Je ne sais pas si c’est parce que la pluie s’est calmée mais la lumière revient dedans et dehors. Enfin, j’entrevois des pistes. Derrière la prise de cachets, il y a la notion de plaisir. Comme je ne veux pas de relation de couple basée sur les rapports de force, la manipulation, la séduction, j’ai mis aussi la sexualité de côté. Les endorphines ayant un effet « plaisir », les médocs compensent ce manque de vie sexuelle.
Quand j’étais ado, je n’avais pas trop de tabou même si j’avais besoin de produits, d’alcool ou de pétards pour me désinhiber. Je ne considérais pas la sexualité comme quelque chose de mal au contraire, ça faisais partie de ma devise de l’époque, sexe drogue et rock n’roll.
Bien que je n’en sois plus trop là, (j'aime toujours le rock et ne renie pas mon désir théoriquement) j’ai occulté un peu vite la sexualité.
Les dix ans
passés chez les Mormons n’ont pas arrangé les choses:)