lundi 29 juillet 2013

Libérer, libérer et encore libérer...




J’ai commencé la journée en remerciant le ciel d’avoir éclaté en orage pendant la nuit. J’ai dormi comme un bébé, d’une seule traite ! C’est bon signe, ça veut dire que le travail effectué de jour a été suffisant pour ne pas avoir à aller le faire dans l’astral.
Par les expériences vécues avec ma famille cette semaine, je suis en train de libérer l’idée que le fait de savoir ce que je suis, m’amènerait à devoir « sauver » ma famille, à l’enseigner. Bien que consciemment, je ne pense pas mériter quoi que ce soit, mon comportement m’a montré que dans l’inconscient, restent gravées des idées tenaces à ce propos. Parce que derrière l’idée de sauveur, il y a aussi l’idée de vouloir bien faire aux yeux de Dieu, et donc « mériter » une quelconque récompense spirituelle, un afflux d’amour venu de la source. Mais le mérite et la récompense tout comme la punition, sont des concepts complètement humains. La source d’amour n'est pas à l'extérieur mais elle est effectivement en soi et la seule façon d’y accéder, de sentir son flux, c’est d’être en amour pour soi et pour l’extérieur, d'accepter ce qui est.
S’il est une chose utile à faire vis-à-vis de ses proches, c’est d’être dans l’amour au point de pardonner, de ne plus jouer de jeux de rôle, de ne plus réagir par l’ego. Ce nouveau comportement pourrait leur donner l’envie de se tourner aussi à l’intérieur, de rencontrer leur propre amour et leur propre cœur, de s’ouvrir à l’inspiration de leur âme. C’est ce que j’ai vérifié quand je suis rentrée dans l’église ; J’avais un tel amour pour Jésus christ que celui-ci irradiait et me remplissait, au point que l’entourage en était touché.
J’ai pu me rendre compte cette semaine, à quel point ma famille complètement hermétique à l’ascension, réalisait sa propre progression. L’ouverture de cœur et de conscience provoquée par l’afflux de lumière de la source, touche tout le monde.

dimanche 28 juillet 2013

Journée sacrée 5 "La responsabilité"par Murielle Robert





Voici le texte de Murielle Robert rédigé le 12 mai de cette année, publié dans la presse galactique. Ce dimanche porte la même vibration du "5". C'est tout à fait à propos! J'ai eu à réfléchir à propos de l'idée de sauveur et le genre de responsabilité que je croyais avoir vis à vis de ma famille, qui heureusement perd peu à peu son ampleur. Cette journée passée avec ma sœur, m'a montré que cette croyance qu'étant "l'éveillée" de la famille, je devais à tout prix partager ces connaissances, restait un peu en moi puisqu'il m'a fallu freiner un peu mon enthousiasme, trouver le ton approprié pour ne pas jouer l'enseignante. Le fait de lui parler des séances d'EFT, ne m'a pas obligé à argumenter au niveau de la foi. C'est une technique énergétique qui peut s'expliquer sans croire en l'ascension, ni au divin. Elle a voulu que je lui parle du blog et je me suis contentée de lui montrer la page d'accueil d'aujourd'hui où apparait la vidéo de l'interview du docteur Eber Alexander. Je lui ai parlé quand même de ce qu'avait vécu cet homme mais sans insister lourdement, sans vouloir la convaincre. Ce besoin inconscient de "sauver", s'est reporté sur le jeune pigeon. Heureusement, même si j'ai interféré dans le cours naturel de la vie, je le relâcherai bientôt et il pourra vivre sa vraie vie de pigeon! Je fais en sorte de ne pas trop l'approcher pour qu'il reste sauvage et puisse être autonome et libre.

De la fraîcheur!



Éruptions solaire sous ultra violets


8h20 et la chaleur est déjà écrasante ! Je n’en puis plus ! Depuis trois jours, je vis au ralenti et chaque geste coûte. Ma sœur doit venir tout à l’heure et moi qui me faisait un plaisir de partager mes découvertes en matière de mieux être, je suis vannée. Merci mon âme de ne pas me laisser reprendre le rôle de sauveur ! Le gamin du quartier fêtait son anniversaire hier. J’ai bu trois verres de rosé dans la soirée et ce matin j’ai un peu la tête qui tourne! Je ne bois jamais d’alcool mais pour l’occasion, pour trinquer, comme on dit, aussi pour me sortir un peu du rythme scolaire que je m’impose dans l’ascension, je me suis laissée tentée. Heureusement, je n’empire pas mon état vaseux en me critiquant, en me disant des phrases du style : « c’est bien fait, tu sais que l’alcool ne te va pas »...Non, la culpabilité n’arrange rien, au contraire ça a tendance à amplifier le malaise.
J’ai chopé un malware que j’ai éliminé mais depuis hier, quand je vais sur blogger, le programme du blog, ça ne fonctionne pas très bien. Des pages de pub, de sondages continuent d’apparaître alors que j’ai bloqué le site en question. Bref, c’est l’invasion dans l’ordi. J’espère que vous ne serez pas affectés. Si vous voyez des pages de pub sur le blog, ça n’est pas moi qui les ai mises ! Je ne supporte pas ces intrusions publicitaires, qui même si elles peuvent permettre de rentabiliser un blog, sont pour moi, une manipulation généralisée, un manque de respect pour le lecteur, pour l’humain, en général.
La propagande quelle qu’elle soit, est un moyen d’influencer l’opinion des gens trop naïfs pour les éloigner d'eux-mêmes, du vrai sens de la vie.

samedi 27 juillet 2013

« A quoi bon? »...vidéo dr Eben Alexander neurochirurgien qui a vécu une expérience de mort imminente, interview Lilou Macé





Ce matin, une petite phrase revient comme un leitmotiv : « A quoi bon ! »
A quoi bon connaître l’avenir s’il se construit dans le présent.
A quoi bon vouloir exprimer ce qui se ressent en dedans si le mental étiquète et nous place dès lors d’un côté ou de l’autre de la dualité.
A quoi bon se définir comme un être de lumière si c’est par notre chair que nous l’expérimentons et que bien souvent ce sont nos ombres qui nous ouvrent à l’amour.
A quoi bon se dire chevalier, artisan, éveillé, si ça nous éloigne du présent, du vivant, des gens, si nous appréhendons la vie au travers de notre mental seulement. L’ego se plait à se croire sauveur, victime ou bourreau. Il est clair que c’est dans la position de sauveur qu’il sera le plus flatté ! Ce rôle lui donnera du pouvoir sur tous ceux qui sont perdus, qui souffrent et se croient victime. On fabrique à nouveau des camps, on divise l’humain, on regarde la masse d’en haut en préparant des plans de sauvetage de ce pauvre monde déchu.
A quoi bon savoir que le monde est dirigé par des Illuminatis à qui ont associe des méchants extraterrestres qui pratiquent des rituels sataniques, si nous ne sommes pas capables d’accueillir nos propres ombres. C’est encore le bouc émissaire, l’autre qui nous dispense de nous regarder en face, cherchant à tout prix en dehors la cause de notre mal-être.
A quoi bon continuer de chercher en dehors, la vie qui bouillonne en dedans et qui nous effraie tant qu’on la cache derrière des masques conventionnels de personnes aimables, serviables et de bonne réputation.
Proclamant de beaux discours tout en pensant combien l’autre est inférieur, laid, méchant ou ignorant.

jeudi 25 juillet 2013

Le Chakra du coeur, extrait du livre de Marie Lise Labonté (partie 4)




J’avoue que je n’en suis pas encore à ce stade ! L’étape de la guérison des blessures est déjà énorme. Cependant, ce que j’ai vécu ces derniers jours et même ce matin, me montre que beaucoup de choses ont été libérées. J’ai invité ma sœur à venir samedi soir, pour partager les techniques d’accueil des émotions. Ce sera l’occasion de voir si des mémoires sont réactivées. Il y a du progrès chaque fois que nous nous voyons, mais des clashs sont encore fréquents. Le mieux c’est de ne pas anticiper, le mental risque de me ramener à des souvenirs désagréables et ainsi fermer mon cœur. Je me suis contentée de prévoir les deux repas...

Bas les masques!...vidéos d'animation





Ce matin, je n’ai pas grand-chose à dire d’autre que : «  Vive la paix intérieure qui naît de la reconnaissance de sa multidimensionnalité et de l’amour inconditionnel de soi ». 
Un sentiment de plénitude emplit celui ou celle dont le cœur s’ouvre à l’énergie divine essentielle. La puissance rayonne sur chaque cellule, chaque corps et l’unité retrouvée situe la personnalité associée à l’être divin, au centre du cœur. Nul besoin de sacrifice, de rituel, l’observation attentive et émerveillée du mouvement de la vie en soi, et en dehors, vivifie l’humain divin.  

Rien à prouver juste l’envie de témoigner de cette puissante douceur qui accompagne le marcheur sur le chemin de l’éveil à son monde intérieur.
Plus de jugement, plus de critique, plus d’étiquetage réducteur, restituent au cœur sa joie de vivre, dans la simplicité et l’authenticité. 
L’enfant intérieur apaisé offre son enthousiasme, sa jeunesse éternelle et libère sa créativité sans cesse renouvelée.
L’âme guérie de ses peines, embrasse l’humanité, insuffle l’éternité en chaque cellule, ramène l’humain divin révélé, à la vie. Le chant d’amour du cœur murmuré au marcheur, imprime à chaque pas, des notes célestes sur la Terre Mère ravie d’être ainsi honorée. Les énergies du ciel et de la terre s’enlacent offrant un joyeux équilibre dans le geste, dans le mouvement, les pensées et les émotions harmonisées.

Semaine dans l'énergie du "16"; "L’Éveil Libérateur" par Murielle Robert




Avec quelques jours de retard, voici la vibration sacrée de la semaine placée sous l’énergie du « 16 ». Il a fallu que je contacte Murielle Robert pour qu’elle me confirme la bonne façon de calculer. J’ai préféré être sûre de publier le bon texte. Bien que nous soyons au milieu de la semaine, il peut être utile de savoir quel genre d’énergie est à l’œuvre en ce moment. Chaque situation du quotidien nous amène à choisir comment nous allons interpréter ce qui arrive. L’idéal, c’est d’être dans l’acceptation de ce qui est. Non la résignation, mais la capacité de ne pas être affecté par ce qui se passe. 
C’est en apprenant à accueillir mes émotions, en ne craignant plus de les ressentir, que je peux « décoller les timbres au fur et à mesure ». Libérer ce qui se manifeste sans le refouler, le rejeter ou le juger, permet de ne pas accumuler des énergies qui finiront par exploser. Je ne juge plus les parts de moi qui s’expriment d’une façon qui me déplaisait, je sais qu’elles ne sont que des aspects de moi et je ne m’y identifie plus. J’accepte le personnage intérieur qui voudrait être parfait, dans la paix, dans l’amour. J’accueille l’autre moi qui se rebelle, qui critique, qui refuse d’aimer... N’étant plus réprimés, ils se pacifient, ne sont plus en conflits et se fondent dans l’amour de mon être.