Elena Nelson Reed, "Art of the feminine" |
Je
faisais souvent l’erreur de rechercher ce que j’étais enfant. De retrouver mon
ressenti d’avant alors que pour redevenir enfant, il suffit de prendre contact
avec la partie la plus pure de soi, celle qui ne juge pas mais qui expérimente.
Je voulais retrouver qui j’étais avant d’avoir endossé ma carapace d’insensibilité
pour ne ressentir que le plaisir, le bien-être. Je recherchais quand j’avais
été moi-même, avant la drogue. Alors je remontais à mes seize ans quand je croquais
la vie à pleine dents, quand j’aimais sans compter, quand je parlais à tous le
monde, que j’allais vers l’autre sans gêne, sans restrictions, avec joie. Je me demandait qui j'étais maintenant en me référant au passé.
Comme je sais que l’enfant en moi est toujours là, il me suffit de le chérir, d’être
qui je suis en vérité, aujourd’hui, ici. D’oser à nouveau vivre
dans l’amour de soi, de la vie, des interactions simples et fraternelles.
D’exprimer la spontanéité, la joie vivre que je ressens quand je suis honnête avec moi, avec ma foi, quand je ne triche pas, que je ne fais pas semblant. Quand je dis ce que je pense, non plus en me révoltant, en voulant défendre quoi que ce soit mais en agissant à partir du cœur. En revenant littéralement dans mon corps physique, en cessant de penser, de me poser des questions mais en ressentant la vie en moi. La respiration, le rythme cardiaque, le flux sanguin.
L’expression tourner sept fois sa langue dans la bouche avant de parler, me gavait avant parce qu’il me semblait qu’elle n’autorisait pas la spontanéité mais si je l’applique à la lettre, il y a des chances pour que les mots exprimés soient empreints de sagesse.
D’exprimer la spontanéité, la joie vivre que je ressens quand je suis honnête avec moi, avec ma foi, quand je ne triche pas, que je ne fais pas semblant. Quand je dis ce que je pense, non plus en me révoltant, en voulant défendre quoi que ce soit mais en agissant à partir du cœur. En revenant littéralement dans mon corps physique, en cessant de penser, de me poser des questions mais en ressentant la vie en moi. La respiration, le rythme cardiaque, le flux sanguin.
L’expression tourner sept fois sa langue dans la bouche avant de parler, me gavait avant parce qu’il me semblait qu’elle n’autorisait pas la spontanéité mais si je l’applique à la lettre, il y a des chances pour que les mots exprimés soient empreints de sagesse.
Un truc
à imprimer jusque dans l’inconscient, c’est le fait d’être un étudiant de la
vie, des énergies. Ne pas prendre les leçons que la vie nous montre comme des
punitions, des retours de karma mais juste pour ce que c’est en réalité, l’occasion
de s’ouvrir plus, de s’aimer, d’aimer mieux.
Je te
demande, mon corps mental de virer de ta base de données, les mots culpabilité,
devoir, obligation, limitation, restriction, souffrance.
De ne
pas fuir la douleur qui est un message du corps physique et de rechercher dans
le nouveau dico intérieur, l’interprétation correcte de celle-ci.
Je suis
enfant de la source, composée d’amour et de lumière qui sont des énergies de
haute fréquence. Pour être à ce niveau énergétique, il me suffit d’être ce que
je suis en vérité qui se révèle dans le moment présent, hors du mental, des
pensées.
La
conscience de mon corps physique et du ressenti intérieur m’ancre dans la
vérité de ce que Je Suis. J’apprends à connaître les énergies masculines et
féminines en moi et à les unir. A harmoniser tous mes corps par le dialogue
avec chacun d’eux, l’écoute attentive de ce qui se vit en moi. C’est dans le
mouvement que j’exprime mon être dans la réalité physique. La parole associée à
l’émotion, est créatrice. Toutes pensées et émotions qui viennent ont leur raison d’être
mais je n’ai pas à m’y identifier.
L’accueil dans la neutralité de tout ce qui est, m’apporte la paix.
L’accueil dans la neutralité de tout ce qui est, m’apporte la paix.
Inutile de rechercher la joie, puisque par l’amour inconditionnel de tout ce que je suis et de tout ce qui est, elle se manifeste naturellement.
Le plaisir est le contraire de la souffrance et le chercher amène à trouver à un moment ou l’autre sont opposé.
Le désir est la manifestation de l’énergie de vie en moi.
Plutôt que de vouloir l’assouvir, je peux diriger cette force de mon ventre à mon cœur. En faisant ce que j’aime j’amplifie la joie mais je reste dépendante des préférences et j’aurais du mal à accueillir ce qui me déplait.
En apprenant à être neutre face à tout ce qui se manifeste en moi, je m’en détache et peux être libre.
"The return of the divine feminine" |
Tout
ceci correspond à ce que je crois. Il me reste à l’expérimenter sans me coller
de pression. Sans cherche à gagner, à m’améliorer.
La vie n’est pas une course puisque le temps n’existe pas.
Je suis déjà réalisée, il me reste à en être consciente pour que cette dimension de ce que je suis, se manifeste et s’installe au quotidien, ou plutôt pour que je le reconnaisse à chaque instant.
La vie n’est pas une course puisque le temps n’existe pas.
Je suis déjà réalisée, il me reste à en être consciente pour que cette dimension de ce que je suis, se manifeste et s’installe au quotidien, ou plutôt pour que je le reconnaisse à chaque instant.
Vouloir
me libérer des cachets n’est pas un désir de gagner, de contrôler mais
simplement d’être qui je suis véritablement. Pouvoir sentir dans ma chair, l’être
divin qui se loge en mes tripes tout comme en mon cœur, mes cellules. Cette
expression spécifique de la vie.
Depuis
hier soir, une vive douleur à l’épaule droite se fait sentir. Voyons ce qu’en
dit Lise Bourbeau.
Ce que j’en
retire, c’est que je me créé des obligations inutiles vis-à-vis de l’extérieur
et que j’ai peur d’embrasser le nouveau. J’y vois le besoin que j’aie encore de
reconnaissance extérieure à travers ce blog, comme si je me sentais obligée d’écrire
quelque chose chaque jour quitte à me répéter. C’est d’ailleurs ce que je fais !
Pas de jugement là-dessus. J’ai bien vu que mon comportement cachait un manque d’assurance en soi, un besoin d’être aimée, reconnue, alors que la seule reconnaissance valable est celle que l’on s’accorde à soi-même. En même temps, de l’indulgence à cet égard, ne peut qu’être positif, ça passera.
Derrière l’envie d’arrêter les cachets, il y a comme un besoin inconscient de performance, de montrer, de prouver que par la foi, on peut tout. Ce n’est certes pas la meilleure approche mais je le prends comme un plus dans la motivation.
L’essentiel étant que je le fasse avant toute chose, pour moi-même.
Le fait de se créer des peurs par rapport à une situation nouvelle peut être "effacé" en étant dans le moment présent, en activant la confiance en soi, en lâchant prise des attentes.
Je suis aussi un être humain, même si je sais que le divin m’habite et juger cette partie de moi qui veut s’améliorer n’arrangera pas les choses. Je préfère focaliser sur la motivation valable, celle d’être ce que je suis naturellement. Pour ôter la pression, diminuer le désir de performance, il me suffit de ne pas forcer, d’écouter les pulsions intérieures. En continuant à ne pas amplifier les symptômes de manque, en gardant pour seul objectif de ressentir mieux ce qui se vit en moi, sans tomber dans le piège de vouloir souffrir pour me racheter, me purifier. Tout est question de dosage.
Pas de jugement là-dessus. J’ai bien vu que mon comportement cachait un manque d’assurance en soi, un besoin d’être aimée, reconnue, alors que la seule reconnaissance valable est celle que l’on s’accorde à soi-même. En même temps, de l’indulgence à cet égard, ne peut qu’être positif, ça passera.
Derrière l’envie d’arrêter les cachets, il y a comme un besoin inconscient de performance, de montrer, de prouver que par la foi, on peut tout. Ce n’est certes pas la meilleure approche mais je le prends comme un plus dans la motivation.
L’essentiel étant que je le fasse avant toute chose, pour moi-même.
Le fait de se créer des peurs par rapport à une situation nouvelle peut être "effacé" en étant dans le moment présent, en activant la confiance en soi, en lâchant prise des attentes.
Je suis aussi un être humain, même si je sais que le divin m’habite et juger cette partie de moi qui veut s’améliorer n’arrangera pas les choses. Je préfère focaliser sur la motivation valable, celle d’être ce que je suis naturellement. Pour ôter la pression, diminuer le désir de performance, il me suffit de ne pas forcer, d’écouter les pulsions intérieures. En continuant à ne pas amplifier les symptômes de manque, en gardant pour seul objectif de ressentir mieux ce qui se vit en moi, sans tomber dans le piège de vouloir souffrir pour me racheter, me purifier. Tout est question de dosage.
Je me
suis proposée d’être à l’écoute du ressenti intérieur sans jugement.
"The return of the divine feminine" |
Mon raisonnement est encore assez contradictoire mais je ne fais que mettre les choses à plat en vrac afin de garder l’objectif premier de ce blog témoigner de ce que je vis dans la reconnaissance progressive du divin en moi.
Il n’est pas question d’enseigner, de montrer le chemin puisque chacun est son propre chemin. Bien sûr que je garde l’envie de porter l’énergie d’auto-guérison ici, mais sans me croire "sauveur" pour autant. Je considère que nous rayonnons de toute façon, que nous en soyons conscients ou pas. Nous émettons ce que nous pensons, vibrons.
Tant que je reste libre de toute attente, que mes propos ne sont pas influencés par le désir de plaire, tout est bien. Je suis consciente d’être un individu mais aussi d’être unie à tout ce qui vit. Je peux m’autoriser à exprimer tout ce que je suis tant que je reste honnête vis-à-vis de moi-même.
C’est
assez marrant d’avoir accès aux statistiques de ce blog et ainsi de voir ce qui
est le plus lu. Dès que je parle de l’enfant intérieur, l’attrait est moindre.
C’est dommage parce que l’authenticité et la transparence, l’expression nue de
soi est un facteur essentiel dans l’approche du divin en soi et son expression,
tout autant que dans les échanges entre humains.
Contacter cette partie de soi afin de la guérir et ainsi s’autoriser à être qui l’on est, reste une étape nécessaire à l’expression de l’être divin intérieur.
Contacter cette partie de soi afin de la guérir et ainsi s’autoriser à être qui l’on est, reste une étape nécessaire à l’expression de l’être divin intérieur.
Le ciel ce matin a revêtu des couleurs qui me plongent au cœur de mon étude des énergies masculines et féminines. J’ai réussi à capter cet instant qui ne dure pas longtemps.
Tant que
j’y pense, je colle les liens pour accéder aux vidéos d’Eckhart Tolle avec
Oprah Winfrey. J’ai rigolé hier en constatant le nombre de fois où elle s’est
mise en avant. Elle a parlé de son enfance, du fait d’avoir été battue, du
besoin de reconnaissance, d’être aimée et elle est encore en plein dedans. C’est
peut-être parce que je me suis reconnue dans sa façon d’être que ça m’ait apparu
si clair. Il semble que le décalage entre ce que l'on veut et ce que l'on vit, soit de mise dans la recherche du divin en soi.
Au passage, je dois dire que la traduction est stressante, par moments. Pas évident de déterminer comment faire ce genre de travail. Soit tu traduis tout par fidélité à ce qui est dit, soit tu fais le tri ne laissant que la substance mais là, tu "triches". Toujours est-il que par moments ça devient bruyant, confus, le fait d’entendre les 4 voix simultanément.
Photos légendées
Au passage, je dois dire que la traduction est stressante, par moments. Pas évident de déterminer comment faire ce genre de travail. Soit tu traduis tout par fidélité à ce qui est dit, soit tu fais le tri ne laissant que la substance mais là, tu "triches". Toujours est-il que par moments ça devient bruyant, confus, le fait d’entendre les 4 voix simultanément.
Émissions d'Oprah Winfrey avec Eckhart Tolle,
Étude du livre "Nouvelle terre"
Chapitre 8 "Ma découverte de l’espace intérieur"
Chapitre 9 "Votre raison d’être profonde"
Chapitre 10 "Une nouvelle terre"
Photos légendées