Plus
j’apprends à observer ce que je suis et plus je prends conscience de la
complexité de la constitution d’un être humain. Que ce soit le corps physique
ou la psyché, les sensations, les mémoires, les énergies, la complexité règne à
tous les étages et ce qui est prodigieux c’est de constater que tout cela peut
vivre en harmonie. Et il apparait de
plus en plus comme une évidence que chaque point de vue, chaque façon d’appréhender
le monde, est essentiel à la conscience Une.
On
minimise l’intelligence du corps physique par ignorance mais en observant de
plus près on constate combien nous sommes vraiment un univers entier composé de
tout ce qui constitue la terre, le ciel, le soleil, les différents règnes, le
cosmos et même le vide.
Nous
sommes chacun un échantillon de notre univers, une fractale de cette immensité
qui laisse à la fois un sentiment de grandeur et d’humilité.
Ce qui peut
sembler troublant en ce moment ou depuis la diffusion en masse des nouvelles
technologies, c’est la diversité de points de vue qui s’expriment.
La
complexité de ce que nous sommes se manifeste dans sa diversité et on peut voir
que les réseaux sociaux qui rassemblent des gens qui ont les mêmes affinités ou
la même vision de la vie sont le reflet des mondes éthérés, de la loi
d’attraction et de la façon dont l’énergie fonctionne, comment elle s’assemble
selon la vibration, selon l’émotion.
On parle de la conscience Une qui s’est
éclatée en milliards d’individus, de créatures afin de se connaitre, de se
reconnaitre et quand on considère le monde, sa diversité, autant par ses
différents peuples que par sa faune, sa flore, ses éléments, on peut mesurer
l’immensité de cette conscience dont nous sommes tous issus.
Chaque
être, chaque créature, chaque création, a non seulement sa place sur cette
terre mais participe à la cohésion de l’ensemble et c’est précisément sa
singularité qui apporte un plus à la création, qui l’enrichit.