La pluie qui tombe depuis hier après midi, m’inspire des réflexions qu’il me semble utile de partager. Bien que ce sujet ait été traité et retraité, il est plus que jamais d’actualité.
Chaque jour qui se lève est un jour nouveau, se dire l’essentiel dès le réveil est une gymnastique bénéfique pour le mental, et comme tout est lié, pour tous les autres corps.
Je vais donc utiliser cet exemple de la pluie pour voir les choix qui s’offrent à moi et utiliser la puissance divine qui habite chacun dans le pouvoir exceptionnel du libre arbitre.
Mais
avant ça, un petit rappel de ma foi s’impose.
Je sais
que je suis tout autant humain que divin.
Je sais que je créé en permanence,
attirant dans ma vie ce qui correspond à mes croyances et qui est imprimé dans
chacun de mes corps.
Je sais que par le verbe et l’intention, je peux modifier
ce qui n’est plus en accord avec ma conscience et que pour ce faire, il me
suffit de libérer ce qui s’oppose à mon désir et se cache dans l’inconscient.
Cette partie de moi n’est pas inaccessible, elle s’exprime à travers les
situations de la vie qui ne sont pas le reflet de l’amour que je suis.
Je sais
aussi que je ne suis pas seule sur terre et que mes intentions doivent être amoureuses
et respectueuses de toute vie.
Mon
pouvoir ne consiste pas à modifier l’extérieur mais le regard que je porte
dessus.
Et comme ce qui est en dehors est à l’image de ce qui est dedans, en
plaçant ma vision à partir de mon cœur, le monde se transforme tout
naturellement.
Revenons
donc au fait, à la réalité de l’instant présent.
J’ai
commencé par écrire tout ce qui apparaît quand on est limité à croire qu’on
subi sa vie mais cette perspective étant définitivement inscrite dans le passé,
je préfère mettre ici des mots porteurs d’énergie légère et joyeuse.
Alors j’ai choisi de bénir cette pluie pour toutes les opportunités qu’elle m’offre et de voir ce que je peux aimer dans cette situation.
Après tout, je suis seule
à pouvoir décider ce que je veux vibrer dans le moment présent en ne laissant
pas les voix du passé diriger mes pensées.
La
nature décide de laver, de libérer alors je suis cette inspiration de la terre
et du ciel réunis.
J’accueille
cette pluie afin qu’elle emporte avec elle, chaque peine transmutée, toutes ces
illusions qui sont nées de la peur et de l’ignorance.
Les notions de sacrifice,
de difficulté et de résistance, laissent place à la fluidité que cette eau
représente et retournent à la terre afin d’être consumées par l’amour de la
divine mère.
Que les
gouttes de cette pluie soient l’expression de ma joie de vivre, ma
reconnaissance et ma gratitude pour tout ce que le ciel et la terre
m’apportent.
Pour le
fait d’avoir un toit sur ma tête, pour l’abondance de nourriture, comme
l’abondance d’idées pour faire de ce jour une fête.
Pour la musique qui invite
mon corps à danser pour tout ce que mes sens me permettent de vivre.
Pour ce
corps physique dont je suis locataire et qui se régénère dès qu’il capte mes
pensées et mes actes amoureux envers lui.
J’en
profiter pour libérer la culpabilité de ne pas travailler puisque selon ma foi,
réaliser l’unité intérieur vaut largement les quelques heures d’activité
physique rémunérées qui ne feraient que me maintenir dans l’illusion d’être une
fourmi dans la fourmilière, dépendant de ma fonction prédéterminée et selon que
je sois guerrière ou ouvrière, je n’aurais qu’à jouer un rôle imposé, répétant
les mêmes gestes à longueur de journée.
Libérer
en même temps l’idée de sacrifice qui voudrait que je peine à être ce que je
suis alors qu’il me suffit de respirer pour exister.
Aujourd’hui,
je décide de répondre à cette unique question :
Qu’est-ce
qui me ferait plaisir, maintenant ?
Des
choux à la crème :
Ingrédients :
150 gr
de farine
80 gr de
beurre
1 pincée
de sel
3 œufs
moyens
1/8 de
lait
1/8
d’eau normalement c’est ¼ d’eau mais je préfère y ajouter du lait. Pas trop non
plus sinon c’est fait une pâte trop liquide parce que trop grasse.
Comme la
réussite de la pâte dépend de la réaction chimique entre le liquide bouillant
et la farine, trop de graisse, ça fait foirer le processus.
La
recette avec quelques photos des moments clés !
Couper
le beurre en petit bout et mettre dans une casserole, avec le lait, l’eau et le
sel. Faire bouillir, vraiment jusqu’à ce que ce soit à la limite de déborder.
La
première fois que j’en ai fait, je n’ai pas fait bouillir assez et comme le
liquide n’était pas assez chaud, ça n’a pas pris. Rajoutez la farine en une
seule fois et mélanger énergiquement.
Vous
devez obtenir ça :
Ajouter
les œufs un par un. S’ils sont trop gros, la pâte peut devenir trop liquide.
Pas de
panique, au début, ça n’est pas du tout homogène mais en continuant de
mélanger, ça le devient.
La
preuve en images
Il est
bon d’avoir une spatule pour racler la casserole et ainsi pouvoir bien mélanger
le tout. J’utilise une fourchette pour mélanger mais dans la plupart des
recettes, il recommande l’usage d’une spatule.
Ensuite,
avec deux petites cuillères ou une poche. J’utilise les cuillères moins
chiantes à utiliser que les poches et même si c’est moins joli, c’est tout
aussi bon.
Mettre
au four, thermostat moyen (je n’en ai pas et surveille la cuisson au fur et à
mesure). Il faut compter au moins trente minutes avant que ça gonfle et un peu
plus pour que ça soit cuit.
Le
résultat doit ressembler à ça :
L’idéal
c’est de les mettre sur une grille pour qu’ils refroidissent bien. J’utilise un
truc pour éviter les éclaboussures de graillon de la viande à la place.
Pour la
garniture, vous pouvez mettre de la crème pâtissière, de la glace à la vanille
avec du chocolat fondu dessus (profiteroles). Vous pouvez laisser parler votre
enfant intérieur qui saura vous dire quoi mettre dedans :)
Crème pâtissière :
1 œuf
75 à 100
gr de sucre
Deux
cuillères à soupe de farine
¼ de
litre de lait
1/3 de
crème liquide (ça rend la crème un peu plus onctueuse)
On
mélange l’œuf et le sucre, on peut y ajouter de l’extrait de vanille liquide,
de café...
On rajoute la farine. On fait bouillir le lait et la crème (sans
faire déborder parce que c’est chiant à laver !) On verse un peu du
liquide dans le mélange puis le mélange dans la casserole avec le reste de
liquide. On remue au fouet et on prend patience parce que c’est un peu long à
épaissir. C’est prêt quand des bulles d’air apparaissent sur la surface de la
crème. Il vaut mieux que ça soit bien
cuit sinon, bonjour les gaz !
Là, c’est bien de verser dans un saladier pour que ça refroidisse plus vite. Je la mets dans plusieurs récipients comme ça c’est plus vite mangeable.
Là, c’est bien de verser dans un saladier pour que ça refroidisse plus vite. Je la mets dans plusieurs récipients comme ça c’est plus vite mangeable.
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr