mardi 5 mars 2013

Utiliser son libre arbitre, sa puissance divine. "Bonus recette des choux à la crème, illustrée" :)





La pluie qui tombe depuis hier après midi, m’inspire des réflexions qu’il me semble utile de partager. Bien que ce sujet ait été traité et retraité, il est plus que jamais d’actualité. 

Chaque jour qui se lève est un jour nouveau, se dire l’essentiel dès le réveil est une gymnastique bénéfique pour le mental, et comme tout est lié, pour tous les autres corps.

Je vais donc utiliser cet exemple de la pluie pour voir les choix qui s’offrent à moi et utiliser la puissance divine qui habite chacun dans le pouvoir exceptionnel du libre arbitre.

Mais avant ça, un petit rappel de ma foi s’impose.
Je sais que je suis tout autant humain que divin. 
Je sais que je créé en permanence, attirant dans ma vie ce qui correspond à mes croyances et qui est imprimé dans chacun de mes corps. 
Je sais que par le verbe et l’intention, je peux modifier ce qui n’est plus en accord avec ma conscience et que pour ce faire, il me suffit de libérer ce qui s’oppose à mon désir et se cache dans l’inconscient. 
Cette partie de moi n’est pas inaccessible, elle s’exprime à travers les situations de la vie qui ne sont pas le reflet de l’amour que je suis. 
Je sais aussi que je ne suis pas seule sur terre et que mes intentions doivent être amoureuses et respectueuses de toute vie.
Mon pouvoir ne consiste pas à modifier l’extérieur mais le regard que je porte dessus.
Et comme ce qui est en dehors est à l’image de ce qui est dedans, en plaçant ma vision à partir de mon cœur, le monde se transforme tout naturellement.

Revenons donc au fait, à la réalité de l’instant présent.
J’ai commencé par écrire tout ce qui apparaît quand on est limité à croire qu’on subi sa vie mais cette perspective étant définitivement inscrite dans le passé, je préfère mettre ici des mots porteurs d’énergie légère et joyeuse.

Alors j’ai choisi de bénir cette pluie pour toutes les opportunités qu’elle m’offre et de voir ce que je peux aimer dans cette situation. 
Après tout, je suis seule à pouvoir décider ce que je veux vibrer dans le moment présent en ne laissant pas les voix du passé diriger mes pensées.
La nature décide de laver, de libérer alors je suis cette inspiration de la terre et du ciel réunis.
J’accueille cette pluie afin qu’elle emporte avec elle, chaque peine transmutée, toutes ces illusions qui sont nées de la peur et de l’ignorance. 
Les notions de sacrifice, de difficulté et de résistance, laissent place à la fluidité que cette eau représente et retournent à la terre afin d’être consumées par l’amour de la divine mère.
Que les gouttes de cette pluie soient l’expression de ma joie de vivre, ma reconnaissance et ma gratitude pour tout ce que le ciel et la terre m’apportent.
Pour le fait d’avoir un toit sur ma tête, pour l’abondance de nourriture, comme l’abondance d’idées pour faire de ce jour une fête. 
Pour la musique qui invite mon corps à danser pour tout ce que mes sens me permettent de vivre. 
Pour ce corps physique dont je suis locataire et qui se régénère dès qu’il capte mes pensées et mes actes amoureux envers lui.
J’en profiter pour libérer la culpabilité de ne pas travailler puisque selon ma foi, réaliser l’unité intérieur vaut largement les quelques heures d’activité physique rémunérées qui ne feraient que me maintenir dans l’illusion d’être une fourmi dans la fourmilière, dépendant de ma fonction prédéterminée et selon que je sois guerrière ou ouvrière, je n’aurais qu’à jouer un rôle imposé, répétant les mêmes gestes à longueur de journée.
Libérer en même temps l’idée de sacrifice qui voudrait que je peine à être ce que je suis alors qu’il me suffit de respirer pour exister.

Aujourd’hui, je décide de répondre à cette unique question :
Qu’est-ce qui me ferait plaisir, maintenant ?

Des choux à la crème :
Ingrédients :
150 gr de farine
80 gr de beurre
1 pincée de sel
3 œufs moyens
1/8 de lait
1/8 d’eau normalement c’est ¼ d’eau mais je préfère y ajouter du lait. Pas trop non plus sinon c’est fait une pâte trop liquide parce que trop grasse.
Comme la réussite de la pâte dépend de la réaction chimique entre le liquide bouillant et la farine, trop de graisse, ça fait foirer le processus.
La recette avec quelques photos des moments clés !

Couper le beurre en petit bout et mettre dans une casserole, avec le lait, l’eau et le sel. Faire bouillir, vraiment jusqu’à ce que ce soit à la limite de déborder.
La première fois que j’en ai fait, je n’ai pas fait bouillir assez et comme le liquide n’était pas assez chaud, ça n’a pas pris. Rajoutez la farine en une seule fois et mélanger énergiquement.
Vous devez obtenir ça :


Ajouter les œufs un par un. S’ils sont trop gros, la pâte peut devenir trop liquide.
Pas de panique, au début, ça n’est pas du tout homogène mais en continuant de mélanger, ça le devient.
La preuve en images


Il est bon d’avoir une spatule pour racler la casserole et ainsi pouvoir bien mélanger le tout. J’utilise une fourchette pour mélanger mais dans la plupart des recettes, il recommande l’usage d’une spatule.


Ensuite, avec deux petites cuillères ou une poche. J’utilise les cuillères moins chiantes à utiliser que les poches et même si c’est moins joli, c’est tout aussi bon.


Mettre au four, thermostat moyen (je n’en ai pas et surveille la cuisson au fur et à mesure). Il faut compter au moins trente minutes avant que ça gonfle et un peu plus pour que ça soit cuit.
Le résultat doit ressembler à ça :


L’idéal c’est de les mettre sur une grille pour qu’ils refroidissent bien. J’utilise un truc pour éviter les éclaboussures de graillon de la viande à la place.
Pour la garniture, vous pouvez mettre de la crème pâtissière, de la glace à la vanille avec du chocolat fondu dessus (profiteroles). Vous pouvez laisser parler votre enfant intérieur qui saura vous dire quoi mettre dedans :) 


Crème pâtissière :
1 œuf
75 à 100 gr de sucre
Deux cuillères à soupe de farine
¼ de litre de lait
1/3 de crème liquide (ça rend la crème un peu plus onctueuse)
On mélange l’œuf et le sucre, on peut y ajouter de l’extrait de vanille liquide, de café...
On rajoute la farine. On fait bouillir le lait et la crème (sans faire déborder parce que c’est chiant à laver !) On verse un peu du liquide dans le mélange puis le mélange dans la casserole avec le reste de liquide. On remue au fouet et on prend patience parce que c’est un peu long à épaissir. C’est prêt quand des bulles d’air apparaissent sur la surface de la crème.  Il vaut mieux que ça soit bien cuit sinon, bonjour les gaz ! 
Là, c’est bien de verser dans un saladier pour que ça refroidisse plus vite. Je la mets dans plusieurs récipients comme ça c’est plus vite mangeable.


Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr