Ce
matin, malgré le froid, j’ai chaud à l’intérieur et même si je peux me dire que
mes croyances limitantes ont créé cette situation inconfortable, en me centrant
dans l’unité intérieure, la chose apparait comme une forme d'initiation, une occasion de plus d'apprendre la maitrise des énergies en répondant aux stimuli, par le retour au cœur qui génère l'action juste, fluide et spontanée.
Évidemment quand
je commence à me plaindre, à me complaire dans le rôle de la victime, je vois
les choses d’une façon négative et là, je souffre.
Ce qui ne veux pas dire non
plus que je vais sauter de joie en faisant mine d’ignorer la situation, en me
voilant la face et en essayant de positiver à tout prix.
J’ai
confié à la source, au vide, à l’univers, à mon cœur, que c’était éprouvant
puisque ça me demande de trouver des solutions pour ne pas être figée par le
froid et ça m’a ramené dans l’humilité, la douceur du cœur.
Je vois les
bénéfices de cette situation qui m’oblige à sortir de ma zone de confort, de
mon train train et comme on développe ses capacités en s’adaptant, de ce point
de vue, c’est plutôt bénéfique.
J’y vois aussi les croyances que je continue de
porter bien qu’elles m’apparaissent comme obsolètes mais je vois surtout que ça
m’oblige à rester centrée en mon cœur, à y cultiver l’amour, la douceur et
aussi à lâcher la colère qui monte parfois envers ces programmations.