dimanche 13 novembre 2016

« De la théorie à la pratique »





« Rien ne sert de courir, il faut partir à point » cette maxime connue de tous est d’une grande sagesse comme la plupart des proverbes populaires. Ce La Fontaine était inspiré et ces fables basées sur l’observation de la nature sont empruntes de sagesse. 
Quand on parle de communication télépathique avec la nature, je l’entends plus comme une interaction où la conscience humaine observe et tire des conclusions de cette observation silencieuse de la nature qui révèle des principes universels. 
Observer, c’est connaitre ou être avec, au sens littéral du terme.

Ce n’est pas par hasard que cette phrase de La Fontaine est apparue maintenant puisque ça résume l’essentiel et ça correspond bien aux circonstances. J’ai observé que lorsque j’ai une irrésistible envie d’écrire alors que je devrais être dans l’action, c’est le signe que le mental est apeuré. Il ne s’agit pas de le convaincre qu’il a tort mais juste de reconnaitre cela et de laisser l’émotion surgir, s’exprimer. 
Comme la peur est systématiquement refoulée, elle ne va pas s’exprimer de façon violente ou claire et d’ailleurs ça n’est pas ce qui compte le plus. Ce qui change la vibration, c’est le fait de reconnaitre le processus de refoulement, de réaction, de résistance et de le stopper en se posant, en se centrant dans le ressenti du cœur.

« Partir à point », c’est à mon sens agir depuis l’espace serein du cœur, plutôt que de démarrer au quart de tour motivé par l’instinct de survie. La phrase et son contenu sont l’expression de l’âme, de sa guidance, de sa présence et en venant au centre, c’est une façon de communier, de se mettre en état de réceptivité, d’ouverture.

samedi 12 novembre 2016

« Intégration de l’Âme » Kara Schallock






C’est toujours un tel plaisir que d’être surpris par les choses, plutôt que d’avoir une attente à propos de quelque chose. Pour moi, les phases de la Lune me surprennent car je ne suis pas l’Astrologie, les phases de la Lune, le calendrier, etc. Donc lorsque je vois la Lune, les étoiles et les autres belles choses de l’Univers, je suis ravie, bénie et mon Cœur déborde de Joie. N’est-ce pas ainsi que tout est dans le Nouveau ? 

Nous sommes surpris et ravis même par les plus petits miracles. 
C’est voir avec de nouveaux yeux, car lorsque les anciens schémas / attachements / attentes / croyances / autres anciennes façons de faire s’attardent encore à l’intérieur, il n’est pas possible de voir avec de nouveaux yeux… et ensuite, nous nous attendons à ce que les choses soient comme elles l’ont toujours été. 
C’est tellement plus amusant de ne pas avoir de prévisibilité dans notre vie, mais peut-être que de ne pas avoir d’attentes n’est pas une chose si amusante pour certains. Aimez-vous la prévisibilité ou aimez-vous être surpris? Cela vous en dira beaucoup sur vous-même.

Nous sommes dans une phase énergétique où nous pouvons voir nos croyances les plus enracinées et transformer tout ce qui est limitant. C’est à nous de discerner ce qui nous sert ou pas. Lorsque nous laissons aller la prévisibilité, nous nous ouvrons à de nouvelles façons de voir les choses et nous en apprenons de nouvelles que nous ne connaissions pas auparavant. Tant de choses sont révélées en ce moment – si nous choisissons de voir avec de nouveaux yeux et d’être ouverts au Nouveau.

vendredi 11 novembre 2016

« Utiliser les circonstances pour se centrer et se libérer de la forme, des croyances »





10/11 Il est clair que plus le monde semble chaotique, plus l’extérieur est troublant, plus ça demande de faire la clarté en soi, de se positionner dans ses choix, de s’ancrer dans sa réalité. Moins on s’éparpille, moins on se projette vers l’extérieur, mentalement et émotionnellement et plus on se sent serein, puissant, confiant,  malgré ce qu’on peut percevoir dans le monde. Et d’ailleurs comme le mental ne peut pas être à la fois focalisé sur le cœur et sur l’extérieur, lorsqu’on vient au centre de l’être, l’extérieur ne suscite plus de réaction. Peu à peu, à mesure que le mental émotionnel se stabilise, s’équilibre, ce que vit le monde ne nous touche plus.

Ce n’est pas une fuite non plus mais plutôt la conséquence d’une évidence, la vision depuis le cœur est claire, on sait où se situe notre responsabilité, notre potentiel et notre champ d’action. 
Notre potentiel se déploie depuis cette reconnaissance de qui nous sommes et la conscience que c’est la part divine, éclairée, beaucoup plus vaste, qui agit, qui crée, qui a tous pouvoirs. 
Le premier, c’est d’apaiser la personnalité et d’éclairer sa vision.   
Les outils sont la transparence envers soi, la capacité à se positionner dans le centre et à choisir à chaque instant la paix et l’unité. 
La transparence permet de voir en soi, de distinguer les rôles, les personnages, de l’être véritable. 
Nous avons le réflexe de projeter vers l’extérieur, par instinct de survie, ce que nous ressentons en nous-même, ce qui nous dérange. De ce fait nous nous éparpillons et nourrissons l’illusion, l’illusion de l’impuissance, du pouvoir et des jeux de rôle.

jeudi 10 novembre 2016

« Le chaos est notre ami » Daniel Desjardins






Cette nuit, à 00:57, heure de l'est des Amériques, je me suis éveillé en sursaut avec une intuition, non une connaissance, que les États-Unis d'Amérique avaient élu Donald Trump. Je ne vous cacherai pas que mon mental est tout de suite passé en 6e vitesse avec une quantité de scénarios et de peurs quant à l'avenir de notre monde et une grande incompréhension face au fait qu'en 2016, après déjà 4 ans de nouvelles énergies, comment était-il possible qu'un potentiel despote soit élu à la tête d'un des pays les plus influents de la planète?
C'est lorsque je me suis permis de rester dans la question, et de m'ouvrir véritablement à recevoir la réponse que les Guides de l'Unité m'ont parlé (ou plutôt c'est à ce moment, lorsque j'ai baissé mes barrières que j'ai pu les entendre...). 

Ils m'ont montré que oui, cette élection va amener le chaos à plusieurs niveaux dans leur pays, mais aussi dans le monde, mais que le chaos, contrairement à ce que la majorité de gens pense, le chaos c'est une bonne chose!

Le chaos accélère la destruction de l'ancien, car plus rien ne peut rester en place comme il l'était. Cela force le changement, et c'est pour cela que les gens ont voté! L'humanité en a assez de l'Ancien Monde et des anciennes énergies, et ironiquement, la façon la plus rapide de s'en débarrasser c'est d'aller une dernière fois dans l’extrême (je ne dis pas que cela ne peut pas se produire aussi en France et dans d'autres pays qui ont des élections cette année ou l'année prochaine :) ).

mercredi 9 novembre 2016

« Être pleinement Vivant » & « Être soi-même » vidéo de Darpan






8 11 Toute souffrance vient d’un blocage énergétique, d’un manque de fluidité, de souplesse, d'ouverture. Si l’énergie de vie est confinée dans un des corps, un des chakras, cela créé des frustrations, des maladies et une confusion mentale. Elle est généralement confinée dans le mental qui tente de contrôler la vie, les émotions. C’est plus ou moins intense selon les blessures d’enfance et la capacité d’adaptation à son environnement, selon la personnalité, la foi, le désir d’incarnation ou d’Être de l’âme, le degré de conscience et le vécu. 
Cela fait beaucoup de paramètres et de par notre constitution multidimensionnelle, le nombre de nos corps et le contexte de la dualité, c’est autant de possibilités de souffrir, de s’enfermer, d'être confus, que de potentiel d'ouverture, de réalisation et d’expansion qui s’offrent à nous.
La perception et l’interprétation de l’humain ignorant de sa nature multidimensionnelle est limitée en conséquence. Plus on devient conscient de tout ce que nous sommes en réalité et en le ressentant, en s’observant avec un regard neuf, plus on est émerveillé par cela.

On croit que la sexualité représente l’enjeu essentiel et que l’accomplissement d’un être réside dans l’acte qui consiste à assouvir son désir. La société est construite sur ce postulat réducteur et tout est envisagé comme un objet de consommation, tout est commercialisé et tourne autour de la séduction, de la capacité à convaincre, à dominer l’autre et à avoir raison.

Je regarde des vieux films des années 30 à 50 et je suis ébahie de constater que les mêmes personnages, les mêmes scénarii se rejouent sans cesse. Tout est basé sur la superficialité de l’être et l’amour est cantonné aux relations de couple quels qu’ils soient. 
Le besoin de communion, de fusion est limité dans son accomplissement par la relation de couple, les relations filiales, comme si le cœur de l’humain ne pouvait embrasser qu’un nombre limité d’individus. 

mardi 8 novembre 2016

« Ne pas s’attacher à ce qui est perçu, ne pas qualifier, ne pas nommer, Juste Observer »





7 11 Je viens de faire la dernière méditation de Deepak Chopra et comme je réagis à chaque fois qu’il parle de l’âme comme d’un aspect limité et possiblement endormi de l’être, j’ai demandé à mon âme d’éclairer mon mental pour que je puisse comprendre mieux qui est qui. Je ne sais pas si je vais traduire en mots ce que j’ai perçu sous forme d’images symboliques, mais j’essaie quand même histoire de ramener le mental au calme.

Tout est question de conscience, de niveau de conscience et d’identification. 
Tant qu’on est identifié seulement au corps physique, qu’on se croit limité, on l’est apparemment. Puis quand on ressent son âme ou que nous sommes plus que notre corps, nos pensées, notre personnalité, on se tourne à l'intérieur, en son cœur/esprit, on s’ouvre et par l’observation on va reconnaitre le caractère illusoire de la personnalité. 

En effet comme nous jouons tous des rôles qui peuvent être reconnus et placés dans des cases, ces rôles étant construits sur l’expérience douloureuse et l’incompréhension ou l’identification aux pensées émotions, aux blessures, il est clair que ça n’est pas notre vrai moi. 
Lorsqu’on est conscient d’exister au-delà des rôles, dans une dimension plus vaste de l’être et par la connexion à cet aspect de soi, on est en relation avec toutes les émanations de l’âme. Elle est infinie, se manifeste en toute forme de vie et selon notre degré de conscience, notre capacité d’ouverture, on va s’identifier soi à une âme qu’on s’approprie soit à l’âme cosmique, universelle. 
Il semble qu’il y ait une seule et même âme, ou l’aspect incarné de la source, l’aspect capable de se matérialiser dans la chair, la matière, sous forme d’atomes organisés. 
Nous sommes uniques dans la relation à la source, à l'âme et la conscience Une.
Puis la conscience sans forme qui habite toute vie et que nous partageons tous.

lundi 7 novembre 2016

« Je suis déjà tout ce que je souhaite manifester »





6 11 Ce matin, après une bonne nuit de sommeil réparateur, je me sens bien, sereine et en commençant à écouter la médiation de Deepak Chopra, l’idée que mon âme a choisi d’utiliser la dualité, la souffrance et la faculté de comparaison du mental comme moyen de réalisation, d’émergence du vrai moi, du soi, m’apparait comme une évidence. 
Il n’y a rien à faire, juste à être, je suis déjà tout ce que je souhaite manifester.

Je suis encore parfaitement en résonance avec ce qu’il dit et ces quelques mots en particuliers, ont fait écho en moi : « Irradier la plénitude/réalisation/l’accomplissement est l’étape finale de l’expansion du bonheur. Ceci vient de soi quand vous reconnaissez en vous qu’il n’y a plus rien à chercher, vous retournez chez vous, après votre voyage. Pourtant, le chemin spirituel se déroule comme un voyage étrange parce que vous ne parcourez aucune distance. 
Vous commencez là où vous avez commencé avec vous-même mais le soi que vous connaissiez au début, n’est plus celui que vous connaissez à la fin. 
Votre soi à la fin s’est réalisé, il a appris que la vie ne nécessite aucune lutte, peur ou résistance, vous avez seulement besoin d’être. 
J’aime la simplicité de la citation suivante : « pour devenir illuminé,  arrêtez de courir continuellement et commencez à marcher. Quand vous marchez, ralentissez et arrêtez vous. Dès que vous vous arrêtez, vous réalisez qui vous êtes vraiment ». 

Alors, tout le voyage est un processus de détente et de relâchement. Il n’y a rien à étudier, mémoriser, apprendre ou à défendre, il y a seulement l’expérience. Faire l’expérience du vrai soi ne serait-ce qu’un instant, active la sensation du « ah ah, voilà ce que j’ai toujours recherché » Deepak Chopra