jeudi 25 juillet 2013

Bas les masques!...vidéos d'animation





Ce matin, je n’ai pas grand-chose à dire d’autre que : «  Vive la paix intérieure qui naît de la reconnaissance de sa multidimensionnalité et de l’amour inconditionnel de soi ». 
Un sentiment de plénitude emplit celui ou celle dont le cœur s’ouvre à l’énergie divine essentielle. La puissance rayonne sur chaque cellule, chaque corps et l’unité retrouvée situe la personnalité associée à l’être divin, au centre du cœur. Nul besoin de sacrifice, de rituel, l’observation attentive et émerveillée du mouvement de la vie en soi, et en dehors, vivifie l’humain divin.  

Rien à prouver juste l’envie de témoigner de cette puissante douceur qui accompagne le marcheur sur le chemin de l’éveil à son monde intérieur.
Plus de jugement, plus de critique, plus d’étiquetage réducteur, restituent au cœur sa joie de vivre, dans la simplicité et l’authenticité. 
L’enfant intérieur apaisé offre son enthousiasme, sa jeunesse éternelle et libère sa créativité sans cesse renouvelée.
L’âme guérie de ses peines, embrasse l’humanité, insuffle l’éternité en chaque cellule, ramène l’humain divin révélé, à la vie. Le chant d’amour du cœur murmuré au marcheur, imprime à chaque pas, des notes célestes sur la Terre Mère ravie d’être ainsi honorée. Les énergies du ciel et de la terre s’enlacent offrant un joyeux équilibre dans le geste, dans le mouvement, les pensées et les émotions harmonisées.


Je m’en vais au jardin, abreuver la terre mère et ses émissaires colorées, ses verts du plus profond au plus clair épanouis de beauté, qui enchantent les sens et ravissent l’âme incarnée.  
C’est magnifique de pouvoir constater dans les situations de la vie, la façon dont j’ai pu évoluer en une année ! Même s’il me semble qu’au jour le jour, j’avance à petits pas, avec du recul, je me rends compte que ce sont des pas de géants, des sauts quantiques formidables !

En allant en courses, j’ai croisé la personne avec qui j’ai eu ma dernière histoire amoureuse dans la "troisième dimension" et je suis épatée de n’avoir eu aucune émotion en sa présence. Un sentiment d’amitié, ni plus ni moins. Pas de mouvement intérieur, pas de films du mental, aucune projection, juste une conversation entre personnes connectées sur la même longueur d’ondes au niveau de la foi, de la connaissance des lois universelles et de l’humain divin. 
On s’est raconté nos vies, les événements de ces derniers six mois, sans jouer de rôle, dans la transparence. L’année dernière, à la même époque, le seul fait de le voir, éveillait beaucoup de peurs, de regrets, de colère qui m’amenaient à me positionner dans des jeux de rôles allant de la victime blessée à la séductrice en mal de reconnaissance. Nous sommes restés près d’une heure à la terrasse d’un café sans se soucier de l’entourage, sans se cacher ni s’exhiber pour aborder des sujets personnels ou spirituels.
Moi, à la terrasse d'un café! Rien que ça, c'est énorme!

La chaleur est écrasante et les bruits des portes qui claquent m’ont sortis de ma sieste. Je ne sais pas ce que veut dire ce vacarme incessant. J’en ai profité pour accueillir la colère, puis ce sont les battements d’ailes du pigeon qui se ballade dans l’appart, qui m’ont décidés à me lever. Il commence à être à l’aise. C’est dingue la capacité d’adaptation des jeunes animaux ! Je râle un peu de le suivre à la trace, une  éponge à la main, mais comme ça n’est que pour peu de temps, je prends patience. J’ai dû fermer les volets tant la chaleur extérieure est pénétrante est étouffante ! J’espère ne pas avoir à arroser à nouveau ce soir !
Voici quelques vidéos d’animations que j’ai regardé il y a déjà quelques semaines. Quand la chaleur est si forte, il est préférable de se tenir tranquille !

En repensant au déroulement de cette journée, je me rends compte que mon âme m'a préparée à la rencontre avec cette personne qui m'a fait travailler énormément sur ce que je trimballais inconsciemment au niveau de la relation amoureuse. En 2007, je sortais à peine de l'église où on enseignait le "rôle" d'une femme, où on rangeait chacun par catégorie. Un monde bien cadré, bien propre, où tout est carré...L'horreur en somme, c'est ce qui m'a permis de sortir de cette communauté. Quand sa personnalité se fond dans la masse, il est temps de fuir à grandes enjambées, et vive la liberté d'être! 

Tout cet amour divin que j'ai ressenti ce matin, ce bain intérieur, m'a recentrée. Mes corps émotionnels alignés, l'amour inconditionnel de soi m'a fortifié. Cette sensation m'a confirmé l'efficacité du "travail" effectué ces derniers mois qui me rend libre d'aimer sans attaches, sans peur, sans projection...Les textes publiés hier, ont participé à ce que cette rencontre me montre la guérison profonde qui s'est opérée. Merci mes corps, merci mon âme, merci ma présence, merci pour cette complétude intérieure qui me libère de la dépendance affective!

« In memoriam »
(7mn53)


« Le moine et la mouche »
(3mn26)



« Argine »
(3mn11)



Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr