jeudi 9 mai 2013

Douce fin de soirée




J’ai passé une excellente journée faite de ce que j’aime. Ce ne sont pas tant les choses que j'ai faites qui me donnent ce sentiment de satisfaction mais plus la façon dont de les faire. L'énergie dans laquelle j'ai baigné tout au long de la journée. La paix, la confiance en soi, en l'autre. Des activités variées, de l'enthousiasme, sans me soucier de quoi que ce soit. Les courses sans aucun stress, vite fait, bien fait. Des relations humaines fraternelles dans la paix, la simplicité. 5 heures de jardinage, deux heures à midi et trois dans la soirée, à nettoyer, bêcher, désherber, cueillir les fraises (près de 3kilos), réfléchir à la disposition des plantes à semer. 
J’ai bien avancé sans forcer et je commence enfin à penser à faire du ménage à fond, dans l’appartement. J’ai commencé par rajouter des fleurs aux fenêtres. Du coup, ça me motive pour laver les vitres. C'est très souvent l'envie de beau, d'harmonie qui me motive à faire du ménage. Je me débrouille déjà pour salir le moins possible. 
Enfin, l’envie est là mais le jardin passe en priorité. 

mercredi 8 mai 2013

Les relations humaines


Olga Gouskova


Comme la plupart des individus jouent des rôles, se cachent derrière des masques, des fonctions, l’amour et l’amitié s’en trouvent totalement faussés. Ils se basent sur les besoins et font des relations humaines, une vampirisation, un vol énergétique, la plupart du temps.
On attend d’un ami qu’il prenne en charge nos besoins affectifs, qu’il nous renvoie une image positive de nous-mêmes, qu’il nous brosse dans le sens du poil et nous voit selon l’image que nous donnons de nous-mêmes, qu’il confirme l’illusion de qui nous croyons être.
Ce sont des relations d’interdépendance qui se basent sur l’ego, la peur et le manque. On veut que l’autre se conforme à ce qu’on attend de lui. Qu’il joue le rôle d’un père protecteur, qu’il nous défende, nous aide à nous affirmer. Une mère qui panse les blessures de notre enfant intérieur. Un mari qui nous flatte, nous dise combien nous sommes belle et qui soit fier de nous exhiber en public, se valorisant ainsi lui-même. Chacun s’estime à travers le regard de l’autre et va donc naturellement vers ceux qui les maintiendront dans leur illusion de perfection. Être ami de quelqu'un de populaire rendra populaire de même que d'avoir un ami beau, nous donnera l'illusion de l'être aussi. Ou encore s'entourer de gens que l'on juge inférieurs à soi de façon à se sentir fort, valable, plus beau, plus riche, plus intelligent...
On cherche à se valoriser dans le regard de l’autre, par comparaison...

mardi 7 mai 2013

Renaissance



Réveil difficile après une nuit mouvementée. Je n’ai pas de souvenir mais le lit en vrac me laisse penser que j’ai beaucoup bougé. Je repense à l’expérience spéciale vécue hier et samedi dernier et je n’en reviens toujours pas d’être arrivée à me libérer de beaucoup de chaînes invisibles mais néanmoins bien réelles. Je n’ai aucun doute quant à la cause de tout ceci. C’est bien le fait de chercher à réunir tout ce que je suis, à libérer tranquillement mais sûrement le concept bien/mal qui m’apparaît de plus en plus comme la cause de tous les "malheurs" individuels et collectif. 
L’illusion de la séparation dont beaucoup de messagers parlent, est une réalité. 
Je ne peux qu’en témoigner puisque le parcours de découverte de soi et des vérités universelles, est un chemin qui se vit intérieurement et intimement. Je ne peux que vous encourager à en faire l’expérience par vous-mêmes. Toute vérité se vit en soi, entre l’humain et le divin qui se réunifient quand on lâche prise, quand on abandonne toute idée de séparation intérieure. 
Quand on laisse tomber les concepts véhiculés par la société, l’éducation, logés dans l’inconscient, qu’on sors de l’interprétation de la vie à partir d’un positionnement de victime, de bourreau ou de sauveur. 
Le symbole du plexus solaire est un triangle tourné vers le bas qui à mon sens signifie l’enfermement d’une vision basée sur l’ego où chaque pointe représente un des rôles qui maintient dans une vision dualiste de la vie. Il est aussi celui de la relation à la terre mère, le besoin d’ancrage. 
Là encore, il porte en lui tout un potentiel qui peut être limitant ou épanouissant.

lundi 6 mai 2013

Encore une méditation dans l'extase!




Je suis encore toute chose ! La méditation, enfin le moment de repos m’a encore amené à vivre un genre d’orgasme sans partenaire, sans aucune action de ma part, ni physique, ni mentale, sans attente, dans un état entre veille et sommeil. C’était jouissif. Une phrase des évangiles m’est venue. Ou plutôt un mot a fait « tilt »: « l’époux ». Il est question de noces célestes, de mariage mystique. 
Pourquoi évoquer la venue du christ en ces termes ? Il me semble que c’est très lié au désir d’union des polarités et que celle-ci provoque un état proche de l’orgasme, de l’extase. Toute drogue devient obsolète! 
Je commence à me demander si les églises n’ont pas volontairement diabolisé la sexualité pour nous empêcher de connaître la fusion, la complétude. Cet état donne une puissance telle, une libération totale qui rend tout ce qui est extérieur totalement désuet. Les conflits, l'influence extérieure, le regard des autres me glissent dessus! 
Selon Freud, je le sais de Coluche, (lol), le monde aurait deux problèmes principaux, l’argent et le sexe !
On peut voir que la sexualité et très liée au pouvoir dans le monde et que le comportement humain est régit par ce besoin vital, naturel. Celui qui est dépendant du sexe, devient un objet facilement manipulable. En cela, la femme possède un pouvoir immense et en joue depuis bien longtemps. Des hommes, les proxénètes, savent très bien cela et en vivent. Les pays aux mœurs moyenâgeuses, brident, musèlent, voilent les femmes pour tenter de contrôler leur pouvoir de séduction. La compréhension distorsionnée de la sexualité fausse tout. Comprendre et guérir cette vision permet de trouver l’équilibre intérieur et la complétude.

La neutralité amène l’harmonie, où le divin se révèle librement et ouvertement



Bansky


Ce matin, c’est le cœur rempli de reconnaissance que je me colle au clavier. Des larmes de joie coulent naturellement, la gratitude m’envahit et la relation au divin intérieur devenue si naturelle et intime, me comble de bonheur.
Je peux voir, sur le blog, les statistiques détaillées des entrées, c'est-à-dire d’où viennent les lecteurs, de quels sites, blogs, par quels mots clefs...Rassurez vous, rien de nominatif, lol ! Mais ça me permet de voir si ma démarche trouve sa raison d’être première. J’ai conçu ce blog pour témoigner que l’on peut se libérer de tout fardeau humain, du pire vécu et changer totalement son regard sur soi-même par l’ouverture de cœur et de conscience. J’écris avec mon cœur, mes tripes, sans même relire ce que j’ai dit les jours passés. J’apprends à être à l’écoute du divin intérieur et en témoigne dans l’espoir d’éveiller le cœur et la conscience de l’humain. Dans l’espoir que chacun puisse reconnaître ce qu’il est en vérité, un humain divin complet, capable d’autonomie à tous les niveaux et totalement souverain. Depuis l’enfance malgré que j’aie souffert de l’aspect humain dans ce qu’il a de plus vil, j’ai toujours cru que chacun portait en lui un immense potentiel d’amour inconditionnel.
C’est peut-être prétention que de vouloir éveiller les consciences mais je réponds à l’appel de mon cœur, à ce que je suis en totalité.
J’espérais amener sur ce blog, des gens qui ont vécu l’inceste, la toxicomanie, des gens qui se croient mauvais, afin de leur donner l’espoir et de les aider à se regarder autrement. Je comptais sur les mots clefs des moteurs de recherche pour ce faire. C’est parce que je trouvais les sites d’éveil, trop incomplets, trop réservés aux "initiés", pas assez honnêtes, enfin très éloignés de la réalité quotidienne, que j’ai décidé de donner mon point de vue sur la foi, ma façon de considérer ce qu’est un humain divin. Finalement, en voulant éveiller les gens, ils ne font que les bercer dans l’illusion d’un monde tout rose où tout est "amour" en divisant les humains en être de lumière et les autres non éveillés. Mais ça reste un point de vue dualiste qui se situe au niveau du mental où le corps physique n’a pas sa place, où on considère les choses matérielles comme mauvaises...

dimanche 5 mai 2013

Sortir de l’inhibition pour vivre libre et guérir…Article rédigé par Jean-Jacques Crèvecoeur.


"On a faim!"


Voici un article que je viens de lire, qui est en résonance avec ce que je crois et ce que j'expérimente, dont je tiens à vous en faire part. Il est rédigé par Jean Jacques Crèvecœur. je suis abonnée à sa lettre d 'info que je n'ai pas toujours le temps ou l'envie de lire bien que sa façon d’appréhender la vie et  la maladie corresponde à la mienne. Je fais de plus en plus confiance à mon instinct et applique ma foi en l'humain divin capable de tout, en toutes circonstances et limite la quantité d'infos extérieures afin de mieux sentir ce qui vient de l'intérieur, qui constitue ma propre vérité, celle qui me permet d'avancer, selon ce que je suis, particulièrement. La dépendance aux lectures de messages d'êtres de lumière, qui ne sont pas incarnés, amène à "planer" dans des dimensions qui éloigne de la réalité terrestre et c'est une forme de fuite, de déni de l'incarnation et un renoncement à son pouvoir, sa souveraineté. Nier son humanité, c'est aussi nier le divin en soi. La manifestation de l'âme s'en trouve donc limité puisque le jeu de l'incarnation c'est avant tout d'exprimer qui on est, en totalité.

"Sortir de l'inhibition pour vivre libre et guérir"
Dans le numéro précédent, je concluais ma chronique en écrivant : « Notre éducation nous apprend à nous soumettre sans rien dire, à ne choisir systématiquement que l’inhibition de l’action comme réaction, alors qu’il faudrait réagir plus activement pour prendre soin de nos besoins ! » Vu comme cela, ça peut paraître choquant et exagéré d’affirmer une telle chose. En théorie, l’éducation n’a-t-elle pas pour objectif de faire grandir, d’affranchir, de favoriser l’autonomie ? En théorie, oui. Mais dans la pratique, le système est organisé pour nous apprendre à nous soumettre. Dans la famille, à la garderie, à l’école, à l’église, dans la société civile, à l’armée, dans l’entreprise, à l’hôpital, nous avons appris à être le bébé sage, l’enfant obéissant, l’élève modèle, le croyant fidèle, le bon citoyen, le soldat discipliné, le collaborateur exemplaire, le patient soumis…

« Judge not » Bob Marley et « le citronnier » vidéo de Maritzabel Claros-Ferrer




Voici ce sur quoi je suis tombée ce matin, en me baladant sur la presse galactique et sur le site de Monique Mathieu. En général, les clefs de sagesse que je pioche au "hasard", donnent le ton de la journée, me préparent à ce qui va suivre. Espérons que je sois capable de ne pas me laisser envahir par la négativité en étant dans l’acceptation de ce qui est. Et de ne pas anticiper mentalement, en me disant : aïe, qu’est-ce qui va me tomber dessus ? Ce qui suit est publié aujourd'hui dans la presse galactique

"Vous plaindre de quoi que ce soit vous maintient en état de refuser de recevoir ce que vous avez demandé. Vous justifier à propos de quoi que ce soit vous maintient en état de refuser de laisser entrer cela même que vous avez demandé. Blâmer quelqu’un vous maintient en état de refuser de laisser entrer ce que vous avez demandé. Vous sentir coupable, vous sentir en colère – peu importe comment vous appelez ça – c’est un refus, il n’est pas conscient. Vous demandez ; vous ne pouvez vous empêcher de demander. L’Univers produit ; il doit produire. Une grande question se pose donc les amis : pourquoi ne le laissez-vous pas entrer ?
Abraham,
Traduction AD
Page d’origine :
http://www.abraham-hicks.com/lawofattractionsource/index.php