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06 J’observe
comment la même situation se transforme plus rapidement qu’avant et comment
cela s’effectue selon l’approche d’ouverture, de lâcher prise, d’accueil.
Cette
situation est un blocage du bas du dos et c’est assez récurent depuis deux ou
trois ans, puisque ça arrive tous les six mois environ.
La
première fois, c’était un manque d’attention, un mouvement déséquilibré qui m’a
amené à changer mon attitude intérieure, à vouloir être davantage présente mais
je ne savais pas trop comment m’y prendre. Je le savais en théorie mais je manquais de constance. Chaque fois, j’en apprenais un peu
plus et pouvais constater comment l’attention au corps, la douceur, favorisaient
la guérison.
Comment en lâchant la culpabilité ou en lâchant prise mentalement, en arrêtant de bloquer l’énergie dans la sphère du mental, les choses s’amélioraient.
Quelques idées au sujet de la régénération cellulaire puis dans la manière de porter attention au corps physique venaient nourrir le mental et le soutenir dans son besoin légitime de compréhension.
J’ai pu constater ainsi que l’attention portée sur le corps physique consistait à comprendre son mode de communication et que l’écouter voulait dire revenir à la détente, la relaxation physique, la respiration ventrale.
Mais aussi à la détente mentale en lâchant les préjugés, à priori, au sujet de la santé, de la quête d’une solution, d’une cause, qui nécessairement amène du stress et nourrit le besoin de contrôle.
On nous a appris à contrôler nos émotions dites négatives et à utiliser la force de volonté pour agir sur le corps physique en pensant que par le fait, le mental doit dominer le corps et qu’il est par conséquent plus intelligent que la matière.
Comment en lâchant la culpabilité ou en lâchant prise mentalement, en arrêtant de bloquer l’énergie dans la sphère du mental, les choses s’amélioraient.
Quelques idées au sujet de la régénération cellulaire puis dans la manière de porter attention au corps physique venaient nourrir le mental et le soutenir dans son besoin légitime de compréhension.
J’ai pu constater ainsi que l’attention portée sur le corps physique consistait à comprendre son mode de communication et que l’écouter voulait dire revenir à la détente, la relaxation physique, la respiration ventrale.
Mais aussi à la détente mentale en lâchant les préjugés, à priori, au sujet de la santé, de la quête d’une solution, d’une cause, qui nécessairement amène du stress et nourrit le besoin de contrôle.
On nous a appris à contrôler nos émotions dites négatives et à utiliser la force de volonté pour agir sur le corps physique en pensant que par le fait, le mental doit dominer le corps et qu’il est par conséquent plus intelligent que la matière.
Déjà
au départ il y a méprise et cette vision d’un corps physique inférieur parce
qu’animal, impulsif et selon les religions sujet à passions et donc capable de
"pécher", possiblement coupable du pire, périssable, a faussé la vision des choses.