lundi 8 mai 2017

« Un grand "Ouf", jusqu’à la prochaine vague » & témoignage François Breton "exploration de conscience"





Ceci dit, le "ouf" n'est pas comme on pourrait le croire, relatif au résultat du vote puisqu'il est sans surprise. En effet, on préfère la paix au chaos, on n'est pas non plus prêt à élire une femme en général et pour le coup, ce préjugé a été utile...

Quand on est sensible aux énergies, voire hypersensible, on peut être submergé par les conflits extérieurs au point de se sentir abattu et confus. On va vouloir se protéger en s’isolant, et on va accuser les évènements de nous déstabiliser.
C’est un réflex naturel de survie mais cela ne nous libère pas de ce qui est en nous et que cette situation extrême a éveillé.
Reconnaitre que ce qui nous trouble est intérieur, c’est déjà se détacher des mouvements chaotiques extérieurs. De cette façon on s’éloigne de la masse ou on se protège des égrégores en conflits. 
Le seul fait de ne pas accuser les autres ou l’extérieur, la situation, les évènements de notre mal-être intérieur nous en protège. 
La responsabilisation, le fait de reconnaitre que quelque chose en soi demande à être pacifié, nous ramène dans notre potentiel, la capacité d’alchimiser les énergies, de transcender toute situation, douleur, difficulté.

Comme notre système de survie est fait pour rejeter vers les autres ou refouler ce qui est difficile à vivre en soi, nous avons l’habitude de réagir en accusant les autres, en projetant notre mal-être sur ceux qui nous ont fait souffrir dans l’enfance ou qui jouent les bourreaux actuellement. 

Une émotion de colère sera projetée sur un bourreau ou encore une victime, quelqu’un de plus faible que nous. Généralement c’est plutôt vers les plus faibles qu’on se tourne par instinct de survie et quand on a été victime, connaissant les souffrances que ça implique, on sera plutôt dans l'accusation envers les "méchants", la demande de réparation qui tourne vite au désir de vengeance...cycle infernal que seul l'amour peut résoudre

jeudi 4 mai 2017

« La souffrance, une option, pas une obligation » & Interview de Magali par Carolame, au sujet des symptômes de l'évolution





Nous avons le choix dans la façon de considérer, d’aborder chaque situation de notre quotidien et faire que ça devienne soit un calvaire, soit une opportunité de s’ouvrir et de grandir. 
La plupart du temps, nous réagissons selon des croyances collectives qui se passent de générations en générations, comme des tares physiques qu’on croit inévitables. 
Oui nous portons des gènes, des programmes et sommes conditionnés par les croyances et conditionnements liés aux rôles, au genre, à l’âge, à la position sociale, mais ça n’est pas une fatalité.

L’humanité a évolué au fil des siècles en faisant plus de place à la joie, au bien-être, à la liberté, au fur et à mesure. Il a fallu aller dans l’excès pour comprendre la force de l’équilibre, de la paix, du juste milieu, de l’égalité et de la fraternité. 

On peut constater que cela s’est fait en abandonnant les dogmes et la morale fondée sur les religions culpabilisantes, ce qui est très éloigné du message christique, de sa pureté originelle.
Nous sommes imprégnés de croyances fondées sur la peur et celle-ci est considérée comme une ennemie à combattre. A mon avis, le problème ou ce qui nous enferme dans des croyances avilissantes, culpabilisantes, limitantes, dans la souffrance, c’est la vision qu’on a de la peur, des émotions dites négatives. 
On s’identifie à nos pensées en rejetant les émotions que le système de croyances a jugées mauvaises. 
Ainsi, on vit à l’intérieur dans une lutte perpétuelle entre les pensées et les émotions, entre le cœur et la tête, entre l’ego et l’âme, entre l’esprit et le corps. Dans cet état divisé il est naturel de ne pas sentir la paix, le bien être, la confiance en soi, l’amour ni la source ou ce qu’on appelle "dieu", l’âme, la présence.

mercredi 3 mai 2017

« Être à l’écoute des besoins et y répondre avec Amour »





2 05 J’ai encore envie d’écrire ce matin et même si en général, cette envie est le signe du trouble mental, de la difficulté à comprendre ce qui se passe et du besoin de donner du sens à tout cela, il y a aussi l’envie de partager ce que je ressens dans ces moments naturellement troublés, et bien sûr cette paix profonde qui vient du désir d'unité. 
Ils le sont tant par les évènements extérieurs, la situation politique que par ce qui se passe en soi et bien évidemment par l’élévation générale des consciences. 
Tout est relié et interdépendant, à tous les niveaux de l’être et il est clair que l’élévation du taux vibratoire de la planète, les énergies qu’on reçoit des sphères lumineuses, participe également à tout ce qui se passe en ce moment.

En observant ce qui se passe en soi et tout autour, en constatant que beaucoup de gens vivent des symptômes physiques, signe de blocage énergétique, d'ajustements intérieurs, d'alignement à la source, ce point de vue semble se vérifier. 
Je dis ‘semble’ parce que le point de vue individuel est subjectif et comme le mental n’est pas encore habitué à reconnaitre le langage de l’âme, l’interprétation des faits est aléatoire. 

Puis j’ai aussi envie de partager, de propager une vibration d’espérance et de soutien. Même si c’est un petit point lumineux dans cette période chaotique, le peu de personnes qui pourront le capter viendront amplifier cette fréquence et peut-être y trouver un certain réconfort.
L’espoir est nécessaire surtout quand on vit des moments de trouble et il ne s’agit pas d’espérer vivre du jour au lendemain dans un monde idéal ou encore amener le corps physique dans un état d’éternité mais tout au moins de pouvoir vivre la paix en soi et par ce processus, se laisser guider par la joie subtile qui en émane.

mardi 2 mai 2017

« Douceur, tendresse, souplesse, flexibilité, jusque dans les gestes »





1 05 Je ne reviendrais pas sur ce que j’ai écrit hier parce que tout se passe dans le présent mais il est clair que j’ai mal compris le message du corps physique au travers de la douleur dans le bas du dos. Et surtout, au lieu de lâcher prise, j’ai essayé de forcer la guérison en pensant que la compréhension intellectuelle était suffisant. Même si le mental émotionnel ont été apaisé, le message essentiel doit être appliqué en permanence: douceur, tendresse, souplesse, flexibilité jusque dans les gestes !

La douleur qui est revenue m’a ramenée à ces vérités essentielles et suffisantes :
Le corps physique est autonome et intelligent, tout à fait apte et d’ailleurs naturellement programmé pour s’auto-guérir, pour réguler les systèmes et maintenir la cohérence, l’harmonie, gage de santé.

L’inconscient qui est éclairé par la source ou le fait de prendre conscience des phénomènes internes, des stratégies, amène des ajustements pendant le sommeil où l’émotionnel évacue le trop plein, est où la conscience ‘divine’ ajuste les anciennes croyances à la nouvelle vision.

Les symptômes physiques sont des messages et surtout des appels à être présent à soi, afin de répondre aux besoins vitaux tels que le boire, le manger et le sommeil. 
Ces besoins ne sont pas les mêmes selon les ajustements qui se créent en soi.

dimanche 30 avril 2017

« Le calme après la tempête »





29 04 Il semble que la grosse vague soit passée. Les mêmes symptômes apparaissent, constipation, vertiges, palpitations, la même sensation d’arriver dans un cul de sac puis une fois que la vague émotionnelle a été offerte à la source, celle d’avoir passé un nouveau cap, d’avoir intégré une nouvelle énergie, d’être plus déterminée dans ce choix de maintenir la paix et l’unité intérieures. Les choses sont perçues avec plus de légèreté, moins d’attachement, il s’en suit une nouvelle façon d’avancer et la foi est plus ancrée, plus forte. 

J’ai dû accueillir la peur de se positionner dans le monde et avant ça, retrouver le centre, la stabilité, l’ancrage dans le cœur. Utiliser l’effet miroir pour sonder ses profondeurs et revenir à ses propres challenges, retrouver la paix et la stabilité psycho-émotionnelle puis enfin revenir à la joie, se laisser guider par l’enthousiasme en toute confiance.
La douleur m’a ramenée dans mon corps physique non pas pour établir un diagnostic mais pour aborder cela de façon neutre et faire ressurgir le désir d’être tout simplement. 

Les vagues énergétiques dues autant aux éruptions solaires qu’à l’élévation du taux vibratoire de la planète et à l'énergie de division liée aux élections, font émerger les peurs primaires. Ces peurs sont déclenchées par des situations qui poussent à faire des choix et dans l’observation neutre des pensées émotions inhérentes à la condition humaine, dans le mouvement créé par la dynamique des contraires, revenir à l’écoute des besoins essentiels tant physiques que spirituels, se traiter avec douceur, permet de surfer sur les vagues.

vendredi 28 avril 2017

« Garde confiance en la puissance de l’amour, de l’acceptation, de l'observation neutre »





27 04 Ce matin après 48 heures à maintenir mon désir de paix et d’unité, les douleurs violentes aux reins se sont calmées et l’espérance est à nouveau présente. Ceci dit espérance non pas en un monde meilleur dès demain ou après les élections mais en la possibilité de s’affranchir de toute forme d’attachement excessif, de toute violence envers soi-même et envers toute vie. Ou en d’autres termes, l’espoir en la possibilité de vivre dans la paix, l’harmonie, l’équilibre, la tempérance, à l’intérieur, dans le respect mutuel entre tous les aspects de l’être.
Par nature, le système électoral qui consiste à choisir un camp, fait émerger toutes les luttes humaines, les conflits et les divisions, les peurs. Chacun défend ses intérêts, son clan, sa tribu, sa vision d’un monde idéal, sans se rendre compte que tout ce qui se passe à l’extérieur est le reflet de ce qui se vit en soi. 
Et bien évidemment que c’est à l'intérieur qu’il faut « agir », choisir.

Savoir déjà cela est essentiel parce qu’on aborde les choses avec du recul, on ne se laisse pas embarquer par les mouvements de masse même si il y a une force dans l’union, dans le fait de porter une intention commune.
Comme les pensées, les émotions et les intentions c’est de l’énergie et de l’énergie qui en se rassemblant selon la résonance vibratoire, selon la similitude des fréquences, créé une masse énergétique où on peut puiser, les choix que nous faisons sont déterminants.

Ces égrégores peuvent nous donner un semblant de force mais celle-ci se nourrit de notre souffrance, de notre mal-être, de la division et du conflit interne tant que nous ne sommes pas conscients de tous ces mécanismes et si nous nous identifions à la personnalité qui se croit seule et impuissante.

« Écarter le voile de la souffrance » Message de l'Ami (Jésus) reçu par Agnès Bos-Masseron





Question sur la difficulté à ne pas se sentir pris par la souffrance dans le monde, à mettre son attention seulement sur la lumière. Comment le changement se produit-il ? Y a-t-il séparation du monde de troisième dimension ?
L'Ami répond :
La réponse n'est pas dans l'absolu. Que fait chaque être de ce nouvel âge ? En quoi et avec quelle intensité chaque être crée-t-il par sa vision le nouvel âge ? Il n'y a pas de fragmentation entre la troisième dimension, la quatrième, la cinquième, la sixième, la septième… Les dimensions n'existent pas. L'on ne parle là que d'illusions, de voiles ou de projections.
La dévotion est de maintenir la vision de "seule est la lumière". Cela n'inclut pas la perception de la souffrance. Cela n'exclut pas l'intensité de compassion. 
La dévotion est de rappeler à chaque être la dimension la plus subtile, la plus heureuse, la plus totale. La dévotion est de n'animer que l'harmonie.

La souffrance n'existe pas. Il existe des jugements sur des événements, des enfermements sur des points de vue. L'on peut prendre la même situation, elle peut être vécue avec bonheur infini par une personne, avec malheur infini par un autre être.

La création n'est pas figée. Le regard manifeste la création. La dévotion est de s'abstraire de cette adhérence à l'illusion de la souffrance.