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04 (suite du commentaire après le texte sur le bien-être)
Wouah, je viens de me rendre compte que j’ai
perdu le dernier bout de cachet !
Déjà une première piste ou idée qui
calme le mental, évite la panique : "la peur est l’émotion déclencheuse de
mécanismes internes de défense/fermeture et, sa texture, son essence, son
origine, est la même que l’énergie de vie, du désir".
Ce
qui veut dire qu’il y a une seule énergie de base qui va être traitée
différemment et selon les modes de traitement elle sera appelée peur, colère,
joie, tristesse…elle aura un effet différent, plus ou moins intense...
La
peur du manque ici, ne se manifeste pas directement dans des symptômes tels que
la transpiration, le battement du cœur qui s’accélère, des douleurs au ventre, mais plutôt à travers la
colère.
On peut voir comment la peur, la vision qu’on en a, le fait de la
bloquer, ou d'y être identifié, ce qui revient au même, engendre des réactions psycho-émotionnelles et des actes violents. Les crimes passionnels par exemple
Derrière
la colère, il y a la peur du manque, de la critique, du rejet, la peur d’être
abusé, manipulé…la peur de ne plus contrôler les émotions profondément enfouies finalement.
Ainsi,
selon les formes que la résistance à la peur prend, elle a un message
particulier à nous adresser.
La colère ici se dirige vers le mental qui manque
de présence, d’attention, ce qui crée des oublis, des "erreurs"…
Puis dans la
perspective de "la vie: apprentis-sage", des situations qui invitent à se tourner
vers l’intérieur, dans l’observation détachée, ou en sachant que quelque chose
veut communiquer avec notre conscience, la vision change.
Le corps se détend et
d’autres idées, images symboliques surgissent.