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06 A mesure que j’observe les modes de
fonctionnements internes et ceux de mes contemporains, je constate que les mêmes
lois universelles régissent les systèmes internes et par-dessus tout qu’il y a
toujours les mêmes forces en chacun d’eux: l’unité, l’équilibre et l’harmonie.
Dans
le mode de pensée issu du tronc cérébral, on trouve des schémas de pensées associés à des
émotions, des réactions en chaine, en parfait cohérence, en parfait équilibre.
La
différence entre ces systèmes est seulement dans la façon d’aborder, d’ordonner
les choses et les vibrations que ça génère, les modes d’attraction/répulsion
issus du système binaire sont utilisés soit en mode conflictuel et fermé, limité,
soit en mode dynamique et ouvert, expansif.
Plus
j’avance dans la compréhension des modes de fonctionnement internes et plus je
peux m’en détacher parce que j’en vois le caractère impersonnel, ce qui veut
dire que je ne pas m’identifier à des schémas de pensées automatiques, ni à des
rôles puisqu’ils sont générés et traités en mode inconscient.
Devenir
conscient de cela c’est s’individualiser tout en reconnaissant l’unité à tous
les étages, même au niveau de la conscience individuelle.
Finalement,
ce qui fait de nous quelqu’un d’unique, c’est la façon de canaliser l’énergie
en conscience, dans un corps physique qui à des niveaux subtils ou atomiques,
élémentaires, n’est pas non plus notre propriété. Les notions d’individualité
deviennent obsolètes quand on réalise que l’unité est en toutes choses.
Que
ce soit au niveau inconscient, à travers les schémas impersonnels ou depuis
l’observateur neutre, la conscience ou vrai moi, cette unité apparait comme une
réalité.
Ce qui explique pourquoi on peut arriver aux mêmes conclusions tout en
empruntant des chemins de connaissance de soi différents.
Tout
est régit par les lois universelles d’attraction et de résonance et elles
témoignent aussi de la reliance entre les individus au niveau subtil, profond
et éthéré.
Et l’amour apparait comme l’expression de la loi d’attraction, son
principe et son effet résonance qui s’active en chaque corps de façon simultané
et donne ce sentiment d’être amoureux ou qu’un texte, une image symbolique nous
parle, fait écho à l’intérieur.
La
conscience Une est une banque de donnée immense, infinie, où tout est possible, où
tout existe simultanément et dans différentes sphères, degrés de conscience.
Chaque individu est un point qui se déplace sur ces lignes temporelles, ces
rayons informationnels.
En se positionnant au centre, au-delà de ces lignes de
temps, c’est le silence, l’immobilité, la quiétude et l’ouverture, la
conscience qui accède à des niveaux de connaissance universelle à travers des
symboles, des formes géométriques, celles qu’on retrouve aussi dans la nature
qui en est l’expression directe, la manifestation dans la matière de ces lois
universelles.
Je
viens de découvrir la chaine de Lulumineuse qu’elle a fournit en vidéos très
récemment et j’ai été surprise par cette résonance mais en fait ça suit la
logique quasiment mathématique de ces lois.
On n’est pas arrivées aux mêmes
conclusions par le même chemin, mais c’est justement ce qui montre le caractère
unique de chacun, le fait que nous nous construisons selon le terrain, le
contexte, notre propre vibration et capacité à écouter et suivre l’intuition.
J’en suis aux premières vidéos et je peux y voir quelques "maladresses" de mon
point de vue dans la façon d’interpréter les choses mais ça aussi, c’est
typique de ce chemin où on avance à tâtons. Puis ce que j'appelle maladresse est une conséquence naturelle de la spontanéité, de l'authenticité en même temps que l'occasion de ne pas se sentir supérieur aux autres puisqu'on est face à cette immensité des mondes intérieurs, de cet univers cosmique en soi et à "l'extérieur".
Nous percevons et interprétons les
choses à partir de notre propre conception des choses, selon les croyances et
conditionnements qui ont leur utilité et qui permettent d’intégrer une vision
plus lucide, en douceur, sans avoir besoin de se faire violence juste en
apprenant à observer et lâcher. Le sujet est si vaste que le mental ne peut pas intégrer les choses d'un seul coup et heureusement parce qu'on deviendrait dingue. C'est ce qui rend ce voyage de la conscience si intéressant parce qu'on découvre pas à pas.
Le mode "tabula rasa" est issu de la vision
duelle conflictuelle où on détruit l’ancien pour le remplacer par quelque chose
de nouveau en apparence mais qui obéit aux mêmes lois du pouvoir par le
contrôle, la domination. Les statues qu'on brise en ce moment en est l'expression directe.
Au
sujet des mathématiques qui ne m’ont jamais vraiment attirées, une phrase
revient de temps en temps : "abscisses et ordonnées". Ce qui éveille de vieux
souvenirs d’école mais ça reste très vague. Pourtant ça revient régulièrement
comme une invitation ou une évidence. Je n’ai pas encore cherché mais me
contente d’attendre d’avoir l’élan de le faire.
Suivre cet élan spontané c’est
à la fois comprendre le langage du corps physique, sa façon de nous guider et
reconnaitre l’importance de la fluidité, de l’ouverture, qui permet la
réception.
18 06 Je viens de regarder la définition de ces mots et ça m’a fait rire
parce que c’est exactement ce que je vois en ce moment. Chaque point est repéré
dans l’espace par l’abscisse qui en est la coordonnée horizontale et par
l’ordonnée qui en est l’axe vertical.
L’idée ici qui m’intéresse est celle du
positionnement qui donne une vision différente selon le point d’observation et
les abscisses et ordonnées peuvent être les croyances et conditionnements qui
donneront l’interprétation en conséquence.
Ce
qui fait de nous des êtres uniques et individuels c’est la façon dont on capte
et resitue l’énergie, par quels modes de traitement on la transforme et comment
cela se réalise selon notre degré de conscience et d’ouverture. Comment on la
digère, comment on la magnifie, comment on peut apprendre à en être un canal
direct, pur, transparent et ainsi s’élever au-delà des rôles, des préjugés…
Il
y a plusieurs éléments qui me font penser à cette conscience Une dont la
sagesse est universelle, déjà le fait que nous en arrivions aux mêmes
conclusions, au bout du compte.
Dans
l’inconscience on répète et on partage les mêmes concepts, modes de pensées et
comportements et dans la conscience éclairée, on voit/ressent les choses de la même
façon.
Dans
ces différents degrés de conscience, il y a l'unité mais elle est plus ou moins consciente. Quand on est identifié aux rôles, quand on se croit séparé du tout, parce qu’on est en mode lutte et parce qu'on est divisé intérieurement, on se sent manipulé par nos schémas
automatiques, réflexes, impersonnels, on va vouloir exister en contrôlant, en luttant, en s'imposant. On voudra s'élever au-dessus des autres par la domination, la séduction, le pouvoir par le contrôle. On croit penser par soi-même, choisir mais on suit des programmes et on agit par automatismes. L'appartenance au groupe est essentielle et c'est une façon d'exprimer la conscience Une dans sa forme la plus basique par contraste, par l'idée du manque et du besoin. Quand on prend davantage conscience de qui on est, en apprenant à se connaitre, on voit et on vit cette unité intérieure, dans la relation aux différents aspects de soi, on constate par le détachement, le caractère unifié de la conscience Une. L'un est vécu dans le tourment, l'idée de séparation, le besoin de lutter et l'autre dans la paix, la conscience d'être un point qui compose dans le tout, d'exister en tant qu'unité dans l'unité.
Finalement
ce qui nous donne l’impression d’exister quand on n’est pas conscient de qui on
est, ce sont nos émotions, leur intensité, les sensations extrêmes et notre capacité à dominer, à gagner, à obtenir du pouvoir sur l'extérieur.
Mais
comme ces sensations sont éphémères, passagères, précaires, on est balloté d’un
extrême à l’autre alors on va s’accrocher à nos croyances qu’on ne veut pas
lâcher de peur de tomber dans le vide, de perdre nos acquis.
La
différence entre être conscient de soi et exister par automatisme, c’est juste
cette capacité à s’ouvrir à l’inconnu, à se laisser porter par le mouvement, à
choisir d’être cette feuille qui se laisse porter par la rivière.
Finalement
peut-être que le fait d’observer les pensées automatiques, impersonnelles,
prépare à accepter l’idée de l’unité, le sens de la conscience Une et le fait
que rien ne soit séparé.
C’est
une question de conscience, de choix ou d’inconscience et de non choix, qui se
résume à suivre ou lutter, soit suivre les impulsions automatiques, soit suivre
le mouvement de la vie délibérément. C'est beaucoup plus complexe et nuancé mais je parle ici d'une vue d'ensemble d'un tableau que les mathématiques peignent, ordonnent et régissent.
Ce qui semble sécurisant lorsqu’on suit
les mêmes schémas, c’est de savoir à peu près ce qui va arriver mais dans la
dualité conflictuelle, il suffit de peu pour qu’on soit effondré, déstabilisé,
déçu, désillusionné.
Il y a toujours un retour de bâton lorsqu’on s’attache au
bien ou au mal, lorsqu’on est identifié au rôle de sauveur, par exemple, on va finir
par se sentir victime. Et c'est une question d'équilibre, ça n'est pas la conséquence d'actes particuliers mais davantage de choix internes et de lois universelles.
Par le recul on peut mesurer les conséquences des choix
inconscients par leur effet sur la matière et ainsi se laisser guider par les
élans enthousiastes en acceptant de ne rien contrôler, de ne rien savoir mais
juste en étant conscient que ça nous mène vers quelque chose qui va nous faire
grandir, évoluer, comprendre, assimiler, simplement parce que c’est porté par
le désir, parce que ça nous réjouit.
Soit
on se laisse balloter d'un extrême à l'autre par les mouvements internes en y résistant, soit on
apprend à suivre ses mouvements en apprenant à les lâcher, en prenant un peu de
recul. Dans un cas on subit la dualité conflictuelle, dans l’autre on apprend à
danser, à accompagner le mouvement et à s’envoler avec lui.
L’image
de la chenille et du papillon revient et on peut dire que je suis à la phase de
la sortie du cocon. Phase délicate où on sort du vieux sentiment de sécurité
par l’enfermement et où les ailes sont encore trop froissées et fragiles pour
pouvoir s’envoler.
Ce qui revient à oser se laisser guider de l’intérieur sans
regarder en arrière. Mais comme pendant la phase de dégradation du cocon on a
appris à connaitre les lois universelles, à savoir où se positionner pour
trouver l’équilibre en soi, la cohérence entre la volonté et le geste, on sait
où on veut aller et comment. Reste à oser prendre son envol.
Mais là aussi,
l’habitude de se positionner en observateur neutre, à prendre du recul est un
apprentissage important parce qu’on sait que le courant va nous porter et qu’il
suffira de rester dans l’équilibre interne, de suivre l’élan du moment, le
courant ascendant, pour se lancer et avancer.
On sait que c’est la vibration
qu’on émane qui donne la direction et le sens, la qualité du voyage, de l’envol
mais on ne sait pas encore vraiment où ça nous mène.
Mais ça n’a plus vraiment
d’importance puisqu’on sait que l’avenir et la direction sont définis par le
présent, la vibration qu’on émane dans l’instant.
On sait aussi que c’est
seulement au présent qu’on peut agir, choisir et se réjouir.
On comprend que ce
qui compte, c’est le mouvement, sa qualité et que la destination reste l’union, la conscience de l'unité.
Le
lecteur est en train de jouer un morceau de Francis Cabrel ; « c’est
écrit » et ça me fait penser au fait qu’effectivement nous avons en nous
et dans la façon d’aborder le présent, la connaissance de ce qui va advenir
selon les chemins internes empruntés.
On sait que si nous sommes en mode
survie, identifié au rôle de victime, la vie va nous apporter sur un plateau
l’expérience correspondante, la mise en scène de ce qu’on vibre.
On
peut tous constater que "faire le bien" n’amène pas un bonheur durable
justement parce que selon les schémas inconscients qui traitent les forces dans
la dualité conflictuelle, l’équilibre est la force primordiale qui tient le cosmos.
Et par conséquent, par la nature même de l’énergie, la vibration attire et elle
est composée de l’intention, de l’ensemble de fréquences émanées.
Ainsi "faire
le bien" en pensant que les autres sont mauvais puisque cela est sous-entendu,
est la vibration envoyée où les autres sont le problème, on vibre le conflit,
le rejet de ce qu’on juge mauvais.
On
projette vers l’extérieur notre conception du monde, de soi-même où ce
qui est jugé comme mauvais à l’extérieur, fait écho à ce qu’on juge mauvais en
soi.
On refuse de faire face à ces aspects jugés indésirables en soi qu’on
rejette, qu’on nie et qu’on projette vers l’extérieur afin de se sentir
quelqu’un de bien.
Ainsi, l’autre est la cause de notre mal-être et on s’étonne
de se sentir malheureux, on rage d’être traité par les autres comme quelqu’un
d’insignifiant, on est dégoûté quand les élites manipulent et traitent les
peuples, les individus comme de vulgaires objets, insectes.
Et c’est
précisément ce regard qu’on porte en soi, on considère que ces pensées
négatives, ces émotions dites négatives ne devraient pas exister. On les voit
comme des parasites qui nous empêchent d’être tout le temps heureux, en paix,
en joie.
Mais cette joie s’appuie sur le sentiment de victoire quand la vie
nous sert selon nos attentes, quand on se trouve chanceux, béni…et quand on est
contrarié, on passe par toutes les émotions qu’on a rangées dans la case "mauvaises", celles
qu’on ne veut pas ressentir. C'est justement cette classification, cette étiquette qui l'enferme dans le mental/inconscient et la contraint, qui crée le mal-être.
En
apprenant à lâcher les pensées automatiques répondant à la vision duelle des
choses, déjà on considère les expériences qu’on qualifiait d’épreuve, comme des
occasions de lâcher justement ce qui ne nous correspond plus.
Mais
ça ne veut pas dire qu’on n’aura pas les réactions et réflexes conditionnés,
les pensées de jugement, d’accusation, de rejet…seulement peu à peu on s’en
détache.
En
écoutant la reprise d’un morceau de Beethoven par les Bee Gees, je vois
pourquoi j’aime cette reprise parce qu’elle est l’expression du principe de
transformation, de recyclage, qui utilise l’ancien pour en faire du nouveau
sans avoir besoin de détruire mais juste en actualisant.
C’est ce que fait la
nature aussi. Tout comme le corps physique à travers la régénération cellulaire
mais là je n’y connais rien mais j’ai appris quelque chose qui m’a fait changer
ma relation au ménage. En plus comme
c’est en écoutant un sketch que cette info m’est parvenue ça m’a aussi plu
parce que c’est le mode de communication naturel du moi.
Le truc c’est que
lorsqu’on fait le ménage, on balaie 75% de peaux mortes. L’image m’a parlée et
en plus des conditionnements liés au féminin qui sert l’homme, le torche, le
nourrit, qui faussaient ma vision du ménage, cette nouvelle approche me renvoie
à l’idée de la mort. Au cycle du vivant dont la mort est partie intégrante.
En
effet pour qu’une cellule renaisse il est nécessaire qu’elle meure et quand on
balaie, on est en présence de ce phénomène naturel extraordinaire.
Savoir que
cette poussière est l’expression concrète de la régénération cellulaire témoin
de santé, change totalement la perspective.
Ce qui apparaissait comme une
corvée, un truc chiant, devient un mouvement participant à ce miracle de la vie.
Je ne fais plus le ménage de la même manière depuis cette info.
De toute façons
depuis pas mal de temps déjà, je ne fais plus rien par la contrainte, la force,
l’obligation et comme il y a nécessairement des jugements, des réactions
internes c’est à chaque fois l’occasion de lâcher les pensées de peur, d'auto-jugement…
J’ai
été contente aussi de tomber sur les vidéos de Lumineuse juste après avoir
demandé à mes corps de me guider vers quelque chose d’épanouissant, de
réjouissant, puisque j’ai tendance à m’ennuyer étant donné qu’il pleut tous les
jours et que je suis enfermée souvent.
Là encore, une situation qui avant me
mettait en colère puisque les épandages aériens sont visibles et en partie responsables
du climat, maintenant, ça ne me fait plus autant réagir. D’une part parce que
lutter est vain et d’autre part parce que j’ai compris que c’est la vibration
qu’on porte, émane qui participe à la création des situations dans la matière.
Alors je me contente de porter attention à mes mondes intérieurs et à rester
relaxée, ouverte, flexible. Puis en suivant l’envie du moment, la vibration
majeure est celle de la spontanéité joyeuse.
La
sensation d’être de plus en plus en accord à l’intérieur, de favoriser
l’entente cordiale, l’écoute entre tous les corps, donne un sentiment de paix,
de complicité, de force et de confiance que rien d’extérieur ne peut procurer
durablement.
En plus, c’est exponentiel parce que chaque jour, j’en découvre un
peu plus, comprend et applique un peu mieux cette approche d’ouverture.
La
réceptivité est plus facile, l’écoute de la voix de la sagesse intérieure ou du
moi est plus facilement perceptible, reconnaissable, et ça vaut toutes les
prédictions des plus grands médiums.
Un
détail physique, une boule sur la main droite qui semble être due à l’usage
excessif de la souris, m’oblige (si je le veux ou non) à utiliser davantage ma
main gauche et à cultiver l’équilibre interne.
Rien n’est forcé, juste une idée
qui est venue de faire de cette façon et l’envie de suivre cette idée qui prend
peu à peu du sens. Surtout quand j’écoute la vidéo de Lulumineuse au sujet des
énergies masculine et féminine. Sa façon de dire et d'être me troublent par tant de ressemblance parce que par moments, j'ai l'impression de m'entendre.
Là encore, l’effet résonance est à l’œuvre
parce que ce que j’aie ‘besoin’ d’entendre, de percevoir va percuter, ressortir davantage.
Ce que j'écris sur ce blog est naturellement rempli de maladresses, d'interprétations subjectives liées aux croyances et comme nous sommes des êtres complexes, comme la connaissance de soi est intime, à la fois sensorielle, psychique et vibratoire, comme une grande part de notre être existe sur des plans invisibles, il est difficile d'être précis et juste. Mais c'est aussi pour ça que nous sommes 7 milliards sur terre parce que chacun apporte son point de vue particulier à l'ensemble.
Voici l'adresse de la chaine youtube de Lulumineuse
BeLight
https://www.youtube.com/channel/UCZobSCxdaTO43cUeh4T3idw/featured
Si
vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure
et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain
divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr Photos privées ©Lydia Féliz