lundi 7 octobre 2013

Sur un nuage!



 
Ciel hier soir
Le réveil est enthousiaste et l’appréhension quasi nulle. Comme je ne me fait pas d’illusion concernant mon rendez vous de tout à l’heure et que j’y vois l’occasion de mesurer ma progression quant à l’amour et la confiance en soi, tout est bien. Je peux mieux me situer et apprendre beaucoup dans cette expérience de mise en situation. C’est vrai que ça fait un peu gamin comme approche mais c’est ma façon de chercher à relier l’humain et le divin. Ce blog est un lieu qui me permet d’affirmer ma foi, de me connaitre plus en profondeur par l’écriture spontanée, les retours par les mails ou les commentaires...et d’établir un contact avec ma famille d’âme dont beaucoup d’entre vous sont portés à vouloir répandre leur lumière dans le monde. Ce parcours bien que spécifique, qui consiste à concrétiser ses rêves, définir précisément la raison d’être de l’âme, vous est utile autant qu’à moi, il y a là un échange qui élève chacun. Merci à tous ceux qui ont répondu à mon petit questionnaire qui avec un peu de recul, m’apparaît incomplet. J’en tire déjà beaucoup, rien que l’effet miroir et l’absence de critique me permettent de mesurer mon taux d’amour de soi. Votre honnêteté, votre transparence dans la bienveillance, fortifie ma foi en l’humain capable de dire les choses à partir du cœur tout en étant objectif. Une nouvelle forme de communication voit le jour !  Même si elle reste maladroite de ma part, finalement, c’est aussi une occasion de grandir et d’apprendre. Je garde précieusement vos remarques et ne les publierais pas puisque c’est un peu trop intime. Il me faut apprendre aussi à savoir être transparente tout en gardant une part d’intimité, un jardin secret.
Je suis assez confiante pour l’avenir et la façon dont les choses se mettent en place correspond tout à fait à ma personnalité. En clarifiant mon point de vue et mon projet, j’ai pu mesurer mes faiblesses mais aussi ma force. Je sais que je ne suis pas encore prête mais les choses se précisent.

dimanche 6 octobre 2013

C’est notre capacité d’accepter nos failles qui met notre force en évidence.



Image trouvées sur "The sacred of geometry"




Levée une fois de plus à six heures, le souvenir de mon rêve du matin, c’est un enseignement à propos de la purification. Le plus drôle, c’est que  j'étais celle qui expliquait ce processus! Pas de raison de s’enorgueillir puisque je vois toujours les inconvénients en toute situation, avant de voir les avantages. Ce n’est pas être pessimiste mais plutôt commencer par être réaliste de façon à être dans le juste milieu et voir à partir du cœur, sans chercher à se faire de film. Mon rendez-vous qui arrive à grand pas m’a permis de libérer des peurs et d’éclaircir un peu plus mon point de vue. Bien que j’aie prévu de laisser venir l’inspiration, je n’ai pas pu m’empêcher de céder à la pression. J’ai focalisé mon attention sur la nécessité de définir précisément mon projet au lieu de vivre normalement, de faire comme d’habitude, confiante que tout viendrait à point. Du coup, je n’ai pas beaucoup avancé et laissé de côté tout ce que j’avais prévu de faire. La préparation de la pizza, de la charlotte a été zappée par le manque d’appétit créé par les peurs. Je suis consciente de ne pas être encore prête à mettre mon projet en place et me suis contentée de laisser monter les appréhensions, les doutes et en les acceptant, j’ai pu voir mes faiblesses et mes forces dans ce domaine. Je libère encore la pression en me disant que j’ai fait de mon mieux, selon mes connaissances, mon état d’esprit du moment et accueillie la peur de m’entendre dire "non". Ainsi, la blessure de rejet, celle d’injustice, ont été allégées. Je suis convaincue d’être sur la bonne voie et je me dis que si ça n’est pas maintenant, tout ce que cette situation m’aura permis de voir et déjà en soi un avancement, un enseignement, une occasion de grandir, d’amplifier l’amour et la confiance en soi.

samedi 5 octobre 2013

J’ai dû pardonner à mon âme pour ce vécu, me pardonner puisque mon âme, c’est moi






J’ai la pêche ce matin, motivée à fond ! Levée à 6 heures, dans le silence et le calme du matin, j'adore! J’ai fais ma connexion habituelle à la terre mère, au ciel, aux énergies de la source en moi, à mon âme, bref, j’ai réunis tout ce que je suis en mon cœur. C’est si bon de se savoir soutenue, guidée, aimée de façon inconditionnelle. Ne me jalousez pas si vous ne ressentez pas cette connexion qui est permanente. Vous avez tous les capacités de reconnaitre le divin qui vous habite. En fait, c’est plus une question de foi qui devient certitude à mesure que l’on s’autorise à y croire. Il faut commencer par faire le premier pas en toute confiance. Je sais, bien souvent pour ne pas dire toujours, nous faisons l’erreur de vouloir des preuves afin d’oser croire. Nous appelons les signes désespérément et plus nous attendons, moins nous sommes aptes à reconnaître la réalité de l’humain divin. Il y a plusieurs façons d’accéder à son essence originelle, divine. Mais toutes les méthodes, visualisation, méditation, prière...apportent un résultat si nous activons l’amour que nous sommes. Chaque geste, chaque pensée d’amour envers soi-même, est perçu par l’âme comme une invitation. Elle se manifeste lorsque nous sommes tendres envers nous-mêmes. Avant, nous avions la sensation d’être aimé lorsque nous aidions les autres. Nous sentions effectivement l'amour mais c'était conditionnel, relatif au "faire" et non à l'être. L’inconscient collectif avait imprimée l’idée du sacrifice comme le seul chemin d’accès au royaume des cieux. 
Depuis qu’un certain nombre de personnes prend conscience que le christ est une énergie spécifique commune à chacun, qui est en soi, et surtout depuis que Gaïa s'est élevée dans les sphères de l’amour véritable, l’amour divin, les vieilles croyances ne sont plus soutenues. Tout doit être réactualisé sur la fréquence de l’amour vrai. Plus nous résistons à ce courant et plus notre vie devient difficile. Mais, plutôt que d’y voir une malédiction, une punition, si on peut envisager les choses en tant qu’humain divin créateur de sa vie, notre point de vue change totalement et en lâchant prise, en ayant une totale confiance en notre vraie nature, celle-ci ne tarde pas à se manifester. 

vendredi 4 octobre 2013

Notre instinct; Notre allié



Voici un article trouvé sur Facebook, rédigé par Catherine D’âme de cœur. Comme il est intéressant et instructif, je lui ai demandé la permission de le publier.

Kinuko Y Craft

L'énergie sexuelle, notre pouvoir créateur


Image trouvée sur "The sacred of geometry"


Ce matin, je suis décidée à orienter ma journée avant de suivre mon désir, mon instinct, au fur et à mesure. Ce n’est pas facile de « changer », d’apprendre à s’écouter et à reconnaître ses vrais besoins. D’épuration en allégement, on sait mieux ce que sont ces besoins et la guidance de l’âme, du cœur, participe à cette redécouverte. La voie du juste milieu étant ma préférence, j’essaie de m’y situer le plus souvent possible. Entre la force de volonté et l’acceptation, pas toujours facile de se situer. Je ne suis pas du tout portée à me forcer, à me fixer une ligne de conduite motivée par « les faut que », « y’a qu’à » mais tout de même, je constate que suivre ses désirs, peut amener à la dérive quand l’émotionnel est surchargé. J’ai eu ce comportement hier, avec l’idée que l’acceptation est La solution à tout, mais comme tout en dedans n’est pas totalement aligné sur l’amour, j’ai eu l’impression de me trouver dans un cul de sac, d’avoir « gâché » ma journée. J’ai eu bien du mal à ne pas me laisser envahir par les idées négatives et c’est la libération de la charge émotionnelle qui l’a permis. L’impatience étant un de mes « défauts », bien que ça puise aussi être un  moteur, j’ai calmé le jeu en me disant « expérimente jusqu’au bout ». 
Finalement, j’ai bien fait puisque j’ai pu dialoguer avec mon enfant intérieur et le rassurer. Avec du recul, je me dis qu’une part de ce que je suis a été frustrée dans cette tentative de suivre mes désirs. Comme nous sommes créateurs et que la joie nait de la combinaison de l’impulsion et du mouvement, le désir amène à agir, mais il est indispensable de ne pas confondre émotion et impulsion. 

jeudi 3 octobre 2013

On n’est pas obligé de souffrir



Image trouvée sur "The garden of pensiveness"


Huit heures trente de sommeil ! L’exploit ! Cela représente beaucoup, c’est la preuve évidente que tout en moi se détend, que mon corps physique est autorisé à fonctionner selon son propre rythme. La confiance et surtout l’amour que je lui porte maintenant, sont des facteurs de guérison, d’équilibre et d’harmonie. En prenant un peu de distance sur les dernières 24 heures, je peux établir un petit processus qui m’a permis de rencontrer le Christ intérieur, enfin la vibration christique parce qu’il ne s’agit pas d’un personnage à proprement parler mais plutôt d’une énergie spécifique. Je la vois comme une fréquence entre l’humain et le divin, un pont, un état qui permet la réunion de tout ce que nous sommes. Cette vibration est en nous et son émergence ou sa reconnaissance dépend du degré d’ouverture de notre cœur. Le mental bien que possiblement témoin de l’aventure, n’a pas grand-chose à faire dans cette rencontre.
Avant de vivre ça, j’ai donc ouvert mon cœur par le lâcher prise, l’acceptation sans condition de ce qui est, dans l’instant, mais j’ai aussi formulé des questions. Enfin, ça n’était pas vraiment des questions mais plus des phrases laissées en suspend. Je me suis demandé sincèrement et naïvement comment j’avais pu ressentir l’amour pur, au moment où j’ai cru en Jésus Christ et pourquoi je ne pouvais pas revivre cette sensation particulière. Il n’y avait pas de lamentation, de sensation d’injustice, de réclamation ni d’attente particulière, juste un espace ouvert. Puis des réponses sont venues spontanément sans que je les aie attendues, provoquées ou même suscitées. Quand je m’interrogeais, je ne cherchais pas à tout prix une réponse, je confiais juste mon cœur à l’invisible avec la certitude qu’il m’entendait.

mercredi 2 octobre 2013

"La Trecena du potentiel" d'après le calandrier Maya



Taj Mahal


En publiant le texte précédant et en vérifiant si c’était bien affiché, j’ai eu l’instinct de cliquer sur le site de « passage et émergence » où l’on trouve, entre autres, des messages de Michael Brown traduits en français. J’y ai trouvé ce qui suit et le contenu m’a parlé et je me suis dit que ce serait une bouffée d’optimisme.
Il est vrai que les termes Mayas peuvent rebuter mais ça vaut la peine de passer outre. Puis il y a eu tant de mauvaises interprétations qui ont été faites à propos de la fin de cycle, prédite par cette civilisation...Heureusement on trouve quelques traductions fidèles et sensées.