21
06 J’observe
comment la même situation se transforme plus rapidement qu’avant et comment
cela s’effectue selon l’approche d’ouverture, de lâcher prise, d’accueil.
Cette
situation est un blocage du bas du dos et c’est assez récurent depuis deux ou
trois ans, puisque ça arrive tous les six mois environ.
La
première fois, c’était un manque d’attention, un mouvement déséquilibré qui m’a
amené à changer mon attitude intérieure, à vouloir être davantage présente mais
je ne savais pas trop comment m’y prendre. Je le savais en théorie mais je manquais de constance. Chaque fois, j’en apprenais un peu
plus et pouvais constater comment l’attention au corps, la douceur, favorisaient
la guérison.
Comment en lâchant la culpabilité ou en lâchant prise mentalement, en arrêtant de bloquer l’énergie dans la sphère du mental, les choses s’amélioraient.
Quelques idées au sujet de la régénération cellulaire puis dans la manière de porter attention au corps physique venaient nourrir le mental et le soutenir dans son besoin légitime de compréhension.
J’ai pu constater ainsi que l’attention portée sur le corps physique consistait à comprendre son mode de communication et que l’écouter voulait dire revenir à la détente, la relaxation physique, la respiration ventrale.
Mais aussi à la détente mentale en lâchant les préjugés, à priori, au sujet de la santé, de la quête d’une solution, d’une cause, qui nécessairement amène du stress et nourrit le besoin de contrôle.
On nous a appris à contrôler nos émotions dites négatives et à utiliser la force de volonté pour agir sur le corps physique en pensant que par le fait, le mental doit dominer le corps et qu’il est par conséquent plus intelligent que la matière.
Comment en lâchant la culpabilité ou en lâchant prise mentalement, en arrêtant de bloquer l’énergie dans la sphère du mental, les choses s’amélioraient.
Quelques idées au sujet de la régénération cellulaire puis dans la manière de porter attention au corps physique venaient nourrir le mental et le soutenir dans son besoin légitime de compréhension.
J’ai pu constater ainsi que l’attention portée sur le corps physique consistait à comprendre son mode de communication et que l’écouter voulait dire revenir à la détente, la relaxation physique, la respiration ventrale.
Mais aussi à la détente mentale en lâchant les préjugés, à priori, au sujet de la santé, de la quête d’une solution, d’une cause, qui nécessairement amène du stress et nourrit le besoin de contrôle.
On nous a appris à contrôler nos émotions dites négatives et à utiliser la force de volonté pour agir sur le corps physique en pensant que par le fait, le mental doit dominer le corps et qu’il est par conséquent plus intelligent que la matière.
Déjà
au départ il y a méprise et cette vision d’un corps physique inférieur parce
qu’animal, impulsif et selon les religions sujet à passions et donc capable de
"pécher", possiblement coupable du pire, périssable, a faussé la vision des choses.
La science découvre combien ce corps est intelligent, autonome et capable d’autoguérison, de gérer toutes sortes de systèmes plus complexes les uns que les autres, dans un équilibre parfait et renouvelé à chaque instant.
Les
scientifiques ne comprennent que peu de choses à son sujet et comme en plus, la
santé est devenue un business qui doit être lucratif, une industrie dont
dépendent tout un réseau d’entreprises, de laboratoires, de médecins,
spécialistes, écoles, et centres de recherches…ça limite l’évolution de la
compréhension.
Même si les religions ne pèsent plus autant sur les choix et décisions des états, la loi du marché les a remplacés et comme nous n’avons pas une vision holistique de ce magnifique assemblage de corps, les connaissances restent enfermées dans des paradigmes limitants et limités. Et ça fait écho à la vision individuelle et collective du corps physique, de la santé, de la maladie et des moyens de l'éradiquer.
Pourtant,
juste en observant le processus de cicatrisation, la régénération cellulaire,
il est clair que ce corps physique est hyper complexe et intelligent. Les
notions de mérite, de punition/récompense et ce regard méprisant sur la chair
périssable n’arrangent rien à l’affaire.
Là aussi on a une vision limitée du processus du vivant qui est mouvement et transformation, de façon cyclique et la vision linéaire, avec un début et une fin, est encore très influencé par les dogmes religieux.
L’idée de paradis ou d’enfer et cependant une forme de connaissance quant au caractère éternel de la conscience mais elle est avancée afin de maintenir les masses dans la peur et la culpabilité, le contrôle des pensées et des émotions, la notion de punition et de récompense, celle de mérite. Là encore, l'identification aux pensées, aux rôles et à la dualité conflictuelle elle-même reflet du mode de pensée linéaire, du sentiment d'isolement, d'impuissance face à la mort...au niveau individuel et collectif, en sont la matrice. Ou dit autrement la conception de l'humain autant au niveau des religions que de la science, est la projection de la conscience/inconscience collective.
Là aussi on a une vision limitée du processus du vivant qui est mouvement et transformation, de façon cyclique et la vision linéaire, avec un début et une fin, est encore très influencé par les dogmes religieux.
L’idée de paradis ou d’enfer et cependant une forme de connaissance quant au caractère éternel de la conscience mais elle est avancée afin de maintenir les masses dans la peur et la culpabilité, le contrôle des pensées et des émotions, la notion de punition et de récompense, celle de mérite. Là encore, l'identification aux pensées, aux rôles et à la dualité conflictuelle elle-même reflet du mode de pensée linéaire, du sentiment d'isolement, d'impuissance face à la mort...au niveau individuel et collectif, en sont la matrice. Ou dit autrement la conception de l'humain autant au niveau des religions que de la science, est la projection de la conscience/inconscience collective.
La
science reste dans ce paradigme où on attribue les causes comportementales à la
maladie. Où on prône une vie saine, une alimentation saine pour éviter d’être
malade.
Ce qui en soit est une réalité, une bonne chose, mais on oublie l’aspect mental du processus d’homéostasie et de l’émotionnel dans l’équation. Sans parler de l’aspect spirituel, énergétique.
Dès le départ, le corps physique est perçu comme inférieur, périssable et donc un ennemi potentiel dont il faut aussi se méfier à cause des pulsions morbides, des désirs impulsifs et tout ce qui en lui est incontrôlable.
Ce qui en soit est une réalité, une bonne chose, mais on oublie l’aspect mental du processus d’homéostasie et de l’émotionnel dans l’équation. Sans parler de l’aspect spirituel, énergétique.
Dès le départ, le corps physique est perçu comme inférieur, périssable et donc un ennemi potentiel dont il faut aussi se méfier à cause des pulsions morbides, des désirs impulsifs et tout ce qui en lui est incontrôlable.
La
prise de poids, la maladie et les douleurs sont perçus comme des problèmes, des
signes de dégénérescence et nourrissent le sentiment d’impuissance, d’échec,
pour le mental qui se dit qu’il a fait quelque chose de mal. On l’aime quand
son apparence correspond à notre vision de la beauté, quand son tonus nourrit
le sentiment de puissance, de vitalité et on commence à le détester quand il
vieillit, quand il grossit ou quand il n’est plus si énergique.
On agit envers lui comme s’il était un objet de plaisir, un acquis, notre possession, sans se rendre compte qu’il est un cadeau, un véhicule intelligent et autonome mis à disposition de la conscience et de l'âme. D’ailleurs lors de sa formation dans le ventre de la mère, le mental n’a pas eu à faire quoi que ce soit et pourtant, on croit qu’il doit contrôler les choses lorsqu’on est malade ou qu’une douleur apparait.
On agit envers lui comme s’il était un objet de plaisir, un acquis, notre possession, sans se rendre compte qu’il est un cadeau, un véhicule intelligent et autonome mis à disposition de la conscience et de l'âme. D’ailleurs lors de sa formation dans le ventre de la mère, le mental n’a pas eu à faire quoi que ce soit et pourtant, on croit qu’il doit contrôler les choses lorsqu’on est malade ou qu’une douleur apparait.
Le fait de vouloir traiter le corps physique avec respect est souvent perçu comme un besoin de contrôle encore plus strict. On s’impose une hygiène de vie sans tenir compte des effets de ce contrôle mental incessant, du stress permanent qu’endure le corps physique qui se trouve placé sous surveillance.
Limité dans la matière, l’espace temps, il doit en plus subir le contrôle du mental qui le scrute et qui culpabilise dès qu’un symptôme apparait.
Même lorsqu’on parle « d’écouter son corps », on perçoit cela comme un concept, on pense qu’on doit trouver la cause du symptôme à tout prix et comme il existe des dictionnaires qui en donnent les raisons métaphysiques, on va chercher les causes encore plus loin, dans des vies antérieures, dans les lignées de nos ancêtres, et ainsi, cultiver le stress, la résistance, la lutte, la culpabilité, la peur, le doute, alors qu’on veut vibrer le contraire.
L'épigénétique montre en effet qu'il y a des gènes fixes/actifs et d'autres plus malléables. Nous héritons d'un bagage génétique que nous n'avons pas à trimballer toute notre vie. La plasticité du cerveau, la part malléable des gènes selon l'environnement, ce qui implique autant l'aspect physique que psycho-émotionnel, les croyances et conditionnements qu'on valide ou pas.
J'ai écouté ce livre audio "le pouvoir de vos émotions" pour la deuxième fois je crois et ça me parle toujours autant bien que lors de l'activation de la mémoire traumatique ou simplement l'identification aux rôles, cette vision semble confuse.
Ce qui est dit dans le livre audio est vérifiable en soi mais ça peut prendre une vie entière à comprendre le sens de ces mots qui rappelons le, sont reçus par canalisation et passent par le filtre des croyances et conditionnements de ceux qui les transmettent.
Ce
qui est difficile à comprendre, c’est parce que ces connaissances sont données
par des êtres "extérieurs" à ce monde. Leur point de vue détaché est cependant nécessaire et en ce sens nous pouvons, tout comme eux, élargir notre point de vue. Je dirais plutôt qu’il est bon de
commencer par prendre conscience de ce lien entre la personnalité et l’observateur neutre en
soi, ce point de vue capable d’entendre les pensées, d’en percevoir l’émergence
incontrôlable et de ne pas réagir à ces pensées de peur ou de ne pas s'attacher aux émotions pendant cette observation.
Puis en observant comment fonctionne le corps physique, en constatant l’effet de l’état d’être intérieur, les pensées, les émotions qu’on émet et ce que cela fait à notre corps, comment on se sent, en remettant en question les croyances au sujet de la maladie, de la santé. Là encore notre société a donné un nom et apporté un remède à chaque symptôme.
On peut douter à la fois du diagnostic et de l’efficacité du remède lorsqu’on sait d’une part que la santé représente l’industrie la plus lucrative au monde juste derrière celle des armes et lorsqu’on lit la liste des effets indésirables de chaque médicament.
De plus, on ne nous parle que très rarement de l’effet placébo qui veut dire que le mental a un impact fort sur le résultat, la guérison.
Et une autre chose à propos des symptômes, sont ils vraiment des problèmes ?
Tout organisme vivant qui évolue passe par des phases de fièvre ou d’inflammation, de détoxification qui entraine des réactions internes naturelles. Le corps s’autorégule, se régénère sans cesse et cela entraine des réactions physiologiques, cutanées…psychologique, émotionnel...
Puis en observant comment fonctionne le corps physique, en constatant l’effet de l’état d’être intérieur, les pensées, les émotions qu’on émet et ce que cela fait à notre corps, comment on se sent, en remettant en question les croyances au sujet de la maladie, de la santé. Là encore notre société a donné un nom et apporté un remède à chaque symptôme.
On peut douter à la fois du diagnostic et de l’efficacité du remède lorsqu’on sait d’une part que la santé représente l’industrie la plus lucrative au monde juste derrière celle des armes et lorsqu’on lit la liste des effets indésirables de chaque médicament.
De plus, on ne nous parle que très rarement de l’effet placébo qui veut dire que le mental a un impact fort sur le résultat, la guérison.
Et une autre chose à propos des symptômes, sont ils vraiment des problèmes ?
Tout organisme vivant qui évolue passe par des phases de fièvre ou d’inflammation, de détoxification qui entraine des réactions internes naturelles. Le corps s’autorégule, se régénère sans cesse et cela entraine des réactions physiologiques, cutanées…psychologique, émotionnel...
Le besoin de contrôle s’exerce sur tous les corps finalement et le corps physique traité la plupart du temps comme un objet de plaisir lorsqu’il y a douleur ou maladie, est rejeté, on est prêt à le rafistoler, à engager des frais considérables pour lutter contre la maladie et rester en vie. Mais on ne se rend pas compte qu’on est en mode survie continuellement, on lutte sans arrêt contre ce qu’on a qualifié de mauvais.
Ce classement étant basé sur des croyances ancestrales et sur l’ignorance de notre nature essentielle, ne serait-il pas plus intéressant de changer de point de vue et d’élargir sa vision afin de mieux connaitre, de connaitre de l’intérieur ?
Nous avons en nous le meilleur spécialiste, guérisseur et médecin qui soit puisque le corps physique sait précisément harmoniser les corps et les systèmes internes, utiliser l’énergie de vie et maintenir l’équilibre entre les forces. Il est animé par l'énergie de Vie, inspiré par l'âme, la source, il suit le courant évolutif naturellement.
On peut dire que c’est écrit en lui de façon structurelle et génétique. Mais ces gènes portent autant la guérison que la maladie, selon le vécu de nos ancêtres et selon les codes contenus dans l’ADN dit "poubelle". Même dans les cellules qui se régénèrent continuellement, dans ce mouvement directement inspiré du vivant, des lois universelles.
On peut constater qu’il faut environ trois jours pour qu’une petite plaie cicatrise mais on n’y prête pas vraiment attention, on trouve juste que c’est moche et on la cache avec un pansement.
Tout comme les peaux mortes qu’on n’aime pas voir parce qu’on les considère comme des déchets ou encore l’urine, les excréments. Certes ça n’est pas ragoûtant mais ce sont les témoins du bon fonctionnement du corps physique. Les peaux mortes sont la conséquence de la régénération cellulaire, de ce cycle de transformation ; l’élimination des matières solides et liquides du corps témoignent d’un bon transit et du bon fonctionnement des reins, des filtres. Tout cela prouve que le corps sait utiliser ce dont il a besoin et rejeter ce qui est toxique pour lui.
Ce
dont on a peu conscience c’est la toxicité des pensées et des émotions qu’on
rejette ou qu’on rumine. Le corps physique trouve l’équilibre naturellement lorsqu’il
est détendu et on peu s’inspirer de lui au niveau psycho-émotionnel. En
observant l‘état du corps physique issu autant de la planète au niveau élémentaire, atomique..., que des étoiles, on va apprendre comment il fonctionne et constater que la nature nous dit précisément quelle attitude adopter envers lui. Toujours en observant ce qui se passe en soi, on va voir que les crispations physiques et les pensées qu’on cultive dans l’instant, sont similaires, qu'on est aussi crispé mentalement que physiquement.
On reste accroché à des croyances limitantes, on s’attache aux pensées conditionnées basées sur la dualité et du coup, le corps doit fournir encore plus d’effort pour maintenir l’équilibre.
On reste accroché à des croyances limitantes, on s’attache aux pensées conditionnées basées sur la dualité et du coup, le corps doit fournir encore plus d’effort pour maintenir l’équilibre.
En apprenant à observer sans lutter, sans commenter, sans chercher à comprendre le pourquoi du comment et sans non plus empêcher ces pensées mais juste en ne leur donnant pas de crédit, on va pouvoir s’ouvrir et commencer à connaitre.
Ouvrir son esprit à recevoir les idées émanant de la sagesse interne, se rendre compte qu’on a tout à apprendre et que les croyances sont des concepts inculqués par l’extérieur auquel notre conscience d’enfant a accordé du crédit par nécessité.
Par
peur d’être rejeté, exclu du groupe, de la famille, de ne pas être compris,
aimé, l’enfant adhère à des croyances par effet miroir finalement. C’est clair
que lorsque le discours des parents et leurs actes sont contraires, l’enfant va
douter de l’autorité parentale mais il n’est pas assez autonome affectivement
ni suffisamment indépendant pour se faire confiance. Mais là encore, le fait qu’il
doute de l’autorité va l’aider à ne pas renier totalement son propre point de
vue, son propre ressenti.
Nous portons tout en nous, que ce soit l’inconscient collectif, la conscience individuelle et la conscience Une et notre capacité à écouter les voix qui nous semblent les plus justes se développent au fil du temps, par les expériences, les choix et leurs conséquences sur notre état d’être.
Quand
on ose abandonner les croyances, les conditionnements et qu’on s’ouvre à
écouter la voix de la sagesse en soi, quand on suit ses suggestions, quand on
adopte la position de l’observateur neutre, on comprend qu’on n’a plus besoin
ni d’amour extérieur ni d’autorité.
On parle d’écouter son cœur parce que par nature il est l’organe coordinateur, celui qui émet la vibration de l’ensemble des corps, syntonise les fréquences et en vibre la note majeure.
Et finalement, c’est soit la fréquence de la lutte, soit celle de l’accueil qui définit la vibration. On peut constater que la peur engendre d’autres émotions dites négatives comme la colère, la tristesse ou que celles-ci en sont la réponse du point de vue dualité conflictuelle.
En apprenant à juste laisser passer l’émotion en la reconnaissant pour son caractère initiatique et sa valeur énergétique, on va sentir qu’elle se dissout en même temps que les pensées qui y étaient associées. Et l’énergie qui émergeait de la lutte interne, donnant l’élan à agir sous l’impulsion de ces émotions dites négatives au détriment de la santé du corps physique, est alors redistribuée et utilisée à partir de la joie.
Il y a une grande différence entre agir par impulsion colérique ou par l’élan qui émane de la paix du cœur et ce sont les effets dans le corps, la matière, qui nous le montrent clairement.
On parle d’écouter son cœur parce que par nature il est l’organe coordinateur, celui qui émet la vibration de l’ensemble des corps, syntonise les fréquences et en vibre la note majeure.
Et finalement, c’est soit la fréquence de la lutte, soit celle de l’accueil qui définit la vibration. On peut constater que la peur engendre d’autres émotions dites négatives comme la colère, la tristesse ou que celles-ci en sont la réponse du point de vue dualité conflictuelle.
En apprenant à juste laisser passer l’émotion en la reconnaissant pour son caractère initiatique et sa valeur énergétique, on va sentir qu’elle se dissout en même temps que les pensées qui y étaient associées. Et l’énergie qui émergeait de la lutte interne, donnant l’élan à agir sous l’impulsion de ces émotions dites négatives au détriment de la santé du corps physique, est alors redistribuée et utilisée à partir de la joie.
Il y a une grande différence entre agir par impulsion colérique ou par l’élan qui émane de la paix du cœur et ce sont les effets dans le corps, la matière, qui nous le montrent clairement.
En
apprenant à observer les corps subtils et physique on va constater qu’il y a deux
voies possibles ; Soit celle de la lutte qui utilise le mode survie à tous
les étages où la pensée émane de l’inconscient puis est alimentée par l’émotion
correspondante, celle qui lui est associée, formant à la fois les préjugés et la
vibration élaborée à partir des réactions en chaine, psycho-émotionnelles, physiologiques
et du mode réactionnaire, de leurs fréquences intrinsèques. Soit celle de l’ouverture
d’esprit, du détachement des pensées inconscientes automatiques, celle de l’accueil
des émotions qui permet la dissociation des préjugés, de ces associations toutes
faites fondées sur la notion de bien et de mal comme la peur=ennemi à
combattre.
Dès lors qu’on ne donne plus d’énergie à ces pensées conditionnées en accueillant l’émotion correspondante, en la laissant se dissoudre naturellement, une nouvelle idée, un nouveau désir, vont donner l’élan à agir depuis l’harmonie intérieure, la cohérence.
Et on verra le résultat immédiat par la détente physique, l’état d’être psycho-émotionnel serein, confiant, le mental qui ne se pose plus de questions et le geste porté par l’enthousiasme qui est énergique, efficace, précis et juste.
Dès lors qu’on ne donne plus d’énergie à ces pensées conditionnées en accueillant l’émotion correspondante, en la laissant se dissoudre naturellement, une nouvelle idée, un nouveau désir, vont donner l’élan à agir depuis l’harmonie intérieure, la cohérence.
Et on verra le résultat immédiat par la détente physique, l’état d’être psycho-émotionnel serein, confiant, le mental qui ne se pose plus de questions et le geste porté par l’enthousiasme qui est énergique, efficace, précis et juste.
Tout cela est observable en soi et ce qui est magnifique c’est que ce constat permet d’être en paix avec soi-même, avec tous les aspects de l’être et de devenir peu à peu sa propre autorité. Plus seulement de façon intuitive et entêtée mais parce qu’on s’appuie sur l’expérience, la connaissance intime de soi.
24 06 Le
bas de mon dos est encore sensible mais je n'ai été bloquée que 48h cette fois-ci alors que la dernière fois que c'est arrivé, il m'a fallu 5 ou 6 jours pour ne plus avoir mal et davantage pour retrouver plus de souplesse. La douleur a perduré 24h seulement et ça, c'est énorme parce que j'ai pu constater directement combien la détente est nécessaire.
Plutôt que de m’alarmer et de me dire que je risque à nouveau d’être immobilisée, je reviens juste à la détente physique, la respiration ventrale, le relâchement musculaire et j’en goûte directement les effets bienfaiteurs.
J’ai le choix d’être immobilisée de force si on peut dire ou de choisir de revenir à la fluidité des pensées, des émotions, à l’attention portée sur l’intérieur, le retour à la détente.
C’est sûr que c’est plus facile de se fier à l’extérieur pour savoir quelque chose, pour résoudre un problème dont la résolution dépend d’experts, de médecins, de spécialistes mais quel intérêt de vivre une vie si c’est pour suivre les croyances et conditionnements des autres. Qu’ils soient issus de l’inconscient collectif intérieur ou des croyances extérieures, où est le moi dans tout ça ?
Apprendre à se connaitre, comprendre ce que veut dire "s’écouter" demande de la patience, de la persévérance mais au moins on vit une vie qui nous correspond vraiment, on suit notre propre voix interne et on comprend que les "erreurs", les "échecs" sont des formes d’apprentissage. Qu’ils nous permettent justement d’intégrer ces valeurs nécessaires à la connaissance intime de soi et à la confiance en notre propre guidance interne.
Voilà le livre audio dont je parle plus haut. Il y a une répétition du deuxième chapitre mais la suite est intéressante. Puis c'est clair que ce genre d'infos demande plusieurs écoute pour commencer à comprendre en théorie puisque ça va à l'encontre des concepts scientifiques, religieux, collectifs. Mais c'est toujours par l'expérience qu'on intègre vraiment quelque chose et ça, c'est le privilège de l'incarnation, d'être un individu à part entière, avec autant de potentiels qu'il y a de corps, de désir et choix.
Plutôt que de m’alarmer et de me dire que je risque à nouveau d’être immobilisée, je reviens juste à la détente physique, la respiration ventrale, le relâchement musculaire et j’en goûte directement les effets bienfaiteurs.
J’ai le choix d’être immobilisée de force si on peut dire ou de choisir de revenir à la fluidité des pensées, des émotions, à l’attention portée sur l’intérieur, le retour à la détente.
C’est sûr que c’est plus facile de se fier à l’extérieur pour savoir quelque chose, pour résoudre un problème dont la résolution dépend d’experts, de médecins, de spécialistes mais quel intérêt de vivre une vie si c’est pour suivre les croyances et conditionnements des autres. Qu’ils soient issus de l’inconscient collectif intérieur ou des croyances extérieures, où est le moi dans tout ça ?
Apprendre à se connaitre, comprendre ce que veut dire "s’écouter" demande de la patience, de la persévérance mais au moins on vit une vie qui nous correspond vraiment, on suit notre propre voix interne et on comprend que les "erreurs", les "échecs" sont des formes d’apprentissage. Qu’ils nous permettent justement d’intégrer ces valeurs nécessaires à la connaissance intime de soi et à la confiance en notre propre guidance interne.
Voilà le livre audio dont je parle plus haut. Il y a une répétition du deuxième chapitre mais la suite est intéressante. Puis c'est clair que ce genre d'infos demande plusieurs écoute pour commencer à comprendre en théorie puisque ça va à l'encontre des concepts scientifiques, religieux, collectifs. Mais c'est toujours par l'expérience qu'on intègre vraiment quelque chose et ça, c'est le privilège de l'incarnation, d'être un individu à part entière, avec autant de potentiels qu'il y a de corps, de désir et choix.
« Le fabuleux pouvoir des émotions » Esther
et Jerry Hicks
J’aurais plutôt appelé ce livre audio : « l’art
de permettre » parce que finalement, c’est cet aspect essentiel qu’il nous
faut apprendre à intégrer pour justement vivre des expériences physiques,
matérielles, en lien avec la vibration essentielle de notre être ou de notre
âme : mouvement progressif, évolutif de la conscience individuelle et
collective.
Mouvement évolutif et cyclique qui régit le vivant dont nous
faisons partie intégrante.
Les infos données dans ce livre audio sont intéressantes
mais si on ne lâche pas les croyances passées, autant individuelles que
collectives, cela crée des confits à l’intérieur et comme c’est la vibration
qui attire à elle des énergies, situations, personnes en conséquence, on aura
du mal à y croire.
Les nouvelles croyances sont fragiles lorsque c’est uniquement
mental et en général, on croit en quelque chose pour fuir ce qui nous dérange.
Là encore, la vibration majeure est celle de la fuite, de la lutte ou une
réaction émanant du tronc cérébral, ça n’est pas perçu depuis le cœur, ou l’espace
de paix intérieur qui fait qu’une idée apparait comme une évidence parce qu’appuyée
par un sentiment profond de vérité.
C’est vérifiable à travers la prégnance des
croyances fondées sur un trauma d’enfance parce que là aussi, il y a eu
association de pensée et d’émotion, ce qui a imprimé en profondeur ces
croyances dans la mémoire qui de plus fait souvent écho au vécu et croyances de nos ancêtres.
Puis ensuite, comme on valide constamment ces
croyances en étant identifié au rôle, cela entretient la croyance et lui donne
du crédit, de l’énergie, selon la loi d’attraction/résonance.
Dans ce monde ou
plutôt dans l’idée de séparation fondée sur le système de perception et d’interprétation
du mental qui traite les infos en mode duel conflictuel, c’est l’effet
contraste qui nous enseigne, les émotions qui nous renseignent à propos de nos
besoins, l’observation dépourvue de jugement, la capacité d’écouter le pensées
compulsives, automatiques qui révèlent l’aspect divin/éternel, la source, en soi.
Je crois que je vais réécouter et déjà finir d’écouter
ce livre audio rempli d’infos en parfaite résonance avec ma vision des choses.
Vision au départ plutôt intuitive mais qui s’imprime en profondeur, se
manifeste déjà dans la sphère mentale par le choix de lâcher les pensées
duelles puis par l’accueil émotionnel change peu à peu les expériences. Le
point de vue sur celle-ci et la vibration majeure de plus en plus constante. Je
pense que je vais republier cette vidéo dans un nouvel article tellement ça
suscite de réflexion mais pour le moment, c’est l’heure, l’envie d’aller au
jardin qui prime.
Si
vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure
et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain
divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr Photos privées ©Lydia Féliz