samedi 5 décembre 2015

« L’harmonie intérieure facilite la gestion du temps et de l’espace sans être manipulé par la peur » & vidéos de centrage...





Comme je continue de me lancer dans l’exploration de tout ce que je suis en jouant avec les doses de médicaments, j’ai été réveillée à 3h33 ! Le chiffre m’a amusée et je me suis levée puisque mon corps ne montrait pas trop de signe de fatigue et surtout parce que j’en avais envie. 
Des questions me tracassent quand je vois la multitude de points de vue différents sur le net. Je me disais : "comment peut-on lire autant de versions de la réalité parfois totalement opposées ?" Puis je me suis souvenue que ce monde est celui de la dualité, que nous sommes multidimensionnels, complexes et simples à la fois, humains et divins. 
Et les points de vue à propos du divin sont aussi nombreux que ceux au sujet de l’humain. Donc, c’est logique, normal, qu’on n’arrive pas encore à avoir une vision commune de ce qui est, de la vie et de l’être.
Nous avons en nous des portes qui mènent à différents plans de consciences et nous nous promenons tout au long de la journée d’un espace à l’autre. Quand nous sommes centrés en notre cœur nous nous percevons comme un tout cohérent et harmonieux tout comme le monde et la vie.
Ça me fait penser à la phrase attribuée à Jésus : « il y a plusieurs demeures dans le royaume de mon père ». 
On peut se voir comme un corps physique doté d’un cœur, d’un cerveau, d’organes, de systèmes, qui nait et meurt, qui vit sa vie entre ces deux moments considérés comme le début et la fin. Et on peut de cette façon, remplir cet espace de façon agréable en se laissant simplement porter par la vie sans trop se poser de questions si l’extérieur et notre environnement sont paisibles, harmonieux.  
En étant simplement dans la paix du cœur, l’amour, présent et focalisé sur ce qu’on veut.

« Êtes-vous pris dans votre routine ? » Lise Bourbeau






En effet, beaucoup de gens recherchent une vie très sécurisante et routinière et ne savent pas à quel point ils s’enlisent ainsi dans une vie basée sur une sécurité éphémère. 
Ils se limitent avec leurs croyances et n’osent pas changer par peur du jugement des autres. 
Prenons comme exemple une femme ayant l’habitude de maintenir sa maison impeccable jour après jour. Si elle décidait un jour de ne pas nettoyer ou ne pas ranger la maison, ses proches pourraient croire qu’elle est malade ou déprimée. 
J’ai aussi connu une dame ayant une bonne blessure de rejet qui n’avait jamais osé s’affirmer face aux autres. Lorsqu’un jour, elle a décidé de le faire, tous ont cru qu’elle faisait une crise de folie.

À ne jamais changer de comportements, la plupart des gens se complaisent dans la routine et finissent par se définir d’une certaine façon. 

Et vous ? Comment vivez-vous le changement ? 
En avez-vous peur ou y voyez-vous une opportunité de passer à autre chose, de découvrir d’autres modes de vie ? 

« Un changement conscient de perception » le groupe via Steve Rother





Le moyen le plus simple de modifier une situation est de changer votre point de perception pour accéder à une vision élargie. 
Les humains ne sont pas conscients de faire cela, mais vous apprendrez très bien à le faire au cours du prochain siècle. 
La capacité de modifier à n’importe quel moment votre perception à propos d’une situation et de la voir à partir de différents angles sera une partie très importante de l’évolution humaine. 
C’est ce qui se passe quand vous sortez du champ de la dualité où l’on voit toutes choses en noir ou blanc. 
C’est ce qui s’équilibre maintenant grâce à la troisième position du Soi supérieur de sorte que vous quittez maintenant le champ de la dualité pour entrer dans celui de la trialité. 

Le champ de la trialité confère les aptitudes de votre soi-dieu à votre corps physique.
Lorsqu’on accède à la trialité, on se demande quoi faire. On peut faire une chose ou l’autre, mais on peut aussi choisir de ne rien faire parce qu’on n’a pas besoin de faire quoi que ce soit. Il n’y a pas de mal à cela et ce n’est pas rester coincé.

vendredi 4 décembre 2015

« La raison du cœur... »





L’ancien moi qui est encore présent aurait dit de ce que j’ai vécu cette semaine : « Merde, fais chier, pas le temps de souffler ! » et le nouveau moi, le papillon que je deviens peu à peu, se rend compte que justement, il est plus que temps de souffler ! 
De respirer calmement dans la confiance et la sécurité qu’apporte le cœur; le désir d’unifier tout ce que je suis. 
Déjà, je peux constater combien la paix intérieure est stable, comment je reste moins longtemps accrochées à mes réactions, à ce qui arrive, à ce qui vient bousculer mon train train, mes habitudes sensées me sécuriser mais qui me maintiennent dans l’illusion et l’inaction. 
Je ne parle pas de se démener, de courir dans tous les sens mais déjà, de redéfinir mes priorités, d’appliquer le retour au cœur en toutes circonstances et en totale confiance.

Après le stress, la peur, les angoisses liées à la mort, la perte d’un être cher, par rapport à la maladie de Bilou, il y a eu les problèmes avec le poêle (qui ne sont apparemment pas tout à fait terminés...) qui m’ont remis face à cette peur instinctive de la mort, la peur d’être intoxiquée par les fumées qui refoulaient. 

Puis hier soir, alors que j’étais tranquillement en train d’écouter un conte qui me berçait dans la paix et me faisait voyager dans le monde de l’imagination, la totale; une coupure générale d’électricité m’a plongée dans le noir de 22h30 à ce matin!

jeudi 3 décembre 2015

« Comment Vivre l’Amour de l’Intérieur » Oraya





L’amour véritable est très simplement l’acceptation inconditionnelle de tout ce qui existe au moment où cela se manifeste à vous.
Cela ne veut pas dire pour autant que vous avez à vous compromettre et à dire Oui à un être lorsque votre âme sait qu’il vous faut dire non. 
Tout est plus subtil. 
L’acceptation inconditionnelle est intérieure

Vous pouvez ainsi très bien dire à un être Oui, tu es comme cela et je t’aime inconditionnellement, tout en lui disant Non, je ne t’offre pas ceci ou cela. 
Parce que vous êtes également responsable de ce que vous pensez, dites et faites sur Terre. 
Et cette responsabilité est totalement guidée par la sagesse du divin en vous qui voit plus loin et plus globalement ce que l’œil de votre personnalité terrestre ne le peut.

Ainsi, ce que vous pouvez considérer être juste si vous n’êtes pas relié à votre âme ne le sera point et ce que vous jugez injuste ne l’est pas non plus.

Vous savez fort bien reconnaître cet amour, il se ressent par l’ouverture. 
Oui l’amour est une ouverture infinie. Une ouverture intérieure.

« Les enfants du nouveau monde d'aujourd'hui » Miriadan et Magali





Depuis plusieurs années, voire quelques décennies, chaque enfant qui naît sur votre planète est porteur du Changement, celui du monde meilleur. 
Leurs caractéristiques génétiques les prédisposent à ouvrir leur esprit à la communauté, au Bien, au Bon, à l'Harmonie. 
Certains ont choisi d'activer leur potentiel de lumière dès leur naissance, d'autres attendent que vous, leurs parents, soyez prêts.
Ces enfants, comme tout enfant, représentent le meilleur de vous-mêmes. 
Cela signifie qu'ils prennent de vos expériences et de vos compréhensions ce qui vous élève afin d'en faire leurs bases de croissance personnelle. 
Ainsi est la Vie : le summum d'une génération devient le commencement de la continuité.
 
Un enfant détermine son lieu de naissance selon les lignées et les leçons qui sont en cohérence avec ce qu'il désire expérimenter. Il prendra racine au sein d'un couple qui lui offrira les germes énergétiques en lien avec ce qu'il souhaite comprendre, transcender. C'est-à-dire que le père et la mère seront porteurs des mêmes incompréhensions et souffrances en activité. 
De deux êtres, il en fera une unité en lui. Il prendra à charge leurs inconforts et dénis afin que son chemin de transcendance leur soit profitable. Il leur offrira la liberté.

« Quand ça bouscule, d’abord se poser, respirer, trouver la détente physique, mentale... »







J’aurais dû me douter que l’excitation, l’énergie exacerbée de la joie ressentie hier matin, allait m’amener à retrouver le point zéro, l’équilibre et l’humilité nécessaire à la réceptivité. Et ce retour au pont de neutralité, passe par l'émergence des pensées émotions de l'autre pôle, celles qui s'opposent à la joie.
J’ai eu bien du mal à me centrer, à ne pas me laisser envahir par ces énergies qui ont émergé peu à peu, et qui ont été déclenchées par le fait que tout allait de travers.

Malgré le tour dans la nature et au jardin, l’équilibre interne n’a pas tenu parce que ma joie reposait sur la sensation de victoire. J’ai pourtant pressenti que je devais revenir au cœur, apprendre à me taire enfin à faire taire l’ego, à calmer le jeu des pensées. Mais malgré tout, je n’ai pas pris le temps de me poser préférant essayer de canaliser l’énergie dans l’action. 

J’ai d’ailleurs écris à ce sujet mais comme j’ai opté pour l’action qui en fait était une forme de diversion, je suis retombée dans l’auto critique et ne l’ai pas publié.
Quand je commence à être submergée par les émotions après avoir été dans un état extrême, je me reproche de ne pas être capable de maitriser les choses, je me dévalorise et perd confiance en moi. Et la dégringolade est très rapide. Au moins, j’ai pu constater une fois de plus la puissance des pensées émotions, voir que la joie excessive ne vient pas du cœur.