lundi 30 mars 2020

« Revenir à soi en toutes circonstances et se laisser enseigner, guider, surprendre »




28 03 Revenir à soi en toutes circonstances et se laisser enseigner, guider, surprendre, par les élans spontanés qui se manifestent, c’est retrouver la joie de l’enfant et la paix du cœur. Quand on réalise que le corps physique est bien plus qu’une mécanique, qu’un corps de chair et d’os, on se tourne vers lui avec un nouveau regard comme le fait un scientifique qui utilise un microscope et découvre le monde des cellules. 
Cet univers entier composé des mêmes éléments qu’on retrouve dans le cosmos, qu’ils soient chimiques, élémentaires, matériels, subtils, atomiques, organiques, électriques, magnétiques, révèlent l’importance de l’infiniment petit, de la trajectoire, du mouvement perpétuel. La coïncidence entre l’infiniment grand et l’infiniment petit, cette sensation de vertige aussi bien face à un trou noir que face à nos profondeurs montre qu’il  n’y a pas de fin, de séparation. Que tout est interconnecté et en résonance.

Cette vision apparait dans le calme, la détente psychique et physique, émotionnelle. Ce calme se manifeste lorsque les vagues générées par les pensées/émotions liées au système binaire, ont pu s’exprimer librement et sans attaches. Là, ce mode binaire apparait comme un révélateur par l’effet contraste, la loi de cause à effet, de résonance, d’attraction/répulsion, de miroir.

Je n’en pouvais plus hier soir de ces pensées ininterrompues d’un mental en panique face à toutes ces émotions qui se présentent alors j’ai suivi l’envie de prendre un bout de cachet supplémentaire. L’effet a été immédiat, j’ai pu verser quelques larmes et ainsi décharger les tensions. J’avais essayé de le faire en respirant par le ventre mais je n’y arrivais pas tant j’avais accumulé de résistance, de tensions éveillées par le bruit des voisins en haut. Enfin par le bruit de l’enfant qui était hyper-excité malgré la présence de 3 ‘adultes’. Les critiques, les jugements ont été exprimés et je n’arrivais pas à revenir au calme, au centre.  

Simplement parce que j’essayais de trouver des arguments raisonnables à ces jugements. Malgré que je sache par expérience que c’est une façon d’entretenir la lutte en soi, les vieux schémas de lutte, de résistance, malgré que je sache aussi que La solution est d’accueillir, tout s’embrouillait.

samedi 28 mars 2020

« Équilibre » & vidéos de Magali au sujet de l'âme




27 03 Je continue d’avoir des vertiges vers dix heures du matin depuis quelques jours mais ce matin, j’ai carrément failli tomber en sortant du lit tellement ça tanguait. 
Non seulement ça fait peur mais ça vient amplifier l’idée que la nuit, il se passe beaucoup de choses ! Symboliquement, ces vertiges peuvent avoir un sens puisque la sensation de vivre des mises à jour à plusieurs niveaux semble de plus en plus réelle. 
Autant pendant la journée en conscience, par les choix qui influencent la vibration, que pendant la nuit qui comporte différentes phases de sommeil.

Logiquement, le fait de changer son positionnement intérieur a un impact sur plusieurs aspects de l’être, sur différentes dimensions autant physiques que vibratoire. 
Déjà, les réactions en chaine ne sont plus les mêmes, l’énergie emprunte d’autres voies et cela crée des alignements de fréquences, d’énergies, de vibration plus proche de la signature de l’âme et les sécrétions hormonales changent aussi impactant l’état physique. 

C’est encore flou pour moi mais intuitivement ça parait être le sujet d’étude actuel ou le thème a étudier. J’ai demandé à Magali de parler de ce qui se passe la nuit puisqu’elle a accès à ces mondes, lors de son prochain direct sur facebook. On verra bien ce qu’elle en dit mais déjà les choses se mettent en place pour y regarder de plus près.

Le seul fait de constater la profusion d’informations parfois complètement contradictoires émanant de "spécialistes" m’amène à penser que c’est encore une invitation à apprendre à se faire confiance, à s’écouter. 
Le conflit entre ces experts ou le seul fait qu’ils soient en conflit reflète autant la peur, les jeux de rôle, les réactions liées aux angoisses existentielles, l’instinct de survie, que le besoin d’un sauveur. 
En prenant un peu de recul on peut constater que c’est la panique partout et que chacun, quelle que soit sa position sociale, ses connaissances, son degré de conscience est démuni face à l’idée de la mort.

vendredi 27 mars 2020

« Amour vibration » & Vidéo Magali



26 03 Réveillée à 4h30 je me suis levée et quand j’ai vu la pluie dehors, j’ai laissé sortir les réactions de "ras le bol", de la victime qui accuse les "élites" de pulvériser leur merde…Puis peu à peu, ça s’est calmé à mesure que j’écoutais une intervention de Magali sur facebook. Je l’ai encore ratée en direct et n’ai donc pas pu poser de question mais finalement, c’est ce qui m’a ramené au dialogue interne. 
Sa vision de ce que nous sommes me parle tellement que ça m’a permis de passer de la vision de la victime à l’envie d’accueillir les aspects internes qui en ont marre de cette vie.

Je les trimbale depuis l’enfance et le contexte actuel est finalement une occasion de les inviter à se manifester. Ceci dit, je suppose que ça va se traduire par un ennui, une tristesse, profondes que le ciel gris plombé met en évidence.

Ressentir la peur est flippant parce que l’égrégore de cette énergie/vision/sensation/réaction est très nourrit en ce moment par l’ensemble des individus. C’est tellement puissant que c’est presque palpable et même si ça fait écho à ce qui se passe à l’intérieur, il est clair que ça vient aussi des mondes invisibles ou de la connexion qui existe entre tous les êtres via la vibration.
On en revient encore au potentiel de chacun de revenir à la paix, juste à la décrispation du corps, à l’observation des ressentis physiques.
J’ai constaté hier que j’étais très tendue, contractée, les épaules comme en suspens, et plusieurs fois, j’ai laissé la respiration profonde, ventrale, dissoudre ces crispations généralisées. Et à chaque fois, je voyais que cela influençait favorablement les pensées.

jeudi 26 mars 2020

« Qui es-tu pour juger ? »…




25 03 J’éprouve encore le besoin d’écrire et toujours ces vertiges flippants mais au moins, je ne résiste plus face au geste compulsif de prendre un bout de cachet. Du coup, la sensation a été furtive non pas à cause du cachet seulement mais parce que je n’ai pas bloqué l’énergie par des jugements. Et comme le soleil est à nouveau visible même s’il y a encore des trainées, je vais aller étaler le linge en accueillant les peurs générées par cette vision. 

C’est clair que les manipulations sont nombreuses autant en soi que dans le monde puisque celui-ci est en mode prédation. On attribue à la nature des intentions, on projette et on interprète ces modes de fonctionnement, selon les nôtres. 
Pourtant, chaque jour elle nous enseigne des lois fondamentales. 
Elle nous montre sa capacité d’équilibrer les forces, les éléments, de manifester la vie et de lui permettre de s’inscrire dans un cycle de renouvellement perpétuel. 
Elle est capable de faire cohabiter dans la paix, l’épanouissement, des règnes, des éléments, des êtres, complètements différents. Le tout dans une symphonie de couleurs, de sons, de formes, de textures en parfaite harmonie, la terre est une artiste incomparable!

Il se passe la même chose dans le corps physique et je ne doute plus du tout du fait qu’ils soient connectés en permanence. 
Que la séparation est une illusion et que le corps, l’âme, la terre, le ciel…soient intimement liés. 
C’est notre sentiment d’indignité (issu des croyances fondées sur la notion de mérite, punition/récompense) qui nous empêche de croire qu’on a un accès direct à l’âme et le fait qu’on croit que tout est séparé. Cette illusion apparait comme une vérité tant qu’on est attaché au mode binaire, à la vision duelle des choses.

mercredi 25 mars 2020

« Apprends à faire totalement confiance à ton corps physique » & vidéos




24 03 Ce matin, après une longue nuit de sommeil, c’est l’explosion. La colère envers la façon criminelle et inconsciente du gouvernement de ‘gérer’ cette crise me renvoie invariablement à mes propres élans destructeurs. 
Même si je peux voir les choses d’un autre point de vue par moments, il est important que toute cette colère, que ce sentiment d’impuissance et d’incompréhension face aux multiples incohérences intérieures et extérieures se manifestent librement. 
Et je constate que le calme revient enfin lorsque les larmes coulent. 

Ce qui m’amène dans tous mes états, c’est de voir chaque matin depuis 5 jours, le ciel complètement gris. Cela amène tant de frustrations, de colère, qu’elle finit par exploser enfin après que j’aie pu voir les stratégies d’évitement, les nombreuses façons de s’accommoder à la situation plus proche du déni que de la réalité intérieure. 

Oui, il y a cet espace de paix, ce sentiment de sécurité mais pour l’atteindre, ça demande d’extérioriser tout ce qui est relatif aux anciens modes de fonctionnement. Les pensées de colère face à la façon de fuir, de nier la réalité, de feindre l’acceptation et la sensation que non seulement le monde est insensée mais que j’y participe allégrement par mon comportement. 
Là, c’est la culpabilité qui est à voir et accueillir au travers de larmes. J’ai demandé pardon à mon corps physique de le traiter avec tant de violence par l’usage de clopes et de médicaments mais à chaque fois, je reviens à l’idée que c’est le moyen choisi par l’âme pour justement apprendre à amplifier l’amour.  

C’est clair que ce comportement suscite beaucoup de colère, de frustration, de tristesse et même si c’est insensé pour le mental rationnel, il finit par admettre que cette situation l’empêche de demeurer en mode jugement, lui permet d’avoir plus de compassion pour ceux qui rament, plus d’humilité en  général.

lundi 23 mars 2020

« De la vibration jusqu’à la matière »




22 03 La vie nous enseigne continuellement et du fait des cycles planétaires, solaire, nous nous approchons de la ceinture de photons qui entraine des réactions en chaine tout comme on peut le vivre au niveau individuel. Les éruptions solaires, la position de la planète dans le cosmos, tout cela entraine des bouleversements tant au niveau du climat que des comportements collectifs et individuels. 
On parle de période de révélations parce que l’accroissement de lumière fait qu’on ne peut ignorer la réalité. On peut voir tout ce qui été caché autant en chacun qu’à l’extérieur. 
On peut faire le parallèle entre l’intérieur et l’extérieur et ainsi comprendre à la fois les lois de l’attraction, de la résonance et donc que nous sommes liés de toutes parts. 
Autant au niveau inconscient à travers les programmes stratégiques d’évitement de la peur, que par la conscience Une dont nous sommes tous issus. 
Nous en sommes issus et nous la composons en même temps. 

Nous pouvons comprendre la nature de l’énergie, ses différentes fréquences, leur effet et voir que toutes les émotions sont aussi issues de la même énergie source. Nous sommes issus de la même conscience et traversés par la même énergie source que chacun canalise et manifeste selon son degré de conscience. 
Selon qu’on s’identifie aux rôles, aux stratégies, selon notre façon de recevoir et de traiter les infos, les fréquences, la lumière, on influence notre état d’être et le genre de situations vécues dans le quotidien. 
En ce sens, ça n’est pas l’énergie, sa fréquence, les pensées et les émotions qui sont un « problème » ou qui on un impact sur la réalité, la matière, la vibration, mais la façon dont on y réagit.
J’ai pu en faire encore l’expérience directe hier matin parce qu’évidemment, le comprendre intellectuellement n’est pas suffisant simplement parce que nous sommes multidimensionnels. 

vendredi 20 mars 2020

« Souveraineté individuelle »





18 03 Ce matin, une image symbolique surgit illustrant ce que j’aie vécu hier. Celle d’un plongeur qui pour découvrir la beauté des fonds marins doit d’abord respecter les paliers de décompression et faire face à ses peurs, celle de la mort qui émerge nécessairement lors de cette descente. Il est obligé de réguler sa respiration afin pouvoir descendre en sécurité. 

On vit la même chose lorsqu’on fait face à des émotions générées par la peur de la mort et on peut dire qu’en ce moment, on ne peut pas y échapper. La peur du manque est aussi au rendez-vous et dans un sens ou lorsque je reviens au calme intérieur, je me dis que c’est une bonne chose puisque c’est cette peur qui enclenche les mécanismes de survie qui se traduisent par de multiples dépendances. 
Autant de stratégies qui sont sensées répondre à la peur mais qui ne font que la nourrir et qui font que les mêmes circuits de la récompense/punition sont activés. 
Dans ce monde régit principalement par la dualité, il y a toujours un revers de médaille ou un aspect négatif de quelque chose qui est classé dans la case positive. Le revers de la récompense, c’est la punition et cela se traduit par la culpabilité, la honte, la colère, la tristesse, le rejet de soi.

Nous sommes arrivés à un stade où ce principe de dualité n’est plus nécessaire ou disons plutôt qu’on n’a plus besoin de se demander ce qui est bon ou ce qui est mal puisqu’on le sait profondément. Ceci dit, c’est dans la connexion consciente à l’essence de l’être ou la reconnaissance que nous sommes amour et lumière ou conscience en mouvement, que cela peut se révéler de façon évidente.
Ce principe des contraires en conflit ou en mode comparaison pourrait gérer seulement le rythme cardiaque, la respiration enfin les fonctions vitales du corps physique et plus la psyché. Ceci dit nous n’avons pas la vision complète de ce vaste territoire psychique puisqu’il est aussi énergétique et de plus associé au monde des émotions.