mardi 2 mai 2017

« Douceur, tendresse, souplesse, flexibilité, jusque dans les gestes »





1 05 Je ne reviendrais pas sur ce que j’ai écrit hier parce que tout se passe dans le présent mais il est clair que j’ai mal compris le message du corps physique au travers de la douleur dans le bas du dos. Et surtout, au lieu de lâcher prise, j’ai essayé de forcer la guérison en pensant que la compréhension intellectuelle était suffisant. Même si le mental émotionnel ont été apaisé, le message essentiel doit être appliqué en permanence: douceur, tendresse, souplesse, flexibilité jusque dans les gestes !

La douleur qui est revenue m’a ramenée à ces vérités essentielles et suffisantes :
Le corps physique est autonome et intelligent, tout à fait apte et d’ailleurs naturellement programmé pour s’auto-guérir, pour réguler les systèmes et maintenir la cohérence, l’harmonie, gage de santé.

L’inconscient qui est éclairé par la source ou le fait de prendre conscience des phénomènes internes, des stratégies, amène des ajustements pendant le sommeil où l’émotionnel évacue le trop plein, est où la conscience ‘divine’ ajuste les anciennes croyances à la nouvelle vision.

Les symptômes physiques sont des messages et surtout des appels à être présent à soi, afin de répondre aux besoins vitaux tels que le boire, le manger et le sommeil. 
Ces besoins ne sont pas les mêmes selon les ajustements qui se créent en soi.

dimanche 30 avril 2017

« Le calme après la tempête »





29 04 Il semble que la grosse vague soit passée. Les mêmes symptômes apparaissent, constipation, vertiges, palpitations, la même sensation d’arriver dans un cul de sac puis une fois que la vague émotionnelle a été offerte à la source, celle d’avoir passé un nouveau cap, d’avoir intégré une nouvelle énergie, d’être plus déterminée dans ce choix de maintenir la paix et l’unité intérieures. Les choses sont perçues avec plus de légèreté, moins d’attachement, il s’en suit une nouvelle façon d’avancer et la foi est plus ancrée, plus forte. 

J’ai dû accueillir la peur de se positionner dans le monde et avant ça, retrouver le centre, la stabilité, l’ancrage dans le cœur. Utiliser l’effet miroir pour sonder ses profondeurs et revenir à ses propres challenges, retrouver la paix et la stabilité psycho-émotionnelle puis enfin revenir à la joie, se laisser guider par l’enthousiasme en toute confiance.
La douleur m’a ramenée dans mon corps physique non pas pour établir un diagnostic mais pour aborder cela de façon neutre et faire ressurgir le désir d’être tout simplement. 

Les vagues énergétiques dues autant aux éruptions solaires qu’à l’élévation du taux vibratoire de la planète et à l'énergie de division liée aux élections, font émerger les peurs primaires. Ces peurs sont déclenchées par des situations qui poussent à faire des choix et dans l’observation neutre des pensées émotions inhérentes à la condition humaine, dans le mouvement créé par la dynamique des contraires, revenir à l’écoute des besoins essentiels tant physiques que spirituels, se traiter avec douceur, permet de surfer sur les vagues.

vendredi 28 avril 2017

« Garde confiance en la puissance de l’amour, de l’acceptation, de l'observation neutre »





27 04 Ce matin après 48 heures à maintenir mon désir de paix et d’unité, les douleurs violentes aux reins se sont calmées et l’espérance est à nouveau présente. Ceci dit espérance non pas en un monde meilleur dès demain ou après les élections mais en la possibilité de s’affranchir de toute forme d’attachement excessif, de toute violence envers soi-même et envers toute vie. Ou en d’autres termes, l’espoir en la possibilité de vivre dans la paix, l’harmonie, l’équilibre, la tempérance, à l’intérieur, dans le respect mutuel entre tous les aspects de l’être.
Par nature, le système électoral qui consiste à choisir un camp, fait émerger toutes les luttes humaines, les conflits et les divisions, les peurs. Chacun défend ses intérêts, son clan, sa tribu, sa vision d’un monde idéal, sans se rendre compte que tout ce qui se passe à l’extérieur est le reflet de ce qui se vit en soi. 
Et bien évidemment que c’est à l'intérieur qu’il faut « agir », choisir.

Savoir déjà cela est essentiel parce qu’on aborde les choses avec du recul, on ne se laisse pas embarquer par les mouvements de masse même si il y a une force dans l’union, dans le fait de porter une intention commune.
Comme les pensées, les émotions et les intentions c’est de l’énergie et de l’énergie qui en se rassemblant selon la résonance vibratoire, selon la similitude des fréquences, créé une masse énergétique où on peut puiser, les choix que nous faisons sont déterminants.

Ces égrégores peuvent nous donner un semblant de force mais celle-ci se nourrit de notre souffrance, de notre mal-être, de la division et du conflit interne tant que nous ne sommes pas conscients de tous ces mécanismes et si nous nous identifions à la personnalité qui se croit seule et impuissante.

« Écarter le voile de la souffrance » Message de l'Ami (Jésus) reçu par Agnès Bos-Masseron





Question sur la difficulté à ne pas se sentir pris par la souffrance dans le monde, à mettre son attention seulement sur la lumière. Comment le changement se produit-il ? Y a-t-il séparation du monde de troisième dimension ?
L'Ami répond :
La réponse n'est pas dans l'absolu. Que fait chaque être de ce nouvel âge ? En quoi et avec quelle intensité chaque être crée-t-il par sa vision le nouvel âge ? Il n'y a pas de fragmentation entre la troisième dimension, la quatrième, la cinquième, la sixième, la septième… Les dimensions n'existent pas. L'on ne parle là que d'illusions, de voiles ou de projections.
La dévotion est de maintenir la vision de "seule est la lumière". Cela n'inclut pas la perception de la souffrance. Cela n'exclut pas l'intensité de compassion. 
La dévotion est de rappeler à chaque être la dimension la plus subtile, la plus heureuse, la plus totale. La dévotion est de n'animer que l'harmonie.

La souffrance n'existe pas. Il existe des jugements sur des événements, des enfermements sur des points de vue. L'on peut prendre la même situation, elle peut être vécue avec bonheur infini par une personne, avec malheur infini par un autre être.

La création n'est pas figée. Le regard manifeste la création. La dévotion est de s'abstraire de cette adhérence à l'illusion de la souffrance.

mercredi 26 avril 2017

« Utiliser les réactions internes pour faire des choix qui nourrissent nos aspirations profondes »





Aujourd’hui, la pluie ininterrompue me cantonne à la maison et dans un sens ça me permet de calmer le rythme effréné que j’avais adopté depuis quelques jours. 
Pas facile de sortir de la dynamique de l’urgence, du stress et du devoir mais en prenant conscience de cela, déjà on peut agir et changer sa vibration. 

Ceci dit, c’est un tour de rein qui m’a obligé à me poser et à revoir mon attitude. C'est souvent comme ça qu'on est amené à se poser, à se centrer afin de revenir à la raison du coeur. Les réactions physiques nous ramènent vers l'intérieur, dans l'écoute, l'observation, la remise en question.
Comme les fraises murissent en même temps, et comme c’est la pleine saison j’en récolte de plus en plus. J’en profite pour désherber en même temps ce qui fait que j’y passe près d’une heure à chaque fois et hier j’en ai récolté pas loin de 3 kilos qu’il faut laver et poser délicatement une par une sur un tissu propre pour qu’elles ne s’abîment pas. 

Bien que je dispose librement de tout mon temps, je courre et finalement brasse du vide parce que j’agis sur la fréquence de l’urgence comme je l’ai toujours fait. 
Changer des habitudes si fortement ancrées demande d’être attentif et comme on agit généralement par automatisme, ça représente un challenge. 
Le mental sait ce qui est à faire mais pour que le changement s’installe, cela exige une présence constante à soi. 

Comme je le disais dans l’article d’hier, j’ai investi dans une formation pour arrêter de fumer alors que je n’ai pas décidé encore de m’y mettre mais comme l’élan spontané et enthousiaste m’a guidée, je n’ai pas hésité.

mardi 25 avril 2017

« Revenir à l’intérieur quand l’extérieur nous bouscule »




24 04 Ce matin le ciel est gris et plutôt que de m’en plaindre machinalement, j’y vois l’occasion de pouvoir aller au jardin à n’importe quel moment de la journée. 
L’année dernière je serais restée focalisée sur l’aspect que j’aurais qualifié de négatif et j’aurais même pu voir en ce ciel gris, la conséquence du vote d’hier, l’image de ma déception mais au lieu de ça, je m’adapte à la situation, j’offre à la source les pensées de victime ou dit autrement je ne m’attache à rien de ce qui émerge en moi, aux pensées inhérentes à ce rôle et je laisse venir l’inspiration afin de m’adapter au mieux à ce qui est. 

Habituellement, je dois rentrer à partir de midi à cause de la chaleur et arroser tous les soirs. C’est donc un ‘jour de repos’. J’ai presque tout semé mais comme il y a toujours du désherbage à faire, une heure d’arrosage en moins est bienvenue. 
J’aime le jardin mais pas au point d’y passer la journée. 
C’est important de varier les activités, ça évite de se lasser, de tomber dans la routine et ça nourrit ainsi la joie, le plaisir qui vient quand on agit spontanément selon la guidance du cœur. 
La victime accuse toujours l’extérieur, les circonstances de son mal-être, de ces sautes d’humeur parce qu’elle n’est pas consciente que ce qu’elle vit est intérieur et que les changement se réalisent en devenant conscient des mécanismes internes et de son pouvoir de choisir ce qu’elle veut croire, nourrir et donc vibrer. 
Il y a là une part d’ignorance et de peur de devenir responsable de ses mondes, de ses pensées, de ses choix et de ses actes.

dimanche 23 avril 2017

« Élire la voix du cœur, de l’unité »





22 04 Je suis émue ce matin en trouvant dans ma boite mail, des messages qui répondent à ma demande de soutien. Il est vrai qu’en période électorale et lorsqu’en plus, un événement dramatique se produit, les énergies, les égrégores, la conscience de masse, bousculent les individus et perturbent l’atmosphère. L’ambiance est lourde, électrique, plombée par le combat qui se livre en chacun, à l’intérieur, à l’image de ce qui se passe sur le terrain. 
Puis on constate qu’il suffit de très peu pour qu’on se laisse embarquer par les programmes basés sur la prédation, la peur, la notion de séparation, la division,  qui s’enclenchent automatiquement sans que notre conscience le veuille.

La plupart des humains aspirent à la paix même si la jeunesse bataille et fait mine d’y prendre goût ou croit qu’il n’y a pas d’autres issue que d’être compétitif pour avoir une place au soleil. 
Tout au fond de chacun, des besoins vitaux reconnus comme tels par la science, animent tout être vivant ; celui d’aimer, d’être aimé, de vivre dans la paix et la joie. 

Ces aspirations qui s’expriment dans un corps de chair qui porte les traces génétiquement de traumas et de réponses toutes faites sensés les guérir, trouvent rarement une satisfaction durable et entière selon les stratégies de survie. 

Même si les mentalités ont évolué, pendant très longtemps, la règle des humains c’était « œil pour œil, dent pour dent » et elle reste en vigueur dans plusieurs parties du monde, dans des cœurs fragilisés par les blessures ou des esprits ignorants de leur vraie nature.