Les
confidences entre les femmes de ma famille côté maternel continuent de me travailler en profondeur et porter
leurs fruits. Je sens qu’une guérison collective est en train de se produire
touchant toute la lignée familiale. Le féminin qui se réconcilie par ce cercle
de femmes qui se réunissent dans la compassion, c'est très libérateur. Dans
la semaine alors qu’elles étaient ensemble, par moments, je pensais à elles ou
du moins je me sentais connectée. Non plus dans la douleur mais par des
sentiments profonds.
C’est une sensation indescriptible et comme c’est de l’ordre
du ressenti, comme ce champs immense est encore inconnu ou méconnu, vouloir
interpréter c’est prendre le risque de s’égarer, de perdre la sensation et encore
d’enfermer l’énergie dans des cases.
Hier soir, alors que je parlais avec mon
âme lui demandant de diffuser ces énergies de guérison, de réconfort sur chaque
enfant intérieur de ma lignée familiale, autant les hommes que les femmes, de
grosses larmes chaudes ont coulé.
Je
ne peux pas décrire tout ce que j’ai ressenti tellement c’était immense et
puissant.
Déjà l’idée que la guérison des chakras du bas ouvre, si on peut dire,
ceux du haut, a été validée par la sensation de plénitude et de confiance vis-à-vis
de l’équipe céleste.
La certitude d’être accompagnée, soutenue depuis l’enfance
dans ce cheminement de recherche de vérité m’est apparue clairement et si mes
yeux n’étaient pas encore voilés par la peur de la mort, de l’inconnu, de l’invisible,
j’aurais certainement vu ces présences bienveillantes.
Non seulement la peur
bloque cette perception mais en plus, la nécessité de vivre l’expérience d’ici
et de maintenant en toute conscience, en présence, sans être déconcentrée, sans
se disperser, en restant focalisée sur cette incarnation et ses limitations m’est
apparue comme la condition si ne qua none.