27 09 Les
monde subtils, invisibles, sont par définition, invisibles, hors de notre vue
mais ils ne sont pas imperceptibles. Et de plus, nous disposons d’une vision
intérieure qui nous permet de voir au-delà de la forme, de capter les images
symboliques de l’âme et d’en saisir le sens en une fraction de seconde.
En
considérant les choses d’un point de vue vibratoire, énergétique, on peut déjà
reconnaitre que les pensées, les émotions, sont des énergies perceptibles.
On
peut sentir leur mouvement et leur effet sur notre corps, notre humeur, notre
état d’être. On peut aussi sentir et comprendre que l’énergie n’est pas limitée
ni dans l’espace ni dans le temps.
Cela est tout simple à vérifier puisque nous
pouvons nous projeter mentalement autant dans le passé que dans le futur. De la
même façon nous pouvons sentir simultanément les émotions liées à notre passé,
notre histoire.
Ces
quelques connaissances suffisent à élargir le champ de vision tout autant que celui
des possibles mais ça demande de l’attention. De la présence, de l’observation
et bien sûr une observation neutre afin que les choses soient perçues de façon
objective.
Sans la transparence et l’objectivité, on ne peut aller au-delà du
corps émotionnel et du mental. Disons plutôt que notre vision reste
conditionnée à nos croyances. Et comme nous sommes conditionnés par les
croyances, comme nous agissons de façon automatique, inconsciente, cela demande
un effort et surtout d’avoir le désir sincère de percevoir les choses au-delà
de la forme.
Nous
restons la plupart du temps enfermés dans le mental et ses concepts, ses
références, simplement en nourrissant la lutte contre les pensées négatives,
les mauvais souvenirs qui reviennent dès que quelque chose ne va pas. Nous cherchons à définir l'énergie selon des concepts en référence à ce que nous connaissons, aux expériences des autres. Tant qu'on ne lâche pas cette vision, cette conception des choses, on ne peut pas saisir, sentir et savoir intimement ce que nous sommes en vérité.
Là
encore, savoir quelle est la nature de l’énergie et comment elle ‘fonctionne’
va nous aider à aller au-delà des concepts et des croyances. On sait donc
qu’elle n’a pas de limite et qu’elle est en mouvement, que c’est sa nature de
rayonner, de circuler. On sait aussi qu’elle prend différentes formes à l’image
des éléments et que dans ce monde elle est polarisée.
Mais revenons à une de ses caractéristiques, l’omniprésence ou à son caractère illimité, infini. Elle n’est pas limité par le temps et c’est cela qui nous permet de faire la paix avec le passé. De rencontrer l’enfant qu’on a été et d’actualiser les croyances adoptées alors.
Cette propriété et le fait qu’elle
soit en perpétuel mouvement amène aussi des inconvénients par la loi de résonance,
d’attraction. Dans un monde où l’énergie est polarisée et où celles-ci sont
perçues comme antagonistes, ennemies et non complémentaires, chaque chose,
situation, personne, a son contraire.
Quand
nous vibrons sur les fréquences de la lutte et de la peur, nous sommes
automatiquement reliés aux égrégores, à l’inconscient et à la conscience
collective. De la même façon quand nous sommes en paix, nous sommes connectés
aux énergies, aux êtres, de cette même fréquence. Ce qui est important à
savoir, c’est que rien ne peut nous être infligé.
30 09 J’ai
écris ça en début de semaine et naturellement il m’a été montré ce qui était
bloqué en moi, ce qui empêchait la libre circulation de l’énergie, des
énergies.
Puis
ce matin, j’ai été inspirée à me tourner vers les rayons sacrés.
Et
si j’utilisais les rayons sacrés ? Depuis 2007 ça me parle mais je n’ose
pas. Par sentiment d’illégitimité, parce que c’est Joéliah qui les a transmis
et par manque de foi ou disons qu’entre le sentiment d’illégitimité et
l’interdit, la foi est comme aspirée.
Pourtant, ils sont réels, c’est ce que je
vois en méditation, ils agissent qu’on en soit conscient ou pas et ils
appartiennent à tous le monde…de plus j’ai acheté les livres pour les connaitre
alors autant les utiliser.
Il doit y avoir aussi la peur d’être dirigée voire
manipulée par les entités, les égrégores, mais là encore je ne suis pas obligée de mettre un nom sur les guides
qui transmettent l’info et les énergies…Puis aussi les croyances basées sur la
notion d’effort, de mérite et de récompense faussent la vision. Croyance qu’il m’a été donné de
purifier, d’actualiser au cours de la semaine.
J’utilise
spontanément la lumière dorée et au début quand j’ai lu les livres de Joéliah, j’ai beaucoup
appelé le rayon rose et le violet mais cette fois ci je viens de demander
spontanément d’être enseignée à ce sujet. Puis l’idée de travailler avec le
violet et le rose est venue pour l’addiction à la clope dont l’odeur me dégoûte
de plus en plus. Je me souviens aussi du dernier conseil des guides de Lulumineuse qui
me disaient que des anciennes connaissances se mettaient en place…
"Accepter
de se valider soi-même. Des idées et des projets sont en cours de ré-alignement
dans votre vibration. Elles sont à la fois le fruit de ce que vous êtes venu
délivrer et l'expérience que vous avez souhaité vivre ici. Seulement, pour
appliquer vos savoirs dans la matière, vous devez passer par la validation à
vous-même.
Cette étape importante qui vous demande de choisir votre instinct
dans l'instant sans penser aux conséquences du futur ou à des expériences
passées peu encourageantes.
La validation à soi-même doit être dépourvue de
tout jugement envers soi et en vers les autres pour pouvoir être entreprise
avec justesse et sérénité.
Plus elle devient effective, plus elle vous
permettra d'affiner vos perceptions et vos ressentis. Vous êtes guidé vers un
nouveau, un nouvel horizon, un changement d'orientation qui fait écho avec
votre boussole intérieure. Pour emboîter votre chemin, votre Moi aspire à
laisser des parties de la personnalité au monde que vous désirez quitter. Le
changement est en cours et le vent qui souffle vers vous est un grand OUI.
"
-- Lulumineuse
D’autres
conseils piochés au hasard les jours précédents amenaient aussi dans cette
dynamique de renouveau. Quant à ce dernier, sur le coup, je n’ai pas tout compris.
Évidemment un travail de nettoyage, de libération a été effectué tout au long de la
semaine. J’ai dû reconnaitre et lâcher les attentes ce qui me faisait vibrer
sur la peur et bloquait le courant de la réception. Du coup, j'ai mieux compris ce message des guides de Lulumineuse qui sont en résonance avec moi, enfin qui me parlent. L'auto validation est nécessaire mais ça demande de changer le regard qu'on porte sur soi et donc de porter l'attention au niveau du ressenti, juste pour faire le lien entre la pensée et la sensation.
Les rayons, c’est une intention qu’on pose et qui va montrer
les blocages afin qu’on en prenne conscience et qu’on les lâche. Il y a une
prise de conscience et un choix d’abandon à la source à "effectuer", les rayons
ne font pas le travail à notre place. Ils peuvent nous aider à intégrer ce qui
aide à voir et à lâcher mais c’est à nous de choisir comment on va réagir
vis-à-vis des peurs, des blocages.
Notre capacité de choisir est nécessaire mais pour cela en toute logique nous sommes amenés sur le terrain à devoir faire des choix. Des situations se présentent afin qu’on puisse observer comment nous nourrissons les anciennes croyances et pour qu'on choisisse en conscience ce qu'on veut rayonner maintenant.
Par
exemple une des raisons pour lesquelles je bloquais à utiliser les rayons,
c’est cette notion d’effort. En effet, ça parait trop simple pour le mental de
décréter ce qu’on veut mais là encore, il faut percevoir les choses avec du
recul.
Il
s’agit de poser l’intention et de maintenir le désir vivant en soi.
Si je veux
la paix, je vais être confrontée à une situation qui va me faire réagir.
Le
contexte est posé, des émotions dites négatives vont se présenter telles que la
peur, la colère, le sentiment d’injustice, la sensation d’être une victime…tout
cela est juste à observer, à reconnaitre puis décider de passer à autre chose.
Concrètement, ça veut dire de laisser le mental exprimer les pensées sans les
juger et sans les croire. Ensuite ou simultanément plutôt, les émotions se
manifestent et c’est cela qui rend l’expérience difficile parce qu’on peut ne
pas s’identifier aux pensées par un raisonnement logique mais quand ces pensées
sont appuyées par des sensations désagréables, les mécanismes de protection
s’enclenchent.
Le mental cherche à comprendre, l’instinct de survie bloque
l’émergence de l’émotion à l’origine du mal-être qui laisse une sensation de
confusion où on ne sait plus faire la part des choses parce qu’alors on
"raisonne/résonne" comme un enfant ou avec le cerveau reptilien et limbique.
En
confiant à la source toutes les pensées de peur, on va peu à peu changer son
regard sur elle, lui donner moins d’énergie, la percevoir comme une enseignante
et comme une énergie utile.
L’instinct de survie est vital et il peut aussi
nous révéler des compétences insoupçonnées comme dans le film Forest Gump où le
personnage principal découvre sa puissance dans la course alors qu’il est
poursuivi par des gamins. Je reviens sur ce film parce qu’il est rempli de
message, de sagesse.
Ainsi
quand on ne voit plus la peur comme une ennemie, on élargit son champ de vision
et son potentiel. Mais pour en arriver là, il faut apprendre à accueillir, à
observer objectivement. Et à ne plus croire nos pensées afin d'apprendre à nourrir le silence comme pour entendre/sentir les messages de l'âme.
De cette façon peu à peu encore on va comprendre que la
vibration détermine l’état d’être et qu’elle est la base essentielle de l’être.
Qu’elle est en mouvement et qu’on peut apprendre à l'orienter, à jouer avec,
à choisir le type de fréquence qu’on veut rayonner et comment canaliser
l’énergie de vie, du désir.
Les répercussions sont immenses et multiples
puisque tout se matérialise selon la fréquence vibratoire et amplifie par effet
de résonance, par le mouvement, la communion, la fusion. On peut dire que
l’essence, l’esprit précède la forme tout comme la création commence par une
idée.
J’ai été inspirée à faire du ménage dans l’ordinateur.
C’est une façon de mettre à jour les croyances, de lâcher ce qui n’est plus
utile et de restructurer la pensée. Le ménage dans la matière suivra
naturellement.
Puis c'est aussi à l'image de ce qui se passe quand on n'attache plus d'importance aux pensées, c'est comme si l'écran du mental était nettoyé, comme un tableau noir dont les traits à la craie son effacés. Ceci dit, là encore, ce n'est pas le mental qui peut effacer la mémoire, les images qu'il génère, c'est le fait de ne plus nourrir le passé, de s'en détacher...
Puis c'est aussi à l'image de ce qui se passe quand on n'attache plus d'importance aux pensées, c'est comme si l'écran du mental était nettoyé, comme un tableau noir dont les traits à la craie son effacés. Ceci dit, là encore, ce n'est pas le mental qui peut effacer la mémoire, les images qu'il génère, c'est le fait de ne plus nourrir le passé, de s'en détacher...
1 10 Incarner le changement n’est pas une course, il n’y a pas de diplôme à gagner, c’est juste un désir qui nous permet de savoir qui nous sommes et comment nous fonctionnons.
Nous sommes constitués de différents corps subtils
qui vibrent plus ou moins vite et qui fonctionnent selon leur propre rythme.
Ainsi quand on veut changer une croyance, ce changement se réalise dans tous
les corps, et comme ils sont tous reliés entre eux et au corps physique dont la
vibration est la plus dense, lente, comme la conscience est composée d’une part
d’inconscience, comme la mémoire émotionnelle est contenue aussi dans nos
gènes, c’est en maintenant le désir de paix et d’unité que le changement va s’opérer.
Il se fait selon le rythme propre à chaque corps d'où la sensation de lenteur.
Puis par-dessus tout, on intègre, on apprend à rayonner un aspect de l’amour
qui n’est pas des moindre : la patience. Cette vertu c’est l’amour sans
conditions en action parce qu’elle est composée d’une bonne dose de
permissivité mais aussi d’espérance et de confiance.
Ce n’est pas vraiment la
qualité première du mental mais c’est simplement parce qu’il est conditionné à
réagir vite puis à obtenir un résultat immédiat.
La société elle-même est
conçue selon ses règles qui répondent au besoin de productivité, qui fonde tout
sur le pouvoir d’achat. C’est aussi cela qui rend le changement difficile,
outre le fait que ça demande de plonger dans les profondeurs de l’inconscient,
parce que ça nous amène à nous individualiser et donc à nous isoler. A écouter et à suivre notre
intuition qui est à contre courant de la norme ou des raisonnements logiques du
mental, des croyances nourries par la société.
Et pourtant elle nous ramène
dans le courant de la Vie, du vrai, de ce qui a vraiment de la valeur. En ce
sens on se libère aussi des illusions de ce monde mercantile qui considère les
individus comme des objets.
Cela fait écho à la façon dont nous traitons les
aspects internes que nous n’aimons pas, les facettes de la personnalité que
nous voudrions éliminer. Mais là encore, en les considérant comme des énergies
utiles, des aspects internes nécessaires à notre équilibre, notre complétude, la
vision et l’attitude changent peu à peu.
Le
fait que le changement demande du temps nous démontre aussi que nous ne sommes
pas des robots, ou des machines, nous changeons en prenant conscience de ce que
nous sommes, de ce que nous vibrons et en décidant ce que nous voulons
maintenant rayonner.
La culpabilité n’est pas mauvaise en soi par exemple parce
qu’elle participe à l’ouverture de conscience, de cœur, elle déclenche des prises de conscience. La peur regardée en face
amène à la colère qui pousse à l’action. Selon l’effet qui suit l’acte, si on
se sent coupable, on saura que la vibration qui a sous tendu le geste, n’est
pas la meilleure, qu’il nous faudra apprendre à agir depuis la paix en soi.
Lorsqu’on
pose l’intention de pacifier nos corps, nos émotions, on peut visualiser le
rayon rubis doré, le rayon rose ou encore le blanc. Ou simplement ramener la
pensée sur ces couleurs afin de maintenir l’intention en place.
En apprenant à
penser en terme d’énergie, de rayon, l’attention se focalise au-delà de la
forme, on s’ouvre à recevoir, à percevoir les signes subtils, à ressentir les
vibrations.
Dans
cette ouverture si nous sommes plus visuels, nous allons percevoir les énergies
lors de méditations, être attiré par une couleur plus qu’une autre. Si on est
sensible aux sons, on va savoir quel genre de musique nous fait du bien et
développer notre intuition, nos sens de cette façon. Notre capacité de ressentir et de
percevoir au-delà de la matière, de la forme.
Puis on va prendre confiance
autant à notre intuition qu’aux messages qu’on reçoit, comprendre mieux les
sens, leur fonction, ce qui est à cultiver en soi.
Et par-dessus tout cette attitude qui
consiste à se positionner dans l’accueil nous connecte à notre cœur sacré,
notre âme, nous apprend à cultiver les qualités de la source tout en reconnaissant
la présence des aspects plus subtils de l’être.
Ce qui me plait dans les rayons c’est que cela
éveille et réjouit l’enfant intérieur, c’est aussi une façon de lâcher les
étiquettes, de ne plus personnifier l’âme, les énergies.
Chaque fois qu’on
associe la source, les anges, à des figures humaines, on enferme l’énergie dans
des concepts, on projette nos attentes, on fausse la vision et la perception de
ce qui est essence, énergie, vibration et mouvement.
En ce sens, les rayons ou le fait d’envisager les richesses intérieures, les énergies, comme des couleurs et des sons, nous libère de l’identification, de la projection et de la personnification.
Les sons, les images ont un impact direct sur notre
inconscient, notre mémoire émotionnelle et on peut les utiliser pour sentir les
blocages internes, les croyances, à reconnaitre et à lâcher. On peut aussi nourrir la joie, cultiver le silence en contemplant des images qui reflètent le beauté de la nature. Elle est remplie de symboles, d'enseignements, comme le dit Idriss Aberkane, c'est un livre ouvert et vivant.
Développer l’intuition,
les perceptions, c’est voir au-delà des croyances et des conditionnements, c’est
entrer dans le monde des sens et cultiver la sensibilité. C'est s'ouvrir sans attentes et sans préjugés en étant conscient des richesses intérieures.
Devenir extra lucide,
c’est voir, sentir au-delà des concepts, ça ne veut pas dire qu’on va voir les
mondes invisibles mais plutôt qu’on apprend à voir ce qui est derrière l’étiquette,
la croyance et la peur.
Déjà en apprenant à se percevoir de façon objectif,
dans le détachement, on connecte sa vérité du moment et en même temps on
ressent l’essence de la source.
Ces
facultés sont à cultiver à l’intérieur, pour soi-même, pour affiner les sens et
développer la reliance avec l’âme, restaurer les liens entre chaque corps,
chaque aspect de la personnalité, ce qui revient à installer et à amplifier l’amour
en soi.
Développer l’intimité en soi, revisiter le passé, décider ce qu’on veut
rayonner dans l’instant, dans l’accueil, l’abandon à la source en soi, c’est
œuvrer dans le présent et pour l’avenir.
On apprend à savoir ce qu’on veut et à
s’y tenir et cela vaut toutes les prédictions basées sur la peur et les
probabilités qui sont les conséquences logiques des stratégies qui visent à
nier la peur, à l’éviter.
Idem au niveau de la valeur de soi, au lieu de
répondre aux tests de personnalité qui sont des logiciels élaborés selon des
statistiques, une logique de probabilité, et qui visent à flatter l’ego tout en
récoltant des infos très intimes de chaque individu qui se prête à ce Jeu,
établissant une banque de données considérable que les services secrets n’ont
jamais osé rêver, apprendre à ressentir et à lâcher l’auto-critique, nous
révèle ce qu’est l’amour.
Ce que nous sommes en essence et comment nous pouvons
le faire grandir dans cet accueil de tout ce que nous sommes. La reconnaissance
extérieure ne peut pas nourrir l’amour en nous-mêmes. Mais lorsque nous
rayonnons cette vibration, elle vient naturellement sans même qu’on la
recherche.
Par la nature de l’énergie, de la vibration et la loi de résonance,
d’attraction, nous nous connectons aux énergies, aux personnes, qui vibrent sur
les mêmes fréquences.
Puis dans le désir de paix et d’unité, le lâcher prise,
il n’y a plus d’attente parce qu’on cultive le détachement.
C’est
une preuve d’amour et d’humilité vis-à-vis de la source que de reconnaitre qu’on
ne connait pas les mondes subtils, qu’on pénètre un monde nouveau, inconnu.
Cela nous place dans la gratitude et l’ouverture et notre comportement se
répercute aussi dans la relation aux autres. Quand on a plus rien à prouver on
devient libre.
Un
exercice qui peut nous aider à pénétrer les mondes subtils, à prendre contact
avec l’enfant en soi, les émotions refoulées mais aussi les énergies
spécifiques de l’enfant, c’est de dessiner les chakras ou encore des Mandalas selon l'inspiration du moment.
Ce sont des symboles
forts qui figurent chacun des corps et cet exercice est une forme de
méditation puisqu’alors le geste demande l’attention, il est la manifestation
de l’alignement des corps, la cohérence naturelle. Tout comme la marche ou
toute activité manuelle telle que le tricot, le jardinage, la cuisine…
Il nous connecte avec l’enfant intérieur, avec ses énergies et son mode d’expression à travers le dessin, première forme de manifestation individuelle en direction du monde extérieur. Cette approche nous apprend à connecter l'enfant en soi à travers la joie et cela nous permet de porter un nouveau regard sur notre corps, nos émotions. Ainsi, on n'aura plus besoin de passer par la souffrance, les émotions négatives pour changer le regard sur nous-même. L'attention et l'intention qu'on porte sur un sujet, un objet, une particule, en modifie la vibration et ça, c'est à cultiver.
Au-delà ou avant l’expression orale, le dessin est la reproduction de ce que perçoit l’enfant,
sa représentation personnelle du monde qui l’entoure, c'est une perception dénuée de jugement et cependant elle est le pur reflet de ce que vit l'enfant, de ce qu'il porte. On utilise le dessin en
thérapie enfantine afin de connaitre les émotions refoulées, les éventuels
traumas.
Le monde des symboles est le langage de l’âme tout comme sa
représentation et en dessinant on utilise la même forme de communication non
verbale.
Tout comme l’écriture spontanée, le dessin exprime les profondeurs de
notre être. La spontanéité autant dans le geste que dans le fait de ne pas
réfléchir ou raisonner, nous connecte à ce qui est vrai en nous, au niveau
profond mais aussi élevé, au niveau subtil, au-delà du mental et de la forme. C’est
une forme d’expression du cœur et ça n’est pas par hasard si les mains en sont
la prolongation. Autant dans les gestes de tendresse que dans le fait d’être
sincère et spontané.
Nous
sommes constitués de plusieurs corps reliés au niveau énergétique et on fait l’expérience
de l’unité, de cette harmonie qui régit l’énergie lorsqu’on purifie le mental
émotionnel. Parce que le chakra du troisième œil est associé à l’intuition, en
développant nos sens, on développe les facultés de ce corps.
Accueillir une émotion, offrir à la source les pensées, les émotions que l’enfant
en nous exprime dans la spontanéité, c’est apprendre à lâcher les attentes.
C’est
cela qui permet de voir au-delà de la forme et de ne pas faire une vérité
universelle de ce qui est perçu.
Une attente est une projection, une
anticipation qui fausse la vision, qui vient sur l’écran du mental, c’est l’expression
de ce que nous croyons et donc c’est un message provenant de l’inconscient.
Cela est une invitation à lâcher prise et ça se distingue de la vision donnée
par l’âme, par l’intuition, qui elle n’est attachée à aucune croyance, aucune
référence au passé.
Quand
nous nous connectons à nos émotions dans l’accueil, nous sommes aussi connecté
à l’enfant en nous, c’est comme si on l’embrassait et cet accueil, cette
reconnaissance est très puissante parce qu’alors, c’est l’amour qui nous a tant
manqué qui circule à l’intérieur.
Il y a beaucoup de façons de connecter l’enfant, les émotions en soi, tout ce qui suscite des réactions spontanées qu’on pourra accueillir dans l’amour lumière de la source. Tout ce qui est fait avec joie et amour, tout ce qui éveille ces énergies légères en nous.
Un autre moyen de le faire, c’est
par exemple ce que propose Magali Magdara dans ces nouvelles séances de
reconnexion âmiques.
Il
y a déjà eu une séance mais vous pourrez y accéder en cliquant sur le lien.
L’effet
miroir et le fait que l’énergie ne soit pas limitée par l’espace et le temps,
sont des outils de libération qui nous montrent aussi par l’expérience, le
caractère infini et illimité d’une grande part de ce que nous sommes, de notre
essence.
Les enfants d’aujourd’hui sont des miroirs invitant l’enfant en soi à
se déployer, à se manifester dans sa pureté, son innocence mais aussi ses
facultés intrinsèques qui sont nombreuses et que nous pouvons découvrir,
cultiver en nous intériorisant.
Les
générations qui ont lâché le modèle éducatif par la punition, la récompense et
la crainte ont proclamé "l’enfant roi"mais là encore, c’est à l’intérieur que la
guérison se réalise, dans la relation à l’enfant intérieur.
Cependant cette
progression dans la société est aussi le reflet de ce que beaucoup vivent
intérieurement, de cette conscience qui réalise l’importance des qualités de l’enfant,
son caractère précieux.
A l’image de l’évolution de la société qui prend de
plus en plus conscience de l’importance des enfants qui sont le monde de
demain, beaucoup d’individus reconnaissent la nécessité de connaitre et de guérir
l’enfant en soi qui représente l’humain de demain, unifié, harmonisé,
authentique, responsable et complet.
Cet aspect de nous incarne la créativité,
l’imaginaire, le néocortex activé, mais aussi l’intuition, l’avenir. Tant qu’il
est blessé, renié, isolé, nous nous sentons en manque, divisé, confus et perdu
mais lorsqu’on apprend à le reconnaitre, à l’apprivoiser, on se sent revivre,
renaitre, on est vivifié.
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr