dimanche 8 octobre 2017

« Pourquoi et comment Accueillir une émotion ? »





Les religions ont conditionné l’humain en nourrissant la peur, en figurant un dieu à la fois tout amour mais aussi punitif et en même temps sauveur. En faisant des émotions telles que la colère, le désir, de vulgaires pêchés, elles ont enfermé l’humain dans des concepts, des croyances et l’ont privé de se connaitre véritablement, de sentir la présence de la source intérieure. Maintenu les individus dans les rôles de victime, de bourreau et de sauveur à travers leur définition d’un dieu à l’image de l’homme, et de sa relation avec les humains eux-mêmes définis  selon leur genre, leur naissance, leur rang, leur couleur...
Définitions élaborées sur l’idée de pêché originel dont la femme a été l’instigatrice, la coupable et donc celle qui méritait d’être rabaissée au rôle de subalterne. 

Le déni, le rejet, la division intérieure ont résulté de cette vision des choses mais en même temps, ce contexte a permis de développer l’intellect, la compréhension des valeurs humaines, d’aller au bout de l’expérience de la séparation et de chercher à l’intérieur les réponses aux questions existentielles. 
Il fallait prendre conscience du caractère abusif, castrateur, paternaliste, des dogmes religieux pour choisir de s’en libérer et de prendre sa vie en main. 
Comprendre comment les rôles attribués à chacun selon son rang, sa nature, son genre créaient les divisions, les injustices, les guerres, les conflits, pour rechercher la liberté et l’égalité. 
Sentir le chaos en soi et constater l’obsolescence des croyances, leur caractère superstitieux pour désirer ardemment trouver la vérité ailleurs que dans les églises, pour se tourner à l'intérieur, dans la confidence avec la source. Puis vivre des révolutions partout sur la planète, qui n’ont rien résolu, pour comprendre que la solution consiste à faire la paix en soi, à vivre à l'intérieur ce qu'on espère vivre dans le monde.

vendredi 6 octobre 2017

« L’éveil, un concept à la mode...une nouvelle forme d'évasion ? »





4 10 Apprendre à suivre la guidance intérieure est quelque chose de passionnant qui rend intéressant le moindre geste du quotidien. La vibration qu’on émet et qui porte notre geste, qui vient des pensées émotions qu’on nourrit, modifie notre état d’être, notre vision et nos gestes qui sont alors emprunts de légèreté. Mais ça demande de laisser passer les pensées, les émotions, de ne pas s’y attacher et ainsi de retrouver confiance en soi, en son intuition. L'intuition qui se présente sous la "forme" d'une évidence, qui n'est pas le fruit d'un raisonnement logique même si ensuite on peut en comprendre le sens. 

Pourtant, ce matin au réveil, ça n’était pas vraiment la joie. Je me lève trois à quatre fois dans la nuit pour aller aux toilettes et je me réveille pas très en forme. L’idée de vieillir me perturbe en ce moment parce que j’ai passé ma vie dans les nuages, à tuer le temps, à me laisser bercer par les psychotropes pour fuir la réalité qui m’était insupportable. 
Alors maintenant, c’est comme si je me réveillais ou comme si j’acceptais enfin d’être présente et impliquée dans la vie quotidienne qui avant ne m’intéressait pas du tout. 

C’est comme si je passais progressivement d’un monde totalement virtuel à un monde semi virtuel. Comme si j’avais somnolé pendant plus de trente ans mais je me retrouve dans un monde où les repères sont totalement changés et obsolètes. 
Je n’ai pas vu passer le temps ni changer mon corps physique, je ne me suis pas vue vieillir mais maintenant je prends conscience que les autres aussi ont vieillis, ceux qui berçaient mon adolescence sont pratiquement tous décédés. Comme je ne regarde pas la télé et comme je ne l’ai pas vraiment regardé de ma vie, quand je tombe par hasard sur des émissions d’aujourd’hui, je prends une grosse claque en voyant les personnalités d’autrefois fortement marquées par le temps.

mardi 3 octobre 2017

« Les émotions négatives » Agnieszka Rouyer





La phrase "les émotions négatives" est devenue une partie inhérente de notre dictionnaire de tous les jours. Nous comprenons les émotions comme quelque chose de désagréable, comme une cocotte-minute émotionnelle, que nous ne voulons pas expérimenter. 
C'est en prononçant le mot "négatives" que nous faisons quelque chose de beaucoup plus, parce que nous traitons ces émotions comme quelque chose de complètement mauvais et d’indésirable, comme quelque chose dont nous ne voulons pas entendre parler, comme quelque chose qui nous est hostile. Et donc, nous les fuyons, nous les refoulons, nous ne voulons rien avoir à faire avec elles…

Mais fuir nos émotions, nous ferme l’opportunité de comprendre nos états internes. 
Alors que comprendre nos états internes, comprendre ce qui se passe en nous, est la base absolue pour améliorer la qualité de notre vie, pour résoudre nos problèmes. 
Parce que, justement, c’est dans ces émotions "négatives" que se trouvent toutes les solutions possibles à ces problèmes. C'est en les observant que nous avons la possibilité de nous libérer de ce qui nous tourmente.

Comment les émotions peuvent-elles être un moyen pour se comprendre soi-même ?
En psychologie, en réalité, le concept d'émotions négatives ne fonctionne pas. Il n'existe même pas. L'émotion est l'émotion.  
L'émotion est ce qui nous met en mouvement, ce qui nous motive à entreprendre certaines activités, ce qui nous motive à respecter nos besoins. 
Par exemple, la tristesse est l'émotion qui nous motive à nous retirer, à trouver un moment pour soi afin de regarder dans les profondeurs de notre être et réfléchir, à "digérer" quelque chose qui est important pour nous.

« Les sept degrés du voir » Xavier Séguin





Il y a mille et une façons de voir. La plupart des gens se contentent d’une seule : regarder. Ce n’est que le premier degré de voir. Disons le degré zéro.
Et puis il y a le voir du fœtus. Mais oui. Dans le ventre maternel, le fœtus entend, le fœtus ressent, le fœtus voit.

Le fœtus entend
De nombreuses expériences scientifiques ont montré que le fœtus humain était sensible aux stimuli auditifs. Il reconnaît les voix de ses proches, à commencer par la voix de sa mère, bien sûr. Certains psychothérapeutes ont fait entendre au patient la voix maternelle diffusée à travers des ballons remplis d’eau, pour imiter la perception du fœtus. Les régressions au stade fœtal sont quasi systématiques. Nous aurions un souvenir enfoui de la voix de notre mère perçue au stade fœtal.

Le fœtus ressent
Chacun sait que le fœtus reçoit les coups — il peut y perdre la vie, et il y gagne des traumas qui deviendront des engrammes. Ceux-ci vont nuire au développement optimal de l’être. Jusqu’à effacement à l’âge adulte, pour les initiés.
Le fœtus perçoit aussi les caresses que sa mère lui donne, et celles qu’elle reçoit : il ne fait qu’un avec elle grâce au cordon ombilical. Lui et sa mère ne sont qu’un seul organisme. C’est pourquoi le ressenti du fœtus englobe des stimuli qui ne correspondent pas à un seul sens — la vision banale — mais à la somme de plusieurs sens.

lundi 2 octobre 2017

« Penser en termes de vibrations et s’ouvrir à l’infinité des mondes subtils »





27 09 Les monde subtils, invisibles, sont par définition, invisibles, hors de notre vue mais ils ne sont pas imperceptibles. Et de plus, nous disposons d’une vision intérieure qui nous permet de voir au-delà de la forme, de capter les images symboliques de l’âme et d’en saisir le sens en une fraction de seconde.
En considérant les choses d’un point de vue vibratoire, énergétique, on peut déjà reconnaitre que les pensées, les émotions, sont des énergies perceptibles. 
On peut sentir leur mouvement et leur effet sur notre corps, notre humeur, notre état d’être. On peut aussi sentir et comprendre que l’énergie n’est pas limitée ni dans l’espace ni dans le temps. 
Cela est tout simple à vérifier puisque nous pouvons nous projeter mentalement autant dans le passé que dans le futur. De la même façon nous pouvons sentir simultanément les émotions liées à notre passé, notre histoire.

Ces quelques connaissances suffisent à élargir le champ de vision tout autant que celui des possibles mais ça demande de l’attention. De la présence, de l’observation et bien sûr une observation neutre afin que les choses soient perçues de façon objective. 

Sans la transparence et l’objectivité, on ne peut aller au-delà du corps émotionnel et du mental. Disons plutôt que notre vision reste conditionnée à nos croyances. Et comme nous sommes conditionnés par les croyances, comme nous agissons de façon automatique, inconsciente, cela demande un effort et surtout d’avoir le désir sincère de percevoir les choses au-delà de la forme.

dimanche 1 octobre 2017

« Laissez-vous émerveiller » les guides de l’unité via Daniel Desjardins





Très chers amis humains,
C'est toujours avec Amour que nous nous adressons à vous! 
Nous espérons que vous percevez les merveilles qui émanent ces jours-ci de votre humanité. Car, oui, il y a des tensions, il y a des querelles et même des guerres sur votre planète, mais tout cela est créé par des humains qui sont éloignés, déconnectés, si vous voulez, de leur Source. 
Mais en même temps, il y a de plus en plus d'entre-vous qui êtes plus fortement reliés à l'écoute de votre Source et à travers vous, à travers votre être, à travers votre incarnation et vous permettez à de bien merveilleuses choses de voir le jour. 
Certaines n'en sont encore qu'au stage d'idées, mais d'autres sont déjà bien épanouies.

Nous vous invitons à chercher les bonnes nouvelles. 
Demandez à l'Univers de vous rapporter ces merveilles, ces beautés, ces belles créations, cet espoir qu'apporte ce renouveau. 
Il y a sur votre planète de bien belles créations, de nouvelles inventions, des découvertes qui vont changer la face de votre monde au cours des prochaines décennies. 
Bien sûr, tout cela n'est pas rapporté dans vos médias qui cherchent plutôt à plaire à ce qui est encore la majorité, des gens qui se complaisent dans le négatif et qui sont plus ou moins déconnectés de leur Source. 

samedi 30 septembre 2017

« C’est toi qui choisi où tu places ton attention, je ne peux pas le faire à ta place… »





28 9 Voilà ce que mon âme, mes guides, un aspect intérieur plus éclairé, peu importe comment on qualifie cet aspect de soi, a répondu à ma question : pourquoi tu me laisses passer d’un extrême à l’autre ? Bien qu'au fond je connaisse la réponse, l'effet balancier puis la stabilité qui vient naturellement si on n'oppose pas de résistance mais quand on est bousculé intérieurement, on oublie vite l'essentiel et le mental a vite fait de ressasser. 

En effet, hier matin, j’étais super enthousiaste, inspirée, je sentais la guidance intérieure qui se manifeste justement par la joie d’être puis peu à peu, j’ai senti mon taux vibratoire dégringoler de plus en plus.
Mais je n’ai pas réagi à temps ou certainement qu’il fallait que j’aille au bout du processus afin que les émotions refoulées puissent sortir. Ces émotions que je continue de bloquer inconsciemment parce que les croyances relatives à la relation à la source sont encore bien ancrées. 
Les notions de mérite et de récompense qui entrainent celles d’effort, de sacrifice, de devoir, sont à lâcher. Et pour que cela puisse se réaliser, ça demande de vivre le cycle de la libération de l’énergie, autant au niveau des pensées que des émotions afin que l’inconscient soit lui aussi purifié. 
Enfin pour qu’on devienne de plus en plus conscient de ce qu’on vibre et pour qu’on choisisse de vibrer autre chose. Mais croire que ça demande de lutter, de mériter, c’est donner tout pouvoir au mental et à ses stratégies. S’imaginer que notre conscience humaine a le pouvoir d’alchimiser et de pacifier les énergies. 
Notre conscience humaine est utilisée seulement à 10% de son potentiel. 

C’est en s’ouvrant, en s’abandonnant à la source, à l’amour lumière que notre conscience humaine va devenir plus lucide, active, présente et attentive. Par l’attention et l’intention, elle va grandir dans tous les sens du terme, développer le discernement par la reconnaissance de la résonance, de ce qui fait écho en soi.
Nos outils de libération, d’élévation, si on peut dire, c’est la conscience neutre et l’amour ou l’accueil, l’acceptation mais dans cette équation, il faut pouvoir reconnaitre et lâcher ce qu’on ne veut plus nourrir.