le corps émotionnel et que celui-ci porte la vie dans ses extrêmes violents, avoir purifié le mental de la notion de bien et de mal permet de surfer sur la vague parfois avec délice. Merci mon âme, merci la vie d’avoir libéré ces fausses croyances qui créent le jugement, l’auto-critique, d’avoir libéré l’idée que l’amour inconditionnel de soi est un mouvement égotique et de m’avoir permis de comprendre dans la chair, par expérience qu’au contraire, c’est la base de la souveraineté qui ouvre le cœur à un amour pur, à la capacité d’aimer l’autre sans retenue, sans attente, sans restriction, sans projection et sans peur.

lundi 29 juillet 2013

Libération, après le corps mental, le corps émotionnel...





Je voulais juste me relaxer mais je me suis endormie. Mon réveil a été assez désagréable parce que c’est la chaleur qui m’en a sorti. En essayant de m’attacher les cheveux pour ne pas les avoir collés dans le cou, j’ai senti de la colère monter. Je me suis dit que c’était bien fort pour un petit souci de coiffure. Puis, j’ai réalisé que je n’avais pas évacué la charge émotionnelle que je retenais depuis l’enfance. 
La plupart des aînés ont un rôle de persécuteur pour les cadets qui leurs volent la vedette. Avec ma sœur, c’était assez violent du fait de l’inceste et je ne répondais pas à ces agressions. Une part de moi savait que ça n’était pas une solution et je préférais m’éloigner, m’isoler, aller vers les animaux. 

La situation d’hier a réveillé l’enfant intérieur et en lui expliquant les choses, mon point de vue actuel sur la vie, en le rassurant, j’ai pu me calmer mentalement. Mais, toutes les émotions de frustration, de colère, de tristesse, n’ont pas été libérées. 

C’est une chose de pouvoir « raisonner » le mental, mais nier tous ce qui a été refoulé sous prétexte qu’il ne faut pas faire de vague, n’est pas bon du tout. 
Il est clair que le raisonnement est nécessaire pour ne pas être en conflit avec l’extérieur mais il faut pouvoir libérer la charge émotionnelle dans l’intimité pour ne pas se retrouver à amplifier un petit truc présent, par des fantômes du passé. 

Alors, j’ai laissé monter la colère. Une boule à l’estomac a grandi, s’est contractée. J’ai respiré profondément, détendu tous les points de crispation dans le corps et des larmes sont sorties d’une façon qui m’a fait vraiment ressentir un soulagement. 

Libérer, libérer et encore libérer...




J’ai commencé la journée en remerciant le ciel d’avoir éclaté en orage pendant la nuit. J’ai dormi comme un bébé, d’une seule traite ! C’est bon signe, ça veut dire que le travail effectué de jour a été suffisant pour ne pas avoir à aller le faire dans l’astral.
Par les expériences vécues avec ma famille cette semaine, je suis en train de libérer l’idée que le fait de savoir ce que je suis, m’amènerait à devoir « sauver » ma famille, à l’enseigner. Bien que consciemment, je ne pense pas mériter quoi que ce soit, mon comportement m’a montré que dans l’inconscient, restent gravées des idées tenaces à ce propos. Parce que derrière l’idée de sauveur, il y a aussi l’idée de vouloir bien faire aux yeux de Dieu, et donc « mériter » une quelconque récompense spirituelle, un afflux d’amour venu de la source. Mais le mérite et la récompense tout comme la punition, sont des concepts complètement humains. La source d’amour n'est pas à l'extérieur mais elle est effectivement en soi et la seule façon d’y accéder, de sentir son flux, c’est d’être en amour pour soi et pour l’extérieur, d'accepter ce qui est.
S’il est une chose utile à faire vis-à-vis de ses proches, c’est d’être dans l’amour au point de pardonner, de ne plus jouer de jeux de rôle, de ne plus réagir par l’ego. Ce nouveau comportement pourrait leur donner l’envie de se tourner aussi à l’intérieur, de rencontrer leur propre amour et leur propre cœur, de s’ouvrir à l’inspiration de leur âme. C’est ce que j’ai vérifié quand je suis rentrée dans l’église ; J’avais un tel amour pour Jésus christ que celui-ci irradiait et me remplissait, au point que l’entourage en était touché.
J’ai pu me rendre compte cette semaine, à quel point ma famille complètement hermétique à l’ascension, réalisait sa propre progression. L’ouverture de cœur et de conscience provoquée par l’afflux de lumière de la source, touche tout le monde.

dimanche 28 juillet 2013

Journée sacrée 5 "La responsabilité"par Murielle Robert





Voici le texte de Murielle Robert rédigé le 12 mai de cette année, publié dans la presse galactique. Ce dimanche porte la même vibration du "5". C'est tout à fait à propos! J'ai eu à réfléchir à propos de l'idée de sauveur et le genre de responsabilité que je croyais avoir vis à vis de ma famille, qui heureusement perd peu à peu son ampleur. Cette journée passée avec ma sœur, m'a montré que cette croyance qu'étant "l'éveillée" de la famille, je devais à tout prix partager ces connaissances, restait un peu en moi puisqu'il m'a fallu freiner un peu mon enthousiasme, trouver le ton approprié pour ne pas jouer l'enseignante. Le fait de lui parler des séances d'EFT, ne m'a pas obligé à argumenter au niveau de la foi. C'est une technique énergétique qui peut s'expliquer sans croire en l'ascension, ni au divin. Elle a voulu que je lui parle du blog et je me suis contentée de lui montrer la page d'accueil d'aujourd'hui où apparait la vidéo de l'interview du docteur Eber Alexander. Je lui ai parlé quand même de ce qu'avait vécu cet homme mais sans insister lourdement, sans vouloir la convaincre. Ce besoin inconscient de "sauver", s'est reporté sur le jeune pigeon. Heureusement, même si j'ai interféré dans le cours naturel de la vie, je le relâcherai bientôt et il pourra vivre sa vraie vie de pigeon! Je fais en sorte de ne pas trop l'approcher pour qu'il reste sauvage et puisse être autonome et libre.

De la fraîcheur!



Éruptions solaire sous ultra violets


8h20 et la chaleur est déjà écrasante ! Je n’en puis plus ! Depuis trois jours, je vis au ralenti et chaque geste coûte. Ma sœur doit venir tout à l’heure et moi qui me faisait un plaisir de partager mes découvertes en matière de mieux être, je suis vannée. Merci mon âme de ne pas me laisser reprendre le rôle de sauveur ! Le gamin du quartier fêtait son anniversaire hier. J’ai bu trois verres de rosé dans la soirée et ce matin j’ai un peu la tête qui tourne! Je ne bois jamais d’alcool mais pour l’occasion, pour trinquer, comme on dit, aussi pour me sortir un peu du rythme scolaire que je m’impose dans l’ascension, je me suis laissée tentée. Heureusement, je n’empire pas mon état vaseux en me critiquant, en me disant des phrases du style : « c’est bien fait, tu sais que l’alcool ne te va pas »...Non, la culpabilité n’arrange rien, au contraire ça a tendance à amplifier le malaise.
J’ai chopé un malware que j’ai éliminé mais depuis hier, quand je vais sur blogger, le programme du blog, ça ne fonctionne pas très bien. Des pages de pub, de sondages continuent d’apparaître alors que j’ai bloqué le site en question. Bref, c’est l’invasion dans l’ordi. J’espère que vous ne serez pas affectés. Si vous voyez des pages de pub sur le blog, ça n’est pas moi qui les ai mises ! Je ne supporte pas ces intrusions publicitaires, qui même si elles peuvent permettre de rentabiliser un blog, sont pour moi, une manipulation généralisée, un manque de respect pour le lecteur, pour l’humain, en général.
La propagande quelle qu’elle soit, est un moyen d’influencer l’opinion des gens trop naïfs pour les éloigner d'eux-mêmes, du vrai sens de la vie.

samedi 27 juillet 2013

« A quoi bon? »...vidéo dr Eben Alexander neurochirurgien qui a vécu une expérience de mort imminente, interview Lilou Macé





Ce matin, une petite phrase revient comme un leitmotiv : « A quoi bon ! »
A quoi bon connaître l’avenir s’il se construit dans le présent.
A quoi bon vouloir exprimer ce qui se ressent en dedans si le mental étiquète et nous place dès lors d’un côté ou de l’autre de la dualité.
A quoi bon se définir comme un être de lumière si c’est par notre chair que nous l’expérimentons et que bien souvent ce sont nos ombres qui nous ouvrent à l’amour.
A quoi bon se dire chevalier, artisan, éveillé, si ça nous éloigne du présent, du vivant, des gens, si nous appréhendons la vie au travers de notre mental seulement. L’ego se plait à se croire sauveur, victime ou bourreau. Il est clair que c’est dans la position de sauveur qu’il sera le plus flatté ! Ce rôle lui donnera du pouvoir sur tous ceux qui sont perdus, qui souffrent et se croient victime. On fabrique à nouveau des camps, on divise l’humain, on regarde la masse d’en haut en préparant des plans de sauvetage de ce pauvre monde déchu.
A quoi bon savoir que le monde est dirigé par des Illuminatis à qui ont associe des méchants extraterrestres qui pratiquent des rituels sataniques, si nous ne sommes pas capables d’accueillir nos propres ombres. C’est encore le bouc émissaire, l’autre qui nous dispense de nous regarder en face, cherchant à tout prix en dehors la cause de notre mal-être.
A quoi bon continuer de chercher en dehors, la vie qui bouillonne en dedans et qui nous effraie tant qu’on la cache derrière des masques conventionnels de personnes aimables, serviables et de bonne réputation.
Proclamant de beaux discours tout en pensant combien l’autre est inférieur, laid, méchant ou ignorant.

jeudi 25 juillet 2013

Le Chakra du coeur, extrait du livre de Marie Lise Labonté (partie 4)




J’avoue que je n’en suis pas encore à ce stade ! L’étape de la guérison des blessures est déjà énorme. Cependant, ce que j’ai vécu ces derniers jours et même ce matin, me montre que beaucoup de choses ont été libérées. J’ai invité ma sœur à venir samedi soir, pour partager les techniques d’accueil des émotions. Ce sera l’occasion de voir si des mémoires sont réactivées. Il y a du progrès chaque fois que nous nous voyons, mais des clashs sont encore fréquents. Le mieux c’est de ne pas anticiper, le mental risque de me ramener à des souvenirs désagréables et ainsi fermer mon cœur. Je me suis contentée de prévoir les deux repas...