mercredi 26 avril 2017

« Utiliser les réactions internes pour faire des choix qui nourrissent nos aspirations profondes »





Aujourd’hui, la pluie ininterrompue me cantonne à la maison et dans un sens ça me permet de calmer le rythme effréné que j’avais adopté depuis quelques jours. 
Pas facile de sortir de la dynamique de l’urgence, du stress et du devoir mais en prenant conscience de cela, déjà on peut agir et changer sa vibration. 

Ceci dit, c’est un tour de rein qui m’a obligé à me poser et à revoir mon attitude. C'est souvent comme ça qu'on est amené à se poser, à se centrer afin de revenir à la raison du coeur. Les réactions physiques nous ramènent vers l'intérieur, dans l'écoute, l'observation, la remise en question.
Comme les fraises murissent en même temps, et comme c’est la pleine saison j’en récolte de plus en plus. J’en profite pour désherber en même temps ce qui fait que j’y passe près d’une heure à chaque fois et hier j’en ai récolté pas loin de 3 kilos qu’il faut laver et poser délicatement une par une sur un tissu propre pour qu’elles ne s’abîment pas. 

Bien que je dispose librement de tout mon temps, je courre et finalement brasse du vide parce que j’agis sur la fréquence de l’urgence comme je l’ai toujours fait. 
Changer des habitudes si fortement ancrées demande d’être attentif et comme on agit généralement par automatisme, ça représente un challenge. 
Le mental sait ce qui est à faire mais pour que le changement s’installe, cela exige une présence constante à soi. 

Comme je le disais dans l’article d’hier, j’ai investi dans une formation pour arrêter de fumer alors que je n’ai pas décidé encore de m’y mettre mais comme l’élan spontané et enthousiaste m’a guidée, je n’ai pas hésité.

mardi 25 avril 2017

« Revenir à l’intérieur quand l’extérieur nous bouscule »




24 04 Ce matin le ciel est gris et plutôt que de m’en plaindre machinalement, j’y vois l’occasion de pouvoir aller au jardin à n’importe quel moment de la journée. 
L’année dernière je serais restée focalisée sur l’aspect que j’aurais qualifié de négatif et j’aurais même pu voir en ce ciel gris, la conséquence du vote d’hier, l’image de ma déception mais au lieu de ça, je m’adapte à la situation, j’offre à la source les pensées de victime ou dit autrement je ne m’attache à rien de ce qui émerge en moi, aux pensées inhérentes à ce rôle et je laisse venir l’inspiration afin de m’adapter au mieux à ce qui est. 

Habituellement, je dois rentrer à partir de midi à cause de la chaleur et arroser tous les soirs. C’est donc un ‘jour de repos’. J’ai presque tout semé mais comme il y a toujours du désherbage à faire, une heure d’arrosage en moins est bienvenue. 
J’aime le jardin mais pas au point d’y passer la journée. 
C’est important de varier les activités, ça évite de se lasser, de tomber dans la routine et ça nourrit ainsi la joie, le plaisir qui vient quand on agit spontanément selon la guidance du cœur. 
La victime accuse toujours l’extérieur, les circonstances de son mal-être, de ces sautes d’humeur parce qu’elle n’est pas consciente que ce qu’elle vit est intérieur et que les changement se réalisent en devenant conscient des mécanismes internes et de son pouvoir de choisir ce qu’elle veut croire, nourrir et donc vibrer. 
Il y a là une part d’ignorance et de peur de devenir responsable de ses mondes, de ses pensées, de ses choix et de ses actes.

dimanche 23 avril 2017

« Élire la voix du cœur, de l’unité »





22 04 Je suis émue ce matin en trouvant dans ma boite mail, des messages qui répondent à ma demande de soutien. Il est vrai qu’en période électorale et lorsqu’en plus, un événement dramatique se produit, les énergies, les égrégores, la conscience de masse, bousculent les individus et perturbent l’atmosphère. L’ambiance est lourde, électrique, plombée par le combat qui se livre en chacun, à l’intérieur, à l’image de ce qui se passe sur le terrain. 
Puis on constate qu’il suffit de très peu pour qu’on se laisse embarquer par les programmes basés sur la prédation, la peur, la notion de séparation, la division,  qui s’enclenchent automatiquement sans que notre conscience le veuille.

La plupart des humains aspirent à la paix même si la jeunesse bataille et fait mine d’y prendre goût ou croit qu’il n’y a pas d’autres issue que d’être compétitif pour avoir une place au soleil. 
Tout au fond de chacun, des besoins vitaux reconnus comme tels par la science, animent tout être vivant ; celui d’aimer, d’être aimé, de vivre dans la paix et la joie. 

Ces aspirations qui s’expriment dans un corps de chair qui porte les traces génétiquement de traumas et de réponses toutes faites sensés les guérir, trouvent rarement une satisfaction durable et entière selon les stratégies de survie. 

Même si les mentalités ont évolué, pendant très longtemps, la règle des humains c’était « œil pour œil, dent pour dent » et elle reste en vigueur dans plusieurs parties du monde, dans des cœurs fragilisés par les blessures ou des esprits ignorants de leur vraie nature.

« Vous avez un Corps Multidimensionnel… » Lisa Brown





Vous n’avez pas un corps humain … vous avez un corps multidimensionnel qui était endormi, qui est entré dans un sommeil inconscient en ‘essayant’ de s’insérer dans une existence humaine et qui s’éveille maintenant à l’existence multidimensionnelle enfin / encore une fois ici-bas .…

Vous avez un ‘corps’ qui n’est plus capable de réprimer …
Vous avez un ‘costume’ pour contenir toute votre lumière …
Vous avez un vaisseau pour vous transporter de l’autre côté …
Vous avez une petite embarcation … que vous dirigez, que vous conduisez, dans laquelle vous volez fréquemment lorsque vous flottez pour vous élever …
Vous avez un conteneur qui tente de maintenir la PURETÉ que vous ÊTES, mais il peut à peine le faire …*

Vous avez une forme … et voilà … c’est une chose que vous avez créée pour contenir l’immensité que vous êtes … Univers / Galaxies et Pure Source de Lumière dans le physique, ce physique ici-même .…

Vos Particules Stellaires, votre Essence, votre Divinité, vous EN TANT QUE SOURCE … Créateur …. et cette forme doit constamment changer et s’adapter, alors que vous INTÉGREZ de nouveaux aspects en vous ...

« Une énergie de nouvelle perspective sur votre incarnation » les guides de l’unité via Daniel Desjardins





« Très chers amis humains, 
C'est toujours une grande joie que de nous adresser directement à vous ainsi! Aujourd'hui, nous aimerions vous apporter une nouvelle énergie, une nouvelle énergie pour vous permettre d'avoir une nouvelle perspective sur votre incarnation. 
Vous avez toujours, à l'intérieur de vous, cette flamme, cette puissance qui vous habite. 

Lorsqu'elle s'anime, vous vous méprenez parfois, vous prenez cette grande énergie, cette grande vibration pour de la peur. Vous tremblez parfois face à sa puissance.

Aujourd'hui, nous vous invitons à tendre les mains devant vous et à recevoir ce cadeau que nous vous transmettons. Nous vous transmettons une énergie que nous vous invitons à recevoir pleinement: dans vos mains tout d'abord. Nous vous invitons à laisser cette énergie imprégner tout votre corps, tout votre être afin de permettre à toutes vos cellules, à votre ADN, de s'y acclimater. 
Vous percevrez peut-être cette énergie comme une jolie fleur rouge. 
Permettez à cette énergie de remonter le long de vos bras, s'étendre à tout votre corps du haut jusqu'au bout des orteils. 
Et maintenant, nous vous invitons à prendre et porter cette fleur et la porter jusqu'à votre cœur, et là, doucement, la coller sur votre poitrine afin de lui permettre de fusionner avec tout votre être.

vendredi 21 avril 2017

« Sortir de sa zone de confort et s’affirmer dans ses choix »





La semaine a été très mouvementée et je peux constater l’importance de suivre son objectif principal, celui qui concerne l'état d'être. Ce qui demande déjà de savoir le définir précisément.
Après avoir été agréablement surprise de constater que j’avais oublié de prendre un tiers de la dose de médicaments lundi, sans en souffrir, j’ai constaté comment le manque apparaissait au bout de trois jours et amenait de la confusion en moi.

Maintenant que je ne considère plus les émotions comme des ennemis et que je sais les aborder sans crainte, je ne m’y identifie plus aussi facilement et même si c’est parfois douloureux le temps que l’émotion s’exprime, la paix et la clarté reviennent rapidement. 

La peur vient toujours de l’ignorance, de l’inconnu et le fait de connaitre les mécanismes psycho-émotionnels est d’un grand secours. Dès lors, on ne lutte plus contre ce qui se manifeste, on n’y accorde plus de crédit sans pour autant nier ou rejeter ce qui est.

Entre l’oubli de la dose nécessaire à l’équilibre interne et l’invitation à contacter à nouveau l’association agir ensemble qui met en relation les gens en demande d’aide et les potentiels employés dans le service à la personne, les corps mental et émotionnel ont été chamboulés dans leurs fondements. Et finalement, c'est une très bonne chose.

lundi 17 avril 2017

« Sortir du triangle dramatique : victime/bourreau/sauveur »





Ce qui nous libère de la souffrance, du passé, des rôles, de l’illusion, c’est le fait d’être conscient de qui nous sommes. De tout ce que nous sommes et de la façon dont nous fonctionnons en tant qu’être multidimensionnel. Tant les systèmes internes de survie que l’essence et la conscience lucide et bienveillante qui observe tous ces phénomènes.

Comment donc le faire ? En identifiant les voix intérieures et en ne les croyant pas ou en considérant que ce sont des voix du passé, de l’enfance, de la souffrance, des mécanismes automatiques de survie, des réponses instinctives, impulsives, animales. 
Mais ces voix ont aussi leur raison d’être puisqu’elles révèlent nos besoins, nos talents, nos préférences, notre moi véritable. 
Des voix que l’on va écouter afin de percevoir celle de l’âme ou de la sagesse, ou encore de la bienveillance. Et dans l’observation neutre, on va pouvoir ressentir la présence silencieuse et neutre de l’être divin, éternel, ou de la conscience qui perçoit au-delà de l’illusion, des masques et croyances. 

Parmi ces voix on va comprendre que notre personnalité endosse des rôles que le psychologue Karpman a décrits dans les années soixante. Il a appelé les interactions entre la victime, le bourreau et la sauveur, le triangle dramatique. 
Chacun d’eux emploie un vocabulaire particulier et se voit, voit le monde, selon ses propres croyances, blessures et conditionnements. 
Leur mode de pensée, leur comportement sont régit selon le mode de survie et les réponses automatiques, les stratégies inconscientes sont élaborées à partir des mêmes croyances qui caractérisent précisément chaque rôle.