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03 Cela devient de plus en plus évident que le fait de lâcher de vieilles
émotions refoulées permet de passer à autre chose, de retrouver le goût de créer, d'innover.
Je me demandais souvent
lorsque j’étais dans l’accueil de pensées et d’émotions relatives au passé, au
rôle de victime, si je fais correctement les choses.
C’est
une des nombreuses inquiétudes du mental qui veut bien faire, qui veut être
validé et récompensé pour ses actions. Ceci dit, ça n’est pas du tout un
jugement négatif à son égard parce que ce mode de fonctionnement qui consiste à
évaluer les choses, à vouloir bien faire est vraiment utile voire nécessaire.
Tout comme le besoin d’être validé et récompensé participe au bien-être et à
l’établissement d’une juste estime de soi.
Le
mental a besoin d'évaluer les résultats de ses actions pour avancer, pour
sentir qu'il est sur la bonne voie ou en accord avec les aspirations et
inspirations de l'âme.
Ces
fonctions peuvent être néfastes si on est identifié uniquement au mental parce
qu’alors, on cherche l’approbation extérieure pour sentir qu’on a de la valeur.
On attend d’être validé par les autres ce qui fait qu’on agit en ce sens, on
fait tout pour plaire. Et ce faisant on n’est pas authentique, on nourrit le
personnage, les souffrances, les fausses croyances…on se trahit, on est divisé
intérieurement et perpétuellement en manque.
C’est
la vie elle-même et la façon dont la joie s’installe progressivement qui
démontrent que j’ai accueillies les pensées émotions de l’enfant "comme il le
fallait". La sincérité, la transparence et le fait de ne pas s’identifier aux
remontées psycho-émotionnelles est suffisant à libérer le passé ou la charge
émotionnelle refoulée.
Mais
cela s’étale sur plusieurs heures, voire sur plusieurs jours, bien que ça
puisse aussi se vivre parfois de façon instantanée. Plus on plonge loin dans
les profondeurs de l’inconscient et plus le processus demande du temps avant de
pouvoir retrouver la joie, le désir, l’enthousiasme à agir.
En fait il ne
s’agit pas tant d’aller loin dans les profondeurs mais de regarder en toute
sincérité, d’oser ressentir. Et par-dessus tout, plus on peut faire cette
immersion sans que le mental n’intervienne et plus la libération est rapide.
Déjà dans l’instant, au moment où on ressent les émotions difficiles, celles
qui sont reliées aux anciennes croyances et conditionnements, si on peut
revenir au silence mental alors que les sensations s’expriment, il n’y a pas de
souffrance ou d’attachement à cette souffrance d’ordre psychologique.
Vivre
sa vie en suivant le désir, l’enthousiasme, est aussi ce qui guérit l’enfant en
soi non seulement parce qu’on suit l’inspiration, mais aussi parce qu’on honore
cet enfant, on lui permet d’exprimer la spontanéité. Il a le droit d’exprimer
autant ce qui apparait désagréable que ce qui est l’expression pure de la joie.
Cette
façon de suivre et ainsi de cultiver la joie, sans pour autant nier ou refouler
les émotions dites négatives, restaure l’harmonie et les aspirations de l’âme,
du moi véritable émergent à nouveau tout comme le désir de créer. Et les énergies du printemps sont idéales pour cela, elles éveillent ce potentiel en chacun tout comme elles agissent dans la nature.
J’ai
observé ce processus naturel et sans forcer, sans intellectualiser les choses
pour diriger les élans à créer, simplement en suivant le désir de l’instant, je
me retrouve avec plusieurs chantiers en cours.
Je n’interprète plus les choses
lorsqu’elles surviennent mais j’attends de vivre le processus complet afin de
recevoir l’image de celui-ci et ce qui en ressort.
J’ai
toujours aimé commencer plusieurs choses en même temps et ça ne m’empêche pas
d’aller au bout de chacune d’elles ni d’être pleinement à ce que je fais dans l’instant.
Mais ça demande d’être à l’écoute de l’inspiration et surtout de lâcher les
attentes, le besoin de contrôle et de résultat.
Être à l’écoute c’est juste suivre l’impulsion sans jugements ni interprétation,
cela se situe au niveau du ressenti et quand c’est le bon moment, le mental ne
tergiverse pas.
C’est assez animal ou instinctif comme élan. C’est une façon
d’agir qui consiste à faire les choses avec enthousiasme et à ne pas
s’inquiéter ou se critiquer si on laisse tout en plan. Quand une idée est
portée par l’enthousiasme, la légèreté ou l’absence de pression, elle se
concrétise de la meilleure des façons. Parce qu’on suit la guidance intérieure,
parce qu’on agit dans l’alignement des corps ou dans l’unité intérieure, dans
la confiance en nos capacités, autant celles qui sont relatives à l’humain que
dans la relation à la source en soi.
Et comme il n’y a pas d’attentes comme le
résultat n’est pas ce qui va augmenter l’estime de soi, comme elle n’en dépend
pas, la sensation de liberté grandit aussi.
L’estime de soi se situe ici dans
le fait de suivre l’élan en toute confiance, c’est ce qui fortifie l’amour de
soi, autant du moi que de l’âme et du corps, du mental, de l’émotionnel qui
dans le processus créatif sont orientés vers le même objectif. Il est déjà
accompli dans cette unité intérieure et par la joie qui est impulsée par
l’énergie du désir.
Je
suis tombée sur ces vidéos qui ont trouvé une forte résonance autant par
rapport à ce que je vis en ce moment que parce que ça correspond à ma vision
des choses, de la vie.
André Stern "Changer notre regard sur le monde" copiez_collez le lien dans google ou autre pour accéder à la vidéo
https://www.youtube.com/watch?v=cFxEDDA3f3c&feature=emb_title
Ce qui rend vraiment joyeux, pleinement vivant, c’est le fait de créer.
Créer c’est faire les choses avec
enthousiasme alors que faire répond souvent à un mécanisme automatique, une
obligation, un devoir, une contrainte, un conditionnement, un besoin de
sécurité, de se sentir accepté ou normal. Ces besoins sont légitimes mais ils
nous font agir dans le stress, par peur, dans la contrainte et l’énergie qui
domine est celle du manque, du supposé manque d’amour qui nous pousse à tout
faire pour être intégré dans la famille, la société, pour être aimé, validé, reconnu, au détriment de notre vrai
moi.
Et
créer n’est pas seulement un processus qui s’inscrit dans la matière, c’est
un processus qui est déclenché par un désir émanant de l’unité âme corps
esprit.
Cela peut se manifester par de nouvelles idées, une perspective
élargie, une nouvelle façon de considérer les choses. Chaque fois que nous
sortons de notre zone de confort, de nos habitudes, chaque fois que nous
innovons, nous sommes alignés intérieurement autant à notre âme, notre moi véritable
qu’à la vie qui nous anime. Et c’est valable autant pour de nouvelles pensées
que pour de nouveaux gestes, de nouveaux désirs.
Concrètement,
de désir en désir, j’ai ressorti le matériel pour créer des objets en cuir tout
en continuant de préparer le jardin. Bien que cette envie de créer un sac et de
rénover des chaussures puisque j’ai appris à le faire et parce que j’ai les
outils, matériaux nécessaires, puisse sembler peu de choses, cela témoigne de
« l’efficacité » de l’accueil des peines de l’enfant en soi.
L’énergie de vie, du désir, l’envie de créer en est le résultat.
Dans cet élan,
j’ai dû faire du tri dans le cagibi où j’avais rangé le matériel et j’ai
retrouvé un sac de bois que j’avais acheté l’année dernière. Là encore, ça peut
sembler insignifiant mais la façon dont ça s’est passé est très parlante. C’est
à l’image du processus de nettoyage intérieur et tout comme la joie vient de
l’accueil des pensées refoulées ce tri a amené une récompense puisque le temps
est encore très froid pour la saison.
En soi, quelques bûches ne sont pas
grand-chose mais quand ça vient au moment opportun, au moment où on décide de
prendre soin de soi, ça tombe comme un cadeau du ciel.
C’est cela à mon sens à
la fois l’expression de l’abondance et la récompense qui vient lorsqu’on suit
la guidance intérieure, l’inspiration enthousiaste. Et c’est aussi ce qui se
passe dans notre cerveau mais je ne suis pas assez experte pour en parler.
L’abondance c’est pouvoir répondre aux besoins immédiats au bon moment.
Chaque
fois que j’accueille les ombres du passé, non seulement je me sens en paix,
dans l’unité et la confiance mais il y a en plus un cadeau inattendu, une
surprise qui vient comme la cerise sur le gâteau. La peur du manque accueillie
m’amène à recevoir de l’argent de façon inattendue ou sans raison apparente.
Cette peur reconnue et lâchée autant en suivant l’envie d’acheter quelque chose
sans se soucier de savoir si j’en ai les moyens qu’en ressentant et en
observant les pensées émotions qui y sont rattachées.
Ceci dit je peux faire
confiance aux gardiens intérieurs ou à l’instinct de survie ou encore à la
raison pour ne pas faire non plus d’achat extravagant. Les biens matériels
n’ont jamais été pour moi synonyme d’épanouissement mais dans le désir de
transparence et de sincérité, dans la reconnaissance de tous les besoins,
autant ceux du corps que ceux du mental, ma vision change et s’équilibre.
Une
autre chose qui témoigne clairement de la libération ou de "l’efficacité de
l’accueil" de l’enfant intérieur, c’est l’amélioration de la relation avec ma
sœur qui est venue me rendre visite pour mon anniversaire. Déjà, le fait
qu’elle soit venue seule, sans son amie, montre qu’elle est davantage en
confiance. Avant son amie faisait office de médiatrice ou de garde fou évitant
ainsi les frictions. Hier, on s’est un peu énervé par moment mais c’est vite
retombé. De part et d’autre, le travail sur soi porte ses fruits. Puis elle m’a
coupé les cheveux de bon cœur et non en se sentant obligée ce qui a aussi amené
un résultat plutôt positif. Je ne compte plus les fois où elle a raté la coupe.
Soit par le besoin de dominance, de vengeance ou par négligence, de façon plus
ou moins consciente, chaque fois, c’était un fiasco ou pour le moins un sujet
de dispute.
Mais c’est aussi ma vision des choses qui était faussée par les
relations conflictuelles que nous avons nourris durant si longtemps.
Pouvoir
suivre la joie, être capable de jouer, de se divertir est essentiel. Je ne suis
pas tout à fait d’accord avec certaines choses énoncées par Deepak Chopra dans
ces méditations parce que je me rends compte qu’en prenant du recul sur ce
qu’on fait, même dans les choses les plus banales, on peut apprendre et grandir.
On
ne fait jamais rien par hasard et même lorsqu’on agit de façon insensé ou d’une
manière qui le parait pour l’entourage, il y a un sens, c’est toujours une
occasion de mieux se connaitre, de savoir ce qu’on porte, ce qui a besoin
d’être libéré, considéré ou abandonné.
Au
lieu de s’empêcher d’agir, apprendre à laisser faire et à observer cela avec un
léger recul permet de se réconcilier avec certains aspects de soi et on peut
alors prendre de nouvelles décisions plus intelligentes ou juste avoir de
nouvelles idées, une perspective élargie lorsque la charge émotionnelle a été
libérée. Une fois qu’on comprend mieux les choses, une fois que le
mental-émotionnel retrouve l’équilibre, on peut alors raisonner objectivement.
D’ailleurs
ça me rappelle une vision symbolique que j’aie eue alors que je laissais la
tristesse s’exprimer. Je commençais à être submergée par ces émotions et à
douter de la présence de la source ou de l’âme et j’ai vu le ciel rempli de
nuages, de ces nuages parallèles qui se répandent après le passage des avions.
L’idée que malgré cette couche épaisse de nuage, le soleil est quand même
présent, m’a ramenée dans la confiance.
Ces nuages sont le reflet des pensées
sombres et des émotions associées qui nous plongent dans le doute, la
confusion, ils représentent les croyances, les conditionnements qui voilent
l’éclat de notre lumière intérieure.
Pourtant,
la clarté du jour témoigne de la présence du soleil tout comme le fait d’être
vivant, conscient des sensations lourdes sont la preuve irréfutable de la
présence de l’âme/Conscience ou de l’observateur neutre.
Et tout comme les
émotions sont une forme de nourriture puisque ce sont des énergies, l’eau
contenue dans les nuages l’est pour la terre, les plantes. De la même façon que
nos émotions peuvent nous submerger, l’eau peut inonder le sol. Tout est
question d’équilibre et de besoin dans l’instant. Et à l’image de la force
contenue dans un barrage, le refoulement émotionnel peut provoquer autant de
dégâts que lorsque le barrage cède.
En ce sens lorsqu’on a refoulé les émotions
douloureuses très longtemps, il est important de se donner le temps et
d’accepter que les gardiens intérieurs s’opposent à leur émergence. Il est pour
cela essentiel de savoir comment ça fonctionne et de s’exercer à lâcher prise
dans des situations courantes qui sont faciles à gérer.
Mais c’est surtout la
capacité à prendre du recul qu’il est bon d’acquérir.
Pour cela, nous avons des
outils ludiques et abordables par le biais du cinéma, des films, des séries.
On peut ainsi s’exercer d’une part à laisser les émotions s’exprimer librement
et d’autre part à se positionner en observateur neutre.
C’est toujours plus
facile de voir les choses de façon élargie, claire, lorsqu’on n’est pas
directement ou sentimentalement impliqué. Même si la résonance émotionnelle
agit et nous permet de prendre l’habitude de laisser les émotions s’exprimer
librement, le fait de le vivre à travers l’histoire d’autres personnes nous
aide. Autant à changer d’attitude vis-à-vis de ce qui se vit en soi qu’à
constater le caractère universel des rôles, des réactions, des stratégies, des
croyances et conditionnements…
Ce
qui peut sembler futile et même une perte de temps devient un outil de
libération ou une expérience fructueuse. Et si on a suivi le désir davantage
que l’habitude parce que c’est l’heure du feuilleton quotidien, on pourra aussi
constater que la guidance de l’âme est permanente. Qu’elle n’est pas non plus
un chemin de sacrifice, de souffrance mais au contraire de joie, qu’on apprend
plus aisément en suivant l’élan enthousiaste qu’en se faisant un devoir de
s’améliorer.
Même quand le désir provient de notre inconscient, il nous invite
à observer, à nous connaitre, à nous reconnaitre, à constater l’effet de
résonance, l’effet miroir…et surtout à lâcher prise, à s’en détacher
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04 Comme le dit André Stern, le moteur de l’action, c’est la joie tout comme l'envie d'apprendre inhérente à tout humain. C’est
l’expression naturelle de la vie, de ce que nous sommes foncièrement. On peut
le voir aussi dans la nature lorsqu’une chatte apprend à ses petits à chasser à
travers le jeu. Cet apprentissage leur permettra de vivre dans la nature, de
devenir autonome.
Se
dépouiller de toute forme de conditionnement révèle notre vrai Moi, l’enfant
délesté du poids de la souffrance, des croyances, l’âme incarnée au présent
dans l’unité et l’alignement des corps à la source.
En ce sens créer dans la
matière est un excellent moyen d’être incarné, centré et aligné. Créer ses
vêtements, élaborer ses repas, agir selon l’inspiration du moment, c’est
honorer à la fois le corps, l’âme, l’esprit et la vie.
J’aime beaucoup la
vision de ce que dit André Stern dans la courte vidéo qui suit parce que c’est
vrai qu’en changeant sont point de vue ou en ayant confiance en notre propre
vision, en la foi en l’amour et en sa puissance, nous percevons les choses avec
plus de lucidité. Il ne s’agit pas de mettre un calque rose sur les évènements,
la vie, les choses mais de voir avec les yeux du cœur, de l’âme.(copier-coller le lien dans google pour lire l'article)
https://www.facebook.com/bonnesherbes/videos/1302032766530771/
Son
raisonnement est tout à fait logique et même si nous découvrons à peine ces
nouvelles infos, même si notre vision s’élargit considérablement, nous ne
sommes qu’au début de ce changement.
Mais d’un autre côté dans la connaissance
approfondie de soi, de notre environnement, de nos réels besoins, le recul
nécessaire à cette ouverture de conscience nous amène aussi à relativiser
l’idée de soi, du moi et de la notion d’espace temps.
Dans la communion
intérieure, la vision élargie de soi, du point de vue de l’âme, il n’y a plus
de Je, d’attachement à la matière, au corps physique. Ce détachement ne se fait
plus dans le déni ou le rejet mais dans l’accueil et l’abandon des attentes.
La
notion même de mort n’apparait plus comme une fin mais comme un renouvellement
permanent. Une simple étape, une étape cyclique dans le processus du vivant.
De
ce point de vue, la guérison n’est plus un objectif, elle se vit dans l’instant
et se manifeste par le bien-être, la joie de pouvoir vivre ces expériences ici
et maintenant, de pouvoir s’alléger, se laisser guider, être, vivre et suivre l'élan créatif sans douter.
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04 J’ai pris du retard avec les méditations mais je continue de constater
combien ça résonne en moi. C’est clair que la réconciliation avec les
différents aspects de soi restaure l’amour, l’unité et la connexion à la source
nourrit l’évidence, notre moi est éternel.
Savoir cela viscéralement aide à
relativiser les choses, à élargir totalement sa vision et lorsqu’on abandonne
les attentes, on n’obéit plus à l’idée qu’il faut tuer le temps, s’occuper en
attendant la mort comme un repos bien mérité.
On
peut tous constater comment le temps passe vite lorsqu’on fait quelque chose qui
nous passionne et combien il est long quand on s’ennuie.
L’énergie du désir, de
la joie et du plaisir nous font dépasser les limites du temps en nous
connectant à notre vraie nature. On est alors en dehors de ce temps linéaire et
en même temps pleinement incarné lorsque nous vivons ce processus créatif
initié par le désir, et porté par la joie.
Une façon de transcender les limites
à la fois du mental, des croyances, des conditionnements et du temps. On ne le
subit plus, on s’inscrit en son mouvement cyclique. C’est d’ailleurs le thème
de la méditation du jour 13 que j’aie écoutée hier soir.
Dans
ce désir de créer, la vie me soutient par le biais de ma sœur qui m’a ramené de
la laine. J’aime tricoter et surtout des paires de socquettes. J’en ai donné
aux voisines qui savent apprécier ce genre de cadeaux et là encore, le goût du
partage, le fait de prendre plaisir à donner est encore un signe de guérison de
l’enfant en moi. Enfin disons que je canalise mieux les énergies du printemps
et que le moi véritable s’exprime plus ouvertement et librement.
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr Photos privées