lundi 26 mars 2018

« Restaurer la libre circulation de l’amour en soi »





Je suis étonnée une fois de plus de constater que je suis en parfaite résonance avec ce que dit Deepak Chopra. Et ce qui est le plus étonnant c’est que cela se passe alors même que je n’ai pas encore écouté la méditation du jour qui pourtant est en parfaite synchronicité avec mes pensées du moment. J’ai oublié de me connecter au site et du coup j’ai deux jours retard mais comme il ne s’agit pas de s’obliger à faire un "exercice spirituel", tout est bien. 

En effet je suis de plus en plus l’envie du moment sans chercher à comprendre et si j’oublie de méditer, ça ne m’empêche pas d’être en constante communion ou communication avec la source, l’âme, les corps. 
Autant lorsque je ressens de la confusion au niveau des pensées qu’un trouble émotionnel révèle que lorsque j’ai tout simplement envie de me confier à la source, de lui poser des questions, d’apprendre à accueillir les réponses et de rester ainsi ouverte à la nouveauté, à l’inconnu, l’imprévisible. 
Enfin d’être et d’accueillir le présent tel qu’il est sans chercher à le changer, à lutter, mais juste en y apportant plus de conscience, de présence et d’acceptation ou de non résistance, de non jugement. 
Apprendre à observer ce que je pense, fais, ressens c’est bizarrement être plus incarnée. Cela peut sembler paradoxal puisque l'observation demande un léger recul. mais c'est au moins être en accord avec soi-même et ça change la vibration. Ceci dit, ce n’est pas encore un réflexe naturel mais ça devient plus spontané en dehors des moments où le trouble se manifeste. Je vis déjà beaucoup moins de drames qu'avant, autant parce que je n'ajoute pas de résistance, commentaires, jugement, critique à ce qui arrive que parce que l'attention ou la présence dans l'accueil au présent ne nécessite plus d'être secoué pour se tourner vers l'intérieur.

Il est clair que je suis sensible aux énergies environnantes ou à celles des personnes qui sont dans mon quotidien, dans mon champ d’expérience. Il y a d’une part l’effet résonance rapport à la similitude de vibration émanée et de l’autre le fait qu’il n’y ait pas de hasard mais des rencontres synchronisées par la source ou par les âmes/sois.  Ce qui finalement est l’expression de la même loi d’attraction et de la nature vibratoire, ondulatoire, de l’énergie.

Que ce soit par les projections psycho-émotionnelles, conscientes et inconscientes, ou par l’attirance de fréquences similaires, la loi d’attraction ou de résonance opère invariablement, dans les deux sens.
Alors évidemment c’est plus agréable quand il s’agit de lumière: d’infos au sujet de la constitution de l’être que lorsqu’on est confronté aux vibrations lourdes comme les pulsions de mort ou à cette énergie, cette "entité", si mal comprise, mal aimée, rejetée ou contre laquelle chacun lutte.

Pourtant elle est une alliée dans le processus de croissance, de libération et de guérison. Elle participe au mouvement de la vie en nous au travers des pulsions de vie et de mort qui s’équilibrent en permanence dans la respiration, les battements du cœur, la pression artérielle…la régénération cellulaire en est l'expression. Elle est aussi l'énergie du renouveau au niveau des croyances qu'on lâche, elle offre une régénération mentale autant qu'énergétique et physique. Elle aide à se détacher des émotions, à retrouver l'équilibre et l'harmonie...





C’est sûr que du point de vue humain elle apparait comme un échec, une fin, parfois même une punition, une douleur liée à la séparation, à la peur de l’inconnu, au mystère de la vie. Encore plus lorsqu’on est convaincu du pouvoir d’autoguérison du corps physique parce qu’alors on s’imagine qu’on a échoué. 
Mais c’est avant tout parce qu’on croit que le mental participe à ce processus alors qu’en fait c’est dans le lâcher prise total que ce processus s’effectue au mieux. 
Plus on est calme mentalement, relaxé, fluide et confiant et moins on interfère dans ce processus naturel. 

Il ne s’agit pas à mon sens de visualiser un corps parfait mais de reconnaitre et de lâcher l'attachement aux blessures profondes et d’apprendre à traiter le corps en sujet, en ami. C’est d’ailleurs le thème de la 4ème méditation que j’ai écoutée hier soir. 

Reconnaitre qu’il est un allié et cesser de vouloir le changer en force, ou dans la forme, c’est comprendre et accepter l’idée qu’il soit autonome, intelligent et que dans ce voyage, le respect, l’amour véritable, ça s’apprend. Il n’est pas question de jouer les amoureux transi non plus, de s’attacher à l’apparence mais d’apprendre à écouter et à répondre aux besoins fondamentaux. L'amour étant à mon sens le plus essentiel mais cela signifie respect, connaissance, transparence, sincérité et acceptation. Répondre à ces besoins tout autant qu’à ceux du moment sans jamais y ajouter de la culpabilité. 

Ou si c’est le cas, reconnaitre et accepter de ne pas être parfait selon un supposé modèle idéal, suffit à restaurer l’amour et la confiance à l’intérieur. Aimer c’est accepter l’autre tel qu’il est, c’est être sincère et en mesure de dire ce qu’on pense et ce qu’on ressent dans l’instant, de l'exprimer en tant que notre ressenti et vision sans accuser l'autre. Ou en reconnaissant que c'est notre point de vue, notre façon de comprendre et que ça se passe à l'intérieur, que l'autre a juste éveillé ce que nous portons en nous-même. 
Et c'est la même chose vis à vis de chaque corps ou le même type de relation est à entretenir. Ce qui est éveillé, c'est ce qui a été enfoui dans l'inconscient, refoulé dans les oubliettes. Là encore l'accueil ou le fait de ne pas résister pacifie les corps éclaire la vision, restaure l'amour, la reliance bienveillante entre tout ce que nous sommes.

Le corps physique est un partenaire de vie au même titre que le mental, l’âme et le soi mais on le considère souvent comme un objet de plaisir, un outil ou un poids. 
Encore plus lorsqu’on souffre physiquement ou lorsqu’on a été maltraité. 
Ce que je lâche en ce moment, c’est la culpabilité d’avoir reproduit ce schéma de maltraitance envers le corps physique, d’avoir reporté ma colère sur lui. 

Il est clair que je n’ai pas voulu le soutenir, que je n’ai pas voulu l’habiter pendant près d’un demi siècle,ni même le nourrir pendant 20 ans mais aujourd’hui, j’apprends à changer ma vision et à instaurer une relation de confiance, autant vis-à-vis du corps physique que vis-à-vis du corps mental. L’émotionnel bien que qualifié aussi de corps est davantage de mon point de vue, un centre créatif qu’une "entité" mais il est bon de s’en faire un ami aussi.Ou d'apprendre à pacifier les énergies, à lâcher la lutte et les conflits.
Comme le dialogue est plus aisé avec le mental puisqu’on utilise le langage, les pensées pour communiquer avec lui, il est donc l’intermédiaire ou l’interprète des émotions. Mais évidemment comme la pensée est associée à une sensation, une émotion, tous deux fonctionnent en binôme.
Observer avec neutralité permet de défaire certaines associations malheureuses ou qui se heurtent. Ou en d'autres termes d'instaurer la paix entre ces deux aspects de soi. C'est ce qu'on appelle aussi harmoniser le masculin et le féminin en soi. 




Apprendre à calmer le mental par la respiration et à laisser passer l’émotion sans s’y attacher, pacifie les relations entre ce couple. Tout ça est bien sûr une interprétation humaine des choses ou mentale, imagée. Tout comme le fait de parler de dialogue entre le mental et l’émotion est davantage une alchimie, une série de réaction et de sécrétions hormonale, de protéines, de connexions neuronales…
Je ne suis pas du tout experte en la matière mais je peux ressentir ce qui se passe à l'intérieur et capter les infos que la science révèle. Que ce soit par des images symboliques ou par effet de résonance quand la synchronicité m’amène sur des articles scientifiques.

Dans la confidence intérieure, plusieurs idées me sont venues spontanément comme des évidences. La première c’est que nous sommes un tout et que le soi et l’âme font partie intégrante de notre être. Ils ne sont pas "éloignés" même s’ils sont connectés à des sphères dimensionnelles plus élevées en vibration ou plus éclairées. Éclairées dans le sens de vision élargie. 
On a tendance à penser que l’âme et le soi nous observent de loin et manipulent notre vie lorsque les choses ne vont pas comme on le voudrait. Cela arrive lorsqu’on est identifié aux émotions et aux pensées de l’enfant blessé en nous, ces pensées qu’on qualifie de négatives par ignorance. 
Déjà parce qu’on associe le bonheur aux émotions positives et parce qu’on a une vision, un idéal qui est très souvent le fruit de conditionnements. 
La projection de ce qu’on voudrait être nous empêche de nous aimer tels que nous sommes parce qu’on compare cet idéal avec la réalité, ce qui amène nécessairement des frustrations. 

Cet idéal est autant élaboré par nos propres croyances que par la conscience collective et le besoin de perfection. On associe la perfection à la beauté, à l’harmonie des formes, à l’apparence alors que nous sommes bien plus que de simples images. 
De plus la forme est crée pour changer, elle se transforme sans cesse par la régénération cellulaire et en même temps par les croyances que nous nourrissons qui émettent des vibrations spécifiques. 
Mais là aussi, lorsqu’on comprend que la forme se conforme aux vibrations émises on a tendance à vouloir modifier la vibration et donc les émotions, les pensées.  Ce qui nous prend beaucoup d'énergie tout en nous donnant une désagréable sensation d'impuissance. La sensation d'être manipulé par l'inconscient tout autant que par la vie, l'âme/soi. Là encore, le recul et la neutralité changent la perception, la vision et la vibration. Les pensées et les émotions s'équilibrent naturellement et on ne s'attache plus à ce qui semble négatif. On ne change pas les pensées en force, on revient au centre à la neutralité sans s'attacher au jugement et ça suffit à restaurer l'équilibre mental, émotionnel, physiologique, énergétique ou vibratoire.

On rit des opérations chirurgicales lorsqu’on se dit spirituel mais on fait la même chose lorsqu’on sélectionne les pensées et les émotions qui nous traversent. On essaie de contrôler ce qui en plus est impossible parce qu’en agissant ainsi on interfère dans le processus évolutif naturel tout en émettant des énergies de lutte de résistance, de violence, de rejet, d’intolérance.

Ceci dit, ça n’est pas facile de laisser les émotions s’exprimer librement sans s’y attacher, sans s’y identifier ou même de pouvoir les exprimer parce que nos systèmes protecteurs internes viellent à ne pas les laisser s’échapper. 
L’amour ou l’accueil, l’ouverture, l’acceptation, favorisent la guérison mais ça commence à l’intérieur, dans la relation aux différents corps, à l’inconscient, à l’enfant blessé, au mental ignorant ou qui se croit seul, obligé de gérer les corps. 

Lorsqu’on laisse ces aspects de soi s’exprimer sans retenue, sans vouloir les changer, en considérant que ce sont des alliés, des parts viables et importantes de notre complétude, de notre intégrité, la vibration devient plus légère, plus douce, plus tendre. La conscience s’élargit, la vision est plus claire, l’unité et la paix qui rayonnent, qui circulent à l’intérieur donne un sentiment de confiance et de sécurité que n’offrent aucun objet ou circonstances extérieurs. 




Je vais bientôt fêter mon anniversaire et déjà je n’imaginais pas vivre aussi longtemps. 
Mon souhait maintenant outre le fait de restaurer l’amour intérieur, c’est d’être plus ouverte, plus souple, plus présente et plus attentive aux besoins de chacun des corps, d’être plus à l’écoute. Reconnaitre que je suis exactement où je dois être et que ce que je vis correspond autant au degré de conscience ou de compréhension mentale qu’aux aspirations de l’âme/soi. Je vais donc le célébrer dans l'unité intérieure et la gratitude envers chaque corps, aspect intérieur, quel qu'il soit.

Lorsque je suis dans la confidence, la transparence, la sincérité de cœur avec l’âme ou avec les corps, l’idée que l’âme et le soi ressentent ce que je ressens dans l’instant m’apparait comme une évidence. Cela semble logique dans la mesure où la vie est en perpétuelle évolution et pour qu’une âme évolue pour qu’elle puisse grandir en sagesse, il est nécessaire qu’elle soit au cœur de l’expérience. Idem pour le soi qui est la conscience neutre, élargie de l’être. 
Pour pouvoir grandir en sagesse en compréhension, pour pouvoir se connaitre, elle doit nécessairement faire l’expérience de la chair, du ressenti, des émotions, savoir ce que ça fait d’être incarné et de diriger une équipe en association avec l’âme, avec tous les corps. Là encore, c’est une interprétation humaine des choses mais il me semble logique que la conscience individualisée s’exprime au travers d’un corps, d’une âme. A  l’image d’une équipe qui regroupe différentes dimensions et rend compte de son point de vue spécifique. 

Comme si la conscience individuelle se divisait en différents corps afin de mieux se connaitre, de mieux comprendre le processus du vivant, la force de l’amour, de l’unité, de la paix, de l’échange, du mouvement, de la créativité et du plaisir de créer.
Comme si elle traversait d’innombrables couches, d’innombrables mondes ou dimensions jusqu’à se retrouver au cœur de l’individu. 
Chacune de ses dimensions est un outil d’expérimentation à l’image des corps subtils. 

Dans son association avec l’âme qui enregistre les expériences de façon sensorielle, elle apprend à créer dans la matière. L’âme est en quelque sorte la mémoire vivante des expériences et dans son interaction avec la conscience source qui garde un point de vue neutre sur les choses, elle stimule la personne par le biais de l’intuition, de l’énergie du désir. Ce désir lui-même orienté par la conscience source qui en définit la direction. 

L’idée qu’au moment de la mort, la conscience humaine rejoint l’âme et le soi me semble encore une évidence et c’est aussi ce qui se passe durant le sommeil ou encore pendant les méditations. Même si lors de ces méditations, c’est le silence qui témoigne de la reliance entre ces aspects de soi. 
Selon les croyances et les attentes de la personne, ces aspects éthérés et lumineux de l’être prennent la forme des projections mentales de l’individu. Pour certains le soi/âme apparait comme Jésus, pour d’autres c’est Allah pour les athées c’est l’image d’un proche décédé mais pour tous, il s’agit de mon point de vue de l’ensemble âme/conscience. 

Qu’ils soient assemblés en un seul être me semble aussi logique puisque pour moi, la source est Une dans le sens de complète, entière, à la fois masculine et féminine. 
Que ces aspects apparaissent comme des anges ou des guides, c’est encore en rapport avec les croyances de l’individu, selon sa propre vision et la vibration qu’il émane.

En pensant à la mort, la tristesse de devoir vivre une séparation d’avec le corps physique au moment où je l’aime de plus et plus mais aussi où la culpabilité à son égard est encore présente a suscité des peurs. Des peurs mais aussi des réflexions et des réponses qui sont ce qu’elles sont. Là encore, c’est une interprétation basée sur mon ressenti, mon degré de conscience et ma foi. 




Nous sommes tous un point de vue particulier qui nait de la combinaison unique de différents corps mais dont la conscience/âme est commune. La même conscience âme et conscience pour tous au niveau de la source, dans sa sphère, ou ce que beaucoup appellent Dieu.
De mon point de vue, la source s’est éclatée en une multitude de soi/âme afin de pouvoir se connaitre, se contempler, se percevoir, se ressentir, se projeter, au travers de toutes sortes de combinaisons possibles. Un peu comme les cellules qui se divisent pour former un corps physique.
D’une part parce qu’elle est le Un, le tout, un composé de féminin et de masculin et d’autre part parce que cet assemblage d’énergie génère le mouvement et la création ou la vie. 
Nous sommes en tant qu’individu à la fois une reproduction de ce Un et en même temps "au bout" de l’explosion, au plus éloigné de la conscience omnipotente, omniprésente  et omnisciente. Éloignée dans le sens où nous passons les différents voiles d’inconscience mais nous ne sommes pas séparés de la source. 
A la fois puisqu’elle constitue notre essence au travers du masculin et du féminin qui créent, du mouvement et de l’unité qui nous compose mais aussi parce que ce principe nous relie à l’âme et au soi. Chaque cellule est élaborée selon ce même principe et porte la lumière ou la faculté de communiquer, de fusionner, d’échanger.

Seul notre mental pense être séparé, isolé puisqu’il se base sur les apparences, s’identifie à la matière et croit que ces pensées émanent de lui-même. Ou qu’elles sont son identité, qu’elles forment sa personnalité. Ce qui n’est d’ailleurs pas tout à fait faux mais ça n’est que la face immergée de l’iceberg. 
De plus cette personnalité est forgée selon des blessures et des circonstances qui sont universelles ou impersonnelles. 

A mon sens, ce qui définit un être, c’est l’ensemble unique de ces corps, sa façon unique de combiner tout ce qu’il est, de capter et de resituer l’énergie source, l’énergie de vie. 
Les pensées auxquelles nous nous identifions sont autant en nous qu’elles appartiennent à la fois à la conscience et à l’inconscient collectif. Elles sont universelles et nous viennent autant de nos ancêtres que des égrégores environnants. 
Être un  individu à part entière, c’est choisir les pensées qu’on cultive, c’est exprimer ce qui fait écho en soi à chaque instant, c’est être authentique à chaque instant. Ou transparent et canaliser ainsi l’énergie de vie dans sa pureté. C’est apprendre à aimer, à créer selon les aspirations de notre âme/soi. C’est accepter de se laisser traverser par ce qui se manifeste dans l’instant sans s’y attacher et en répondant au désir de vivre, d’être soi.
De ce point de vue, comme tout apparait comme impersonnel et incontrôlable, ce qui nous différencie des autres, c’est la forme et la vibration, le point de focalisation et le degré de lâcher prise, de non résistance, la capacité à se laisser porter par la vie. 




La transparence et l’accueil nous permettent de savoir que tout ce que nous faisons est l’expression du soi/âme, de l’ensemble des corps qui nous composent. 
Choisir de suivre son cœur ou le désir du moment, de pacifier la relation aux corps dans l’abandon total de jugement, c’est créer ou retrouver le pouvoir de manifester et de se nourrir de ce désir d’être. 
C’est être l’observateur et l’acteur de sa vie simultanément, c’est rayonner la vibration source, le désir de créer dans l’unité et la paix intérieure. C’est retrouver la joie d’être. 

Cette joie qui n’est plus une quête mais la conséquence logique de ce positionnement intérieure, de cette communion des corps, des aspects de l’être dans l’acceptation de tout ce que nous sommes. C’est la joie qui vient du fait de créer dans l’alignement entre le désir et son application dans la matière. 

Cela peut se vivre dans chaque geste du quotidien parce qu’on a conscience du miracle que cela représente d’être ici et maintenant. De pouvoir vivre cette expérience terrestre dans la confiance que tout est guidé, inspiré et que tout a un sens même s’il nous échappe sur le moment. Et c'est en accueillant la peur de la mort qu'on prend conscience de la formidable opportunité d'être en vie ici et maintenant. 

Même si tout ce que je viens d'écrire n'est pas nouveau et si j'en ai déjà parlé ici, il est bon de se remémorer l'essentiel, de retrouver la conscience de ce que nous sommes au-delà et à travers la forme. C'est clair que le mental a besoin de se souvenir, de revenir souvent dans cette communion intérieure et de l'exprimer ouvertement, librement.

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr   Photos privées