Je suis
tombée du lit à 3h du matin, toute contente d’être encore en vie ! Merci maman
de m’avoir refilé l’info des gens morts par des émanations de monoxyde de
carbone ! C’est une peur à laquelle je n’avais pas pensé, qui sur le coup
m’a un peu affolé puis surtout agacée de la recevoir en héritage. Elle n’est
pas consciente de l’effet que peut produire un tel « cadeau » comme
la plupart des gens qui pense exprimer leur amour par des mises en garde. Une
chance que je sache relativement bien traiter ce genre d’émotions et utiliser
ce qu’on m’offre pour « grandir ». Puis comme j’ai mis sur le tapis,
il y a quelques jours, le « concept » de liberté afin de l’examiner,
il est logique que je me trouve face à ce qui peut m’empêcher d’en jouir. J’ai
eu droit à la peur d’être abusée, à peu près bien accueillie, celle de se
croire incapable de gérer les aspects matériels de la vie, de ne pas être à la
hauteur, de dépendre systématiquement des autres pour mon confort affectif et
physique...Je ne fais pas toute la liste, j’en aurais pour des heures d’autant
plus que j’en parlerai certainement au fur et à mesure. Après la peur de
mourir donc, j’explore celle d’être dépendante. De ne pas arriver à « gagner
ma vie ». Une idée lumineuse m’est apparue quand je me suis enfin décidée
à trier les photos de fleurs. J’ai passé cinq heures d’affilée sans me lasser à
effectuer des recadrages, à sélectionner des photos en vue de créer mes « cartes
mémoires » puis tandis que je m’éclatais, je me suis dit : mais c’est
ça mon « truc » ! C’est ça que j’aime faire, qui peut me
permettre d’être autonome financièrement en travaillant dans l’amour, la
facilité, la joie et la liberté ! « Lucidia », la voix
intérieure qui veille à ce que je ne m’égare pas dans les rêves inaccessibles,
ne s’est pas trop manifestée, elle m’a bien susurrée que ce n’était pas nouveau
mais j’ai répondu à son sens de la réalité, que rien n’était nouveau. Ce qui
fera la différence c’est le regard spécifique que je porte sur les choses et ma
façon de transmettre ma foi en l’humain divin.
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
mercredi 6 novembre 2013
mardi 5 novembre 2013
Douce chaleur intérieure et extérieure
Alors
que je revoyais certains moments passés ces derniers jours, je me disais que
finalement, le miroir avait été plutôt équilibré et « positif » dans
l’ensemble.
Oui il y a toujours le côté enfant qui a souffert et qui a du mal à devenir adulte mais je n’ai plus trop la fâcheuse tendance à jouer les Caliméro, à me plaindre de mon sort, même si je l’exprime intérieurement, une autre voix vient la consoler. Je ne parle pas non plus de ce blog puisqu’il est un témoignage fidèle du parcours d’un humain conscient de sa vraie nature et qui tente de faire cohabiter ces deux réalités, au quotidien.
Oui il y a toujours le côté enfant qui a souffert et qui a du mal à devenir adulte mais je n’ai plus trop la fâcheuse tendance à jouer les Caliméro, à me plaindre de mon sort, même si je l’exprime intérieurement, une autre voix vient la consoler. Je ne parle pas non plus de ce blog puisqu’il est un témoignage fidèle du parcours d’un humain conscient de sa vraie nature et qui tente de faire cohabiter ces deux réalités, au quotidien.
J’ai croisé au supermarché, avec mon amie, une femme qui est championne dans l’art de jouer la pauvre victime, mais comme le « tableau » était plutôt comique, ça ne m’a pas affectée. Sa façon de débiter ses plaintes sans interruptions, un monologue chanté sur le même ton, me laissait souriante. Elle maitrise mal le français et je ne comprenais pas tout ce qu’elle me disait et d’ailleurs on aurait pu croire que son discours était joyeux puisqu’elle a eu le sourire aux lèvres, du début à la fin. Les asiatiques ont cette habitude de sourire en permanence, comme si tout était idéal. Du coup, ce miroir m’a plutôt réjouie d’autant plus qu’elle a déménagé et n’habite plus mon voisinage.
Là aussi, je peux voir l’efficacité dans l’accueil de l’enfant intérieur, la façon dont l’extérieur se conforme à mon état d’être. Disons plutôt que ma vision change selon mon état intérieur. Quoique, le voisin chiant d'en haut n'est toujours pas revenu!
Message du Peuple des Chevaux, reçu par Caroline Leroux
![]() |
Nicola Tancrel |
Salutations! Nous sommes le peuple des Chevaux et
nous faisons UN avec le Vent! De tous les animaux terrestres, vous ne trouverez
pas un animal plus connecté que nous à l’élément air car lorsque nous galopons,
nous devenons une partie intégrante du vent. Saviez-vous que le vent est
vivant, saviez-vous qu’il y a des êtres qui habitent dans le vent? Ces êtres
s’appellent les windwalkers, et ils sont nos alliés et nos guides. Ce sont eux
qui murmurent à nos oreilles, qui nous avertissent des changements de
température, des mouvements de la terre et du danger, même lointain. Ce sont
eux qui nous guident à travers la noirceur, celle de la vie et celle de la
nuit... Ce sont aussi eux qui nous maintiennent connectés à l’âme collective de
nos ancêtres-chevaux. Les windwalkers sont des messagers, des anciens eux
aussi.
Nous sommes le peuple des Chevaux, et notre plus
grand cadeau à l’humanité est l’enseignement de ce qu’est la véritable liberté!
Pas la liberté «débridée» qui erre sans but et se laisse distraire par le
moindre courant d’air... La véritable
liberté est celle qui est basée sur l’équilibre des choix intérieurs.
Nous, chevaux, sommes toujours connectés avec
l’immatérialité de l’âme et nous savons que la vie terrestre constitue une
évolution en mouvement, un retour vers ce que vous êtes depuis toujours. De ce
point de vue, la liberté est un attribut divin car elle repose sur votre droit
et votre obligation à faire des choix conscients et à en prendre la
responsabilité à titre de créateur.
La liberté exige de vous que vous soyez toujours
congruents avec ce que vous ressentez! C’est en agissant avec
cohérence et avec responsabilité qu’un Être évolue et peut, un jour, connecter
avec une grande vérité: nous sommes incarnés, divinités dans la matière et la
mort est une illusion, un passage, l’ultime transformation!
Objectif premier: harmonie intérieure
Jardin l'été dernier |
Dès le
réveil, une voix intérieure répétait : comment peux-tu être aussi
naïve ! Au bout d’un moment, je l’ai remercié d’être là, de rester
vigilante. Plutôt que de la considérer comme une ennemie, une voix critique, j’ai
choisi de la voir comme une qualité indispensable à ma capacité de discerner.
Dans la mesure où je l’autorise à « m’avertir » lorsque je tombe dans
l’aveuglement. Mon « erreur » est d’identifier la voix qui rêve d’un
monde pacifiste où l’amour règne, comme celle de ma présence divine. Or toutes
les voix intérieures viennent pratiquement toujours du mental qu’il soit
« inférieur » ou « supérieur ». La présence ne se manifeste
pas par une voix la plupart du temps mais par une vibration. Même les voix qui sont
« spirituelles » ne sont pas l’expression de la présence qui est
« essence pure ». Certaines paroles de sagesse peuvent être
inspirées par l’âme, les anges, les archanges, les guides...mais la présence
divine est plus une sensation, un état d’être, une perception.
Après
avoir connecté mon âme et appelé la vibration de ma présence à se manifester
afin que je me sente guidée, j’ai pu voir clairement que ces voix qui se
manifestent depuis hier, ne sont pas « négatives », bien au
contraire, elles sont justement celles que j’ai le plus besoin d’entendre en ce
moment, pour redescendre de mon petit nuage, pour arriver à vivre sur terre
tout en étant conscient du divin.
lundi 4 novembre 2013
Leçon de vie
![]() |
Alain Senez |
Je
retrouve enfin mon espace, ma liberté d’être qui a été interrompue ou mise à
mal, seulement par ma « volonté », mes croyances passées encore
vivaces. Tant que je me dis que je quelque chose cloche en moi, je me
perds dans la lutte. Toute spontanéité freinée est une forme de déni de soi, un
refus de s’accepter tel que l’on est. L’effet miroir a été vif mais non
violent. La difficulté à discerner ce qui est de l’ordre de la réflexion ou de
la projection peut égarer et le meilleur moyen pour ne pas rester coincé dans
la bataille intérieure, dans les cogitations, c’est de se tourner vers
l’intérieur. D’essayer de revenir en son cœur, se répéter une phrase qui
« rassure », remet au centre de soi. Pas facile de trouver le juste
milieu. Après avoir souffert de me remettre en question à longueur de temps,
j’ai fini par accepter de ne pas être aussi « élevée », pacifiste et
chaleureuse que je l’aurais voulu.
Je
reviens de Perpignan où j’ai accompagné mon amie à la gare et le moment de se
dire au revoir a été frustrant. J’avais une forte envie d’aller au
toilette et j’y ai couru une fois arrivée au guichet, où mon amie à pu prendre
son billet tranquillement. Je savais que je pouvais la laisser se débrouiller et elle avait largement le temps de trouver le quai.
A mon retour après m’être trouvée devant la porte fermée des toilettes qui
n’ouvraient qu’à neuf heures, elle avait disparu. J’ai couru sur les quais
pendant un quart d’heure en vain. Puis, finalement, je me suis dit que ça
devait être ainsi. Je ne suis pas très douée pour les adieux et j’ai
certainement agit inconsciemment pour éviter ce genre de situation qui me met
mal à l’aise. Là encore, j’ai du accepter de ne pas être très "sociable". Je me
suis dit que je pourrais la contacter par mail et que ma frustration serait
ainsi amoindrie.
J’ai repris la route avec la sensation d’avoir réalisé quelque
chose d’important pendant ces trois jours. Même si ça n’est pas très clair au
niveau du mental, dans mon cœur, je sens que cette étape participe grandement à
la libération de vieux schémas du passé, d’un passé très lointain dont j’ai eu
quelques images brèves mais certaines.
dimanche 3 novembre 2013
Je suis ce que je suis, je n’ai rien à prouver...vidéo Isabelle Padovani: "Purification et pratiques spirituelles"
![]() |
Akiko Hoshino |
Malgré
une nuit de sommeil relativement longue, j’étais tendue au réveil. Il y a bien
longtemps que je n’avais pas fait la gueule de bon matin. Puis, au fur et à
mesure que j’ai accueillies avec douceur, toutes les parts intérieures, la paix
est revenue. La tendresse s’écoule maintenant par mes yeux en des larmes
réconfortantes. Tant que je cherchais à comprendre ce que me reflétait la
situation, j’étais mal à l’aise à l’idée de reproduire les mêmes vieux schémas.
Les reproches que je me faisais amplifiaient le mal-être puis j’ai lâché tout
questionnement. En écoutant une des deux dernières vidéos* mises en ligne par
Isabelle Padovani, j’ai senti peu à peu mon enfant intérieur retrouver la joie
qui découle de se sentir accepté, accueilli.
Le plus
grand tort qu’on puisse se faire, c’est de se critiquer, de rejeter les parts
les plus sensibles de soi-même tout comme les plus rigides, nos extrêmes.
Quand
nous sommes face à un autre qui nous reflète nos ombres,-dans le sens où elles
étaient cachées et se révèlent et non dans une notion de bien ou de mal-, nous
avons tendance à croire que c'est l’autre qui marche de travers. Tout le temps que nous
passerons à comprendre ce qui nous dérange en l’autre créera une distance avec
notre cœur et la réalité, jusqu’au moment où nous reprendrons conscience
qu’il nous reflète ce que nous ne voulons pas voir en nous. Ce qui nous dérange
le plus et que nous voulons à tout prix changer.
On a
beau le savoir et y croire, pour l’avoir vérifié des milliers de fois, on
retombe très souvent dans le panneau ! C’est le moment d’accueillir ces
voix qui répètent ;
« Tu
devrais, il faudrait, comment peux-tu continuer d’ignorer, de ne pas appliquer
ce que tu sais ? Comment peux-tu encore te faire avoir, t’identifier à ce
qui n’est pas ta nature véritable »...
Tant
qu’on entretient ce dialogue interne, en s’identifiant à une de ces voix, on
reste coincé. Je sais, je répète encore et encore les mêmes choses. Mais comme
rien n’est vécu ou dit par hasard, je laisse aller mes doigts sur le clavier
sans chercher à savoir qui lira ces mots, à qui ça pourra profiter et surtout
qui les rejettera en se disant : « elle rabâche encore ».
samedi 2 novembre 2013
Oser (se) dire ce que l’on pense; être soi-même...vidéos musique
![]() |
signature illisible |
Ce
matin, le réveil à une heure raisonnable et nuit de 7h30 me confirment la réalité du
maintien relativement aisé, de la paix intérieure. Comme tout le monde, lorsque
je vis un changement, lorsque je suis obligée de changer mes habitudes, je suis
un peu perturbée. Puisque la paix intérieure bien souvent, dépend des
circonstances extérieures, il semble logique que celle-ci soit troublée quand
ça bouge autour. Ce qui me fait dire que j’ai bien avancé dans ma capacité à
être en paix, c’est justement le fait de ne pas être perturbée plus que ça, par
la visite de mon âmie. Depuis que nous avions planifié cette rencontre, j’avoue
que je passais par tous les états, entre joie et appréhension, parfois même
inquiétude, j’ai parcouru la palette des émotions sur un très court laps de
temps.
Ce qui change tout, c’est la connaissance que toutes les voix
intérieures sont là pour le bien-être de mon enfant intérieur, qu’elles le protègent
et surtout que je sais les écouter, les entendre et les comprendre.
Sur le
"trône", lors de ma connexion matinale à la terre mère et au ciel, puis à tous les
aspects qui me composent, j’ai eu un petit débriefing très intéressant ;
J’ai commencé par remercier la terre mère pour la nourriture, mon corps physique
pour son bon « travail » d’assimilation (comme ce qui est visible est le reflet de ce qui est invisible et inversement, le parallèle peut être fait avec le processus mental) puis les voix intérieures
sont apparues après que j’aie porté mon attention sur mon cœur, mon âme, mon
essence. La première, m’a fait part de ses inquiétudes : « et si
« on » nous obligeait à faire quelque chose qu’on ne veut pas
faire ? »
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