vendredi 14 janvier 2022

« Joyeuse renaissance à TOUS »

 


Juste un signe à ceux qui ont parcouru le blog et à ceux qui le découvrent pour vous souhaiter une belle année de renaissance. Je sens que tous les potentiels s’ouvrent en fonction de la capacité à lâcher les pensées des anciens schémas sado-maso et à laisser couler l’énergie, les émotions, en soi.

J’ai déjà tout dit sur ce blog mais quand on va explorer ses mondes intérieurs, ça ne peut pas vraiment être exprimé et c’est très intime. Les processus sont les mêmes que ceux employés depuis au moins 2016 ou disons qu’ils sont mis en pratique depuis cette époque en y ayant intégré l’accueil des émotions qui est l’essence, l’énergie créative qui porte le geste.

J’ai actualisé ma vision des gens, des choses, de moi-même à mesure que je lâche et observe et je ne peux que vous encourager à cultiver l’amour en vous afin de renaitre à votre nature multidimensionnelle, éternelle, essentielle.

La mission de tout humain est de reconnecter la source d’amour en soi afin de la laisser rayonner et œuvrer en nous à restaurer la paix, l’unité, de réaliser que la séparation est une illusion…

samedi 2 octobre 2021

« Retour à soi, à la multitude…ou intégration de la 4ème dimension »

 

 

2 10 J’ai acheté un portable d’occasion pour ne pas me retrouver en rade puisque l’autre, celui de ‘bureau’ plante régulièrement malgré que les disques durs aient été changés. Le technicien qui s’en occupe est à la retraite et du coup, il n‘est pas trop motivé. Je me demande s’il n’a pas laissé la tour dans sa voiture au soleil parce que la carte graphique semble abîmée. Bref, on s’en fout mais si je parle de ça, c’est pour poser le cadre et comme j’essaie de comprendre la cause de ces coupures soudaines, ce qui me semble le plus plausible, c’est que ma vibration l’influence. On va me dire que je délire et d’ailleurs quand j’ai dit à Jean François que c’était possible que ce soit ça, j’ai abordé l’idée selon les forces électromagnétiques.

Dans l’habitude qui s’installe progressivement à regarder à l’intérieur, il semble que ce soit intimement lié. Entre percevoir les choses de façon intuitive et trouver un sens qui satisfasse autant la logique que l’intuition, il y a tout un monde (appelé la 4ème dimension). Mais il se fait que chaque fois que ça coupe, soit je me dis que je vais lire ou écouter autre chose, soit je ressens un poids et l’idée de le faire vient sans que je n’arrive à agir.

Et comme j’ai tendance à ne pas écouter ce qui est ressenti faute d’habitude puisque j’ai toujours fait en sorte de ne pas ressentir justement, ça n’est pas encore un réflexe conditionné, il semble que la vibration ou l’inconscient ou les deux agissent à ma place. Évidemment la première réaction, c’est la colère puis en parlant avec le mental, la peur de perdre le contrôle émerge, la frustration de ne pas comprendre, ce qui révèle à chaque fois un peu plus le rôle de chacun des aspects de soi, la force de la vibration, de l’accueil, la façon dont l’énergie se déploie et change de fréquences à mesure que l’émotion est laissée libre de s’exprimer. Comment le mental exprime la peur à l’origine en passant par la colère, c’est comme si je faisais le chemin de l’extérieur vers l’intérieur en allant toujours plus en profondeur où je trouve toujours la peur qui génère les réactions en chaine. 

Mais pas la peur elle-même, le fait de la bloquer, de la refouler. Puis dans le désir d’apprendre à accueillir les émotions, je vois comment elle est refoulée et comment cela en change la forme ou l’expression, la fréquence donc, l’impact du refoulement sur l’organisme et le mental. Bref, je l’accompagne par le dialogue avec le mental puisque ce mode de refoulement émotionnel étant ancré depuis l’enfance, il ne va pas se dissoudre d’un coup d’autant que ce qui importe, c’est de comprendre, de tirer un enseignement de l’expérience. Ainsi de savoir concrètement comment tout cela se réalise ce qui change aussi la vision du corps physique, de l’inconscient…

samedi 7 août 2021

« Souplesse et fluidité »

 


28 07 Comme tout le monde, je m’adapte tant bien que mal aux nombreux changements et notamment, celui qui concerne la façon d’interagir avec les différents corps et surtout les vagues émotionnelles que la situation générale font naturellement émerger.

Il s’est passé tellement de choses en l’espace d’un an qu’il est difficile de suivre et dans un sens, c’est ce qui oblige à être plus ouvert, souple et inventif. Les résistances tombent et avec le concours de l’enfant intérieur, les représentations mentales de ce qui est, de ce qui a été vécu, s’alignent sur la vision de l’âme. Là encore, l’image que j’avais de l’âme change à mesure que je me détache des croyances et des attentes. Se laisser porter par la vie, être soi-même, voilà mon seul objectif. En fait la guérison de l‘enfant en soi restaure la cohérence interne en alignement avec les aspirations de l’âme à incarner l’amour universel. On passe progressivement de l’amour possessif, exclusif, à l’amour étendu, universel, qui s’expanse à mesure qu’on accueille les différents aspects internes. Mais là aussi, dans l‘abandon des croyances obsolètes, les moments de confusion, de doute rien qu’au sujet de l‘amour, de ce que c’est vraiment, émergent naturellement puisque la remise en question est profonde.

Déjà, il faut être prêt à oser se voir tel qu’on est, sans juger ni commenter, ou sans s’attacher à ces jugements automatiques, en se positionnant « au centre ». C’est dans la neutralité et après l’accueil d’une émotion, d’une vague émotionnelle, par un regard bienveillant et objectif, qu’on peut distinguer le vrai du faux en soi. Ou ce qui relève du rôle et ce qui est notre vraie nature, notre vrai moi.

Mes réunions avec les aspects de l’être sont de plus en plus complètes à mesure que je reconnais la lumière en chacun d’eux.

J’écris avec un nouvel appareil en espérant que les données contenues dans l’ancien puisse être conservées malgré que le disque dur soit à l’agonie.

lundi 1 mars 2021

« Planter un fruitier : poser un geste enthousiaste sans attentes mais en toute confiance »

 

 

10 02 Les énergies du printemps éveillent la joie et la créativité de l’enfant intérieur. Ma façon d’aborder les différents aspects de l’être, directement inspirée par la vidéo au sujet du pouvoir de l’accueil, de Nassrine Reza, me permet de pacifier et de découvrir réellement ce que je suis. L’image des corps subtils telle que présentée par les bouddhistes, me parlait intuitivement mais maintenant, cela devient une réalité vécue de l’intérieur. 

Les mots ont une fréquence, une charge énergétique dont le sens et l’intention impactent l’état d’être et quand on s’adresse aux corps subtils, à l’inconscient, à l’âme, à l’enfant en soi, au corps physique, on s’ouvre sur des mondes invisibles tout en cultivant nos valeurs les plus chères. Valeurs que l’accueil émotionnel met en exergue et qui permet de passer à l’action juste. L’accueil des émotions de tristesse, de peur et de colère révèle les besoins fondamentaux et permet leur expression dans la légèreté, la fluidité et la souplesse d’esprit.

C’est ce qui fait toute la différence, accueillir, s’ouvrir ou rester enfermé, englué dans la résistance aux manifestations psycho-émotionnelles qualifiées de mauvaises.

J’ai commencé par m’adresser aux corps physique, mental, émotionnel en soulignant leur aspect bienveillant, leur capacité à préserver l’innocence, la vulnérabilité de l’enfant en soi. De ce constat découle naturellement l’envie de mettre en avant l’amour que ces corps ont pour l’ensemble, pour la vie. 

Reconnaître par le recul sur ce qui émerge, combien les corps ont toujours fait de leur mieux pour préserver l’intégrité de l‘ensemble, c’est déjà poser un regard positif sur ce qu’on avait tendance à juger et à rejeter. Ce changement de vision, de perspective entraîne plus de confiance, d’écoute, d’ouverture face à ce qui se manifeste en soi. Quand on comprend que les émotions sont des messagères et qu’elles se dissipent naturellement quand on cesse de lutter contre elles, apportant en plus la capacité à passer à l’action dans le bon sens, on aborde ces mondes subtils d’une façon beaucoup plus sereine.

dimanche 14 février 2021

« S’ouvrir à l’inconnu »

 

 

31 12 Dernier jour de l’année, idéal pour faire un petit bilan de ce qui s’est passé intérieurement en un an. Intérieurement puisque nos croyances et conditionnements manifestent notre réalité quotidienne, la façon dont nous nous voyons et considérons le monde. Ces derniers mois ont été l’occasion d’une actualisation des représentations mentales à propos de ma mère, de l’autorité, qui entrent naturellement dans le cadre de l’abandon des croyances élaborées ou adoptées durant l’enfance.

L’observation objective permet de voir les mécanismes en soi et surtout d’apprendre à recréer du lien entre les différents aspects de soi. Non pas qu’ils soient naturellement antagonistes mais plutôt parce que la vision binaire du mental et sa façon d’appréhender la vie, nous amène à lutter contre ce qui ne correspond pas à notre idéal. Puis quand on prend l’habitude d’observer ce qui se dit et ce qui est ressenti en soi, il devient évident que ce que nous sommes primordialement, c’est cette conscience neutre, lucide, imperturbable sans pour autant être indifférente à l’humain. C’est cette vision lucide et détachée que nous avons lorsque les émotions sont accueillies librement et en conscience. Ou en sachant que celles-ci sont des messagères, temporaires, éphémères et nécessaires à la connaissance intime de soi.

J’ai pris l’habitude de dialoguer avec le mental, d’être ouverte, de poser des questions aux corps subtils sachant que chacun d’eux a son propre mode d’expression. Le seul fait de porter l’attention sur la respiration et d’attendre qu’elle revienne naturellement au niveau du ventre change déjà beaucoup de choses parce que la peur d’être submergée par les émotions se dissipe peu à peu. Et comme le mental ne peut se focaliser que sur une seule chose, en observant la respiration, il cesse de cogiter ce qui est très reposant.

On ne peut pas changer les images mentales qui se forment par association d’idées, en niant les pensées négatives ou en divertissant le mental, en fuyant la réalité de notre ressenti du moment. Si on change nos modes de pensées seulement par la raison on continue de lutter contre des aspects de soi ou de les ignorer ce qui a pour effet de leur donner plus de poids. C’est ce que j’aie pu constater lorsque j’étais membre d’une église chrétienne parce que je devais occulter une grande part de ma personnalité.

Le fait de percevoir le mental, l’émotionnel et le corps physique comme des partenaires fidèles et bienveillants, des aspects de l’être qui font toujours de leur mieux selon les circonstances, a favorisé la paix intérieure et me permet d’aller plus loin dans le processus de connaissance intime de soi par l’abandon des croyances. 

 

vendredi 22 janvier 2021

« Oser écouter l’enfant en soi sans crainte parce qu’il est très précieux »

 

 

21 01 Elle est où la justice ? Elle est où la puissance de l’amour ? Elle est où l’âme et qu’est-ce qu’elle fout ? Elle est où la joie d’être ? Des questions légitimes pour l’enfant en soi qui restent ouvertes pour la plupart mais qui déjà révèlent la soif de liberté, de justice et d’équité. 

La justice elle est dans cet accueil, cette écoute des peines et incompréhensions légitimes de la petite Lydia. La puissance de l’amour est dans cette ouverture, cette transparence, cette écoute bienveillante qui reconnaît la légitimité de ces questions même si toutes les réponses ne sont pas encore résolues. 

Mais déjà, laisser l’enfant en soi s’exprimer, c’est reconnaître sa légitimité et son rôle essentiel, c’est vivre libre et comprendre ce que signifie réellement cette liberté. L’enfant est par nature, ouverture, désir de communiquer, innocence et donc capacité à voir les choses sous un angle nouveau, capacité à innover, à changer, il offre une nouvelle énergie précieuse. Il est un souffle d’oxygène pour les neurones fatigués, une bouffée d’air frais dans les structures sclérosées, une légèreté dans la façon d’aborder la vie, il est la porte qui ouvre sur les royaumes du cœur.

Mais quand cet enfant a été meurtri, quand il a été bâillonné, quand il a dû taire son ressenti, subir l’injustice, il a besoin d’être enfin entendu, reconnu et aimé sans conditions. Alors tant qu’on est dans le déni, on perpétue la souffrance, on continue de le censurer de lui faire subir l’injustice, le rejet, une forme de trahison.

Devenir conscient de cela permet de changer son attitude envers les pensées obsessionnelles et surtout vis-à-vis des émotions qui ont été refoulées. Parce que c’est l’énergie de l’enfant qui veut partager son être et ses énergies particulières.

mercredi 20 janvier 2021

« Accueillir l’enfant en souffrance en soi »

 

 

9 01 Tout m’amène à vivre au jour le jour et la neige de ce matin vient comme un tapis à l’image de ce désir de prendre les choses une par une avec patience. Cette image impacte fortement le mental puisque ce genre de phénomène naturel n’arrive que rarement ici. La dernière fois, c’était au moment de mon déménagement, comme pour marquer l’envie de recommencer à zéro. 

Les infos du moment qui remontent à la surface le problème de l’inceste n’a pas suscité de réaction violente. Je me suis dit que c’était une bonne chose que le sujet soit enfin abordé parce que c’est un phénomène qui touche une grande partie des gens de ma génération. Le fameux « interdit d’interdire », l’usage massif de drogues, le manifeste encourageant la pédophilie et l’inceste signés par les intellos du moment mais qui continuent de parader dans les médias, la soi-disant liberté sexuelle qui n’est autre que l’expression la plus vile des rapports de prédation et de domination entre enfants et adultes, tout cela porte aujourd’hui ces fruits. 

Il n’est pas étonnant de constater le conflit de génération de plus en plus violent, le cynisme ambiant tout comme le nihilisme qui se répand davantage lorsqu’on fait l’état des lieux de la planète et le ressentiment envers la génération passée qui s’exprime avec violence dans les mouvements écolos, bobos soi-disant de gauche. 

Le besoin de réparation est puissant mais ça n’est pas dans la justice humaine qu’il peut s’obtenir même si poser les choses clairement est essentiel. En effet, aucune sanction, aucune indemnité si conséquente soit-elle ne peut effacer les abus sexuels. 

Malheureusement et heureusement, ça n’est qu’en cultivant l’amour pour Tout ce que nous sommes que c’est possible de guérir de blessures si douloureuses et handicapantes.