Comprenez-le,
nous le redisons encore et toujours, retrouver l'art de l'incarnation et
retrouver l'art de la simplicité.
Comprenez-le, même s'il est vrai que l'être, chaque être, est créateur de sa réalité jusque dans les moindres détails, il est vrai simultanément, de la rigidité, est née une apparence d'égrégore, une sorte d'énergie collective à l'image du collectif et s'est forgé un cercle de soi-disant causes et soi-disant effets – et on ne sait plus où est la cause et où est l'effet - un égrégore qui semble être une volonté de maintenir l'humanité dans des croyances que compliquée, dure, laborieuse, éreintante même, est l'incarnation où tout n'est que limites.
Comprenez-le, même s'il est vrai que l'être, chaque être, est créateur de sa réalité jusque dans les moindres détails, il est vrai simultanément, de la rigidité, est née une apparence d'égrégore, une sorte d'énergie collective à l'image du collectif et s'est forgé un cercle de soi-disant causes et soi-disant effets – et on ne sait plus où est la cause et où est l'effet - un égrégore qui semble être une volonté de maintenir l'humanité dans des croyances que compliquée, dure, laborieuse, éreintante même, est l'incarnation où tout n'est que limites.
Et beaucoup de systèmes de croyances, beaucoup même de
systèmes qui soi-disant aident l'humanité, ne sont en fait que les voix de cet
égrégore.
Nous le redisons, l'art de l'incarnation est l'art de la simplicité.
L'art de
l'incarnation implique le rythme juste et le choix délibéré de ne plus honorer
la croyance que tout doit être compliqué et qu'il faut se hâter.
Se hâter est
le rythme erroné.