jeudi 21 mars 2013

La perfection de l’être; du corps humain jusqu'au divin, vidéo Darpan; "L'éveil n'est pas une échappatoire"



Jake Braddelyart

Je suis de plus en plus émerveillée par la perfection de toute chose. Tout ce qui nous compose répond au mouvement de la vie, de l’évolution, de la source éternelle. La phrase qui me laissait frustrée de ne pouvoir la vivre spontanément, est la suivante : "Tout est bien". La vérité de ces quelques mots m’apparaît de plus en plus. 
Tout est Amour. Cette énergie qui habite même les plus résistants. Les contraires, les opposés n’existent que pour honorer la lumière, la vie, l’amour. Tout est créé pour manifester le divin en toute chose.
Avec du recul mais surtout en ayant pour toile de fond, cadre de références, l’acceptation de ce qui est, en m'exerçant à regarder de façon neutre je peux voir la lumière dans chaque évènement de ma vie. Je peux reconnaître l'amour de mon âme pour ma personnalité humaine, son "intelligence" à travers le choix de cette incarnation, en ce moment précis de l’histoire de l’humanité. L’immense vague d’amour et de lumière déversée depuis les plus hautes sphères ouvre le cœur et la conscience de chacun.

Printemps, magnifique renaissance, éclat de Vie




Ce matin, le réveil est moins agréable que ces derniers jours. Le "bug" d’hier soir m’a un peu perturbée. Je sais que le fait de diminuer les cachets amène l’inconscient, l’ego, le corps de souffrance à se manifester, à créer un conflit intérieur, une disharmonie. La coupure du son et l'impossibilité de visionner une vidéo, ce matin, m'a montré l'urgence de retrouver la paix intérieure. Plutôt que de lutter contre en gueulant ou en m’identifiant à cette négativité, j’ai regardé en spectatrice. Je n’ai pu m’empêcher de chercher le pourquoi mais cette fois, quand j’ai senti la colère montée, je me suis calmée, puis j’ai fermé les yeux me répétant, "j’accepte ce qui est".
Pendant que le programme anti malware cherchait si un parasite était responsable du problème informatique, j’ai respiré tranquillement.
J’ai fait le tour des raisons qui pouvaient causer le malaise. Déjà, le fait de vouloir changer de façon de faire, c’est un problème pour l’ego qui se satisfaisait très bien de la dépendance. Plutôt nier que de vouloir affronter les peurs, les doutes...

La puissance de la vie, de la terre mère. Vidéos Masaru Emoto et Darpan





J’avais rendez-vous chez le médecin et j’ai pu constater mes progrès concernant l’acceptation de ce qui est, dans la façon dont tout s’est passé facilement, sans blocage ni contrainte. 
Des petits signes banals qui cependant sont significatifs pour celui qui les vit puisqu’ils ont la particularité d’amplifier la foi. 
Comme la notion de hasard pour moi, signifie maintenant synchronicité divine, je peux voir combien la fluidité s’installe dans ma vie. Pas de problème de voiture, (je ne l'ai pas rechargée complètement), de circulation sur la route, de place de parking. Pourtant, le soleil de retour ainsi que les curistes provoquent une nuée de monde systématique.

mercredi 20 mars 2013

Ma première création, Hommage à la source omniprésente, Ange, « Hymne à la Vie »



Flowers World

Ce matin, je suis excitée comme une enfant à l’idée de vous présenter ma première vidéo. C’était long et laborieux à faire, j’y ai passé la soirée. Rien de tel que de créer pour associer le corps mental, le corps physique et le corps émotionnel, dans la joie simple d’être. Ces énergies de hautes fréquences nourrissent l’être tout entier et guérissent les blessures les plus profondes. La décision de me libérer de la dépendance des cachets est soutenue par le mouvement de la vie et je m’en réjouis !
Le fait de savoir que je sais comment faire des vidéos m’enchante ! Je vais pouvoir partager mes chansons préférées et les mettre en image, c’est magique !
J’ai commencé avec "Ange', « L’hymne à la Vie », le morceau dure près de 10mn mais les paroles sont pleines de lumière. Les fleurs que j’ai photographiées l’année dernière mettent en valeur le texte et se trouvent ainsi immortalisée. C'est le genre de support que j'aime pour méditer, contempler, se réjouir d'être. Et comme on n'est jamais mieux servi que par soi-même...J’espère que vous apprécierez même si vous ne connaissez pas ce groupe qui continue de se produire sur scène. Je les ai découverts à une "boum" alors que je devais avoir 12 ou 13 ans. Je me souviens que j’étais restée ébahie par le style totalement nouveau pour moi et si rempli de mystère. Je sentais beaucoup de vérité dans le texte bien que je  ne comprenais pas la moitié du sens. 
Aujourd’hui, je peux dire que ces mots sont en moi, ils sont ma vérité.

mardi 19 mars 2013

Vidéo de la lecture du livre d'Eckhart Tolle: "Nouvelle Terre" et musique



Mon ciel de ce matin

Voici « Nouvelle terre » que j’ai trouvée sur You Tube. La bonne idée, que cette version lue, ainsi ça rend la connaissance accessible aux non-voyants. En même temps, le fait de ne pas voir doit amener à développer d’autres sens, perceptions. Je me dis que dans toute chose, il y a du bon et comme en plus ce sont les âmes qui choisissent leurs conditions d’incarnation, tout est bien. Il n’y a pas à plaindre qui que ce soit. Ce qui est notable, c’est que quelqu’un ait pensé à mettre en ligne cette façon d’aborder des connaissances. C’est ainsi accessible aux gens qui ont des difficultés à lire, à ceux qui sont plus auditifs que visuels et enfin à tous ceux qui ont la flemme de lire. Ce quelqu'un, c'est Koye ba dont j'ai visité le site, dont vous pouvez trouver l'adresse ci-dessous aisi que sur la page d’accueil dans les "sites à découvrir"

"Nouvelle Terre"
 Livre lu d’Eckart Tolle, publié par Koye ba  http://koyeba.blogspot.ca

Le nouveau Soi, le vrai moi, liens vidéos Eckhart Tolle, "Nouvelle Terre"



Elena Nelson Reed, "Art of the feminine"
Je faisais souvent l’erreur de rechercher ce que j’étais enfant. De retrouver mon ressenti d’avant alors que pour redevenir enfant, il suffit de prendre contact avec la partie la plus pure de soi, celle qui ne juge pas mais qui expérimente. Je voulais retrouver qui j’étais avant d’avoir endossé ma carapace d’insensibilité pour ne ressentir que le plaisir, le bien-être. Je recherchais quand j’avais été moi-même, avant la drogue. Alors je remontais à mes seize ans quand je croquais la vie à pleine dents, quand j’aimais sans compter, quand je parlais à tous le monde, que j’allais vers l’autre sans gêne, sans restrictions, avec joie. Je me demandait qui j'étais maintenant en me référant au passé.
Comme je sais que l’enfant en moi est toujours là, il me suffit de le chérir, d’être qui je suis en vérité, aujourd’hui, ici. D’oser à nouveau vivre dans l’amour de soi, de la vie, des interactions simples et fraternelles.

lundi 18 mars 2013

Puissant désir d’activer l’auto-guérison, Les choristes, "Vois sur ton chemin"



Autumn Skye, "Art of the feminine"

J’ai toujours cru en l’auto-guérison. La première fois que j’ai eu cette conviction, ce fût lors de mon premier sevrage de la codéine. Avant d’être tombée malade, je n’avais pas compris que j’étais dépendante de ce produit. Aucun pharmacien à qui je l’achetais, ne m’avait prévenu du risque d’accoutumance qu’entrainait la prise de ce sirop. Je l’achetais pourtant quotidiennement depuis au moins un an. Il a fallu que je fasse une crise d’hépatite "b" où j’ai cru mourir, pour me rendre compte que j’étais dépendante de ce dérivé d’opium vendu sans prescription médicale. Je n’accuse pas non plus le système de santé puisque je considère que seule la liberté permet l’apprentissage, la compréhension et finalement la maîtrise.
J’étais allongée dans le lit de ma mère chez qui j’étais revenue me soigner et je devais avoir 18 ans.  Alors que je me tordais de douleur et que je touchais le fond, j’ai pris conscience que je pouvais me laisser mourir simplement en le décidant. Il m’aurait suffit de nourrir des pensées morbides, le déni de soi, la haine pour cette vie...pour finalement me laisser happer par la mort. En même temps, je me suis dit qu’il devait y avoir en moi, l’exact opposé de ce ressenti.