9 04 Le processus de libération, ce dépouillement nécessaire et primordial nous ouvre à la fois l’esprit et le cœur tout en nous réconciliant avec le passé et donc avec le présent qu’on ne cherche plus à fuir.
Apprendre à observer ce qui
se passe en soi autant les schémas de pensées que les stratégies de fuite,
d’évitement, de refoulement, sans chercher à lutter ou à changer mais
simplement en ne s’attachant pas à ces mécanismes réflexes, nous allège
considérablement. En même temps on s'habitue à faire face à ce qui émerge sans être déstabilisé et ça, c'est énorme.
Ne plus donner foi aux pensées issues des croyances,
conditionnements, soulage à la fois le mental et le corps physique, le corps
émotionnel. La vibration s’allège et on peut prendre plus facilement du recul
lorsque quelque chose vient nous contrarier. La peur d’aller vers l’inconnu en
abandonnant les croyances nous renforce dans la foi, la foi en nous-même et en
notre propre source, notre essence. Cette présence subtile est peu à peu délestée de ses étiquettes en même temps qu'on se détache des croyances.
Plus
ça va plus je me dis que les croyances spirituelles sont comme des voiles épais
qui dissimulent notre nature véritable, notre essence et notre vrai moi. Elles
sont à double tranchant, ce qui est logique dans ce monde où la dualité est une dynamique.
Elles nous compliquent la vie, embrouillent le mental tout en nous enfermant dans les mondes de l’astral, les mondes éthériques mais elles sont aussi un soutien tant qu'on ne fait pas confiance à la guidance intérieure.
Elles nous éloignent de notre corps physique et de notre raison d’être ici et maintenant. Elles nous éloignent de notre centre tout en nous attachant à la personnalité qui se croit impuissante, à l’enfant blessé qui a besoin d’être aimé. Ce qui est légitime puisque nous avons enfoui à la fois cet enfant et les peines qu'il porte, dans les profondeurs de l'inconscient. Et cet enfant ne peut être compris, aimé et libéré seulement par nous-même.
Elles nous compliquent la vie, embrouillent le mental tout en nous enfermant dans les mondes de l’astral, les mondes éthériques mais elles sont aussi un soutien tant qu'on ne fait pas confiance à la guidance intérieure.
Elles nous éloignent de notre corps physique et de notre raison d’être ici et maintenant. Elles nous éloignent de notre centre tout en nous attachant à la personnalité qui se croit impuissante, à l’enfant blessé qui a besoin d’être aimé. Ce qui est légitime puisque nous avons enfoui à la fois cet enfant et les peines qu'il porte, dans les profondeurs de l'inconscient. Et cet enfant ne peut être compris, aimé et libéré seulement par nous-même.