lundi 26 décembre 2016

« Passer à travers le temps des fêtes et de votre vie avec Amour » les guides de l‘unité via Daniel Desjardins






Très chers amis humains,
Aujourd'hui, nous désirons vous parler avec Amour et sans jugement à propos des énergies récurrentes en ces temps de l'année. Tous les humains, sans exception, ressentent un mélange de pression, d'excitation et certains transforment cela en une grande énergie créatrice alors que d'autres l'utilisent pour se détruire. 

Nous voulons vous aider à mieux comprendre et mieux gérer ces énergies, car il y a un grand mélange, un grand tourbillon et certaines parties proviennent du collectif humain et d'autres viennent de l'Univers qui vous entoure.

Les énergies de l'Univers, à ce temps-ci de l'année, sont en pleine transition. 
Vous vivez le passage d'une année à une autre, et cela depuis quelques jours et pour encore quelque temps. 
La transition d'une année à une autre ne se fait pas en une journée, elle se fait au fur et à mesure d'une transformation des énergies qui vous entoure et déclenche en tous, et même dans l'univers et la création qui vous entoure, des transformations. 

Vous ressentez cette transformation de l'intérieur vers l'extérieur et tout cela crée une certaine incertitude et c'est en grande partie cela que vous ressentez et qui sous-tend tout le reste. 
Le collectif humain grouille de dualités, de peurs, de peur de manque, de peur d'être seul, mais en même temps de jugements et c'est sur cet aspect que nous désirons nous attarder aujourd'hui pour vous aider. 

dimanche 25 décembre 2016

« La puissance de la vibration infinie d’amour inconditionnel ! »





24/12 J’ai encore envie d’écrire ce matin, enfin cette après midi et je ne m’en prive pas. Plus ça va et plus je me dis qu’écouter son corps physique et suivre chacune de ses envies est essentiel. 
C’est une guidance permanente qui utilise chaque corps subtil, chaque cellule, chaque atome, chaque connexion  neuronale et réaction chimique pour nous conduire par la main avec pour seul guide, la vibration de la joie.

La joie, c’est la raison d’être de l’âme et du Soi qui en décidant de venir s’incarner dans un corps de chair, s’unissent, associent leurs vibrations, leur mélodie respective pour chanter la gloire du vivant. Je n’ai pas le bonheur d’être parent mais la connaissance de ce que je suis, absorbe ce qui pourrait être une souffrance en me montrant que tout est création, que l’acte de créer n’a pas de limites ni dans la forme ni dans l’espace. 
Et à mesure que je prends conscience de toutes ces intelligences qui forment l’être que je suis, à mesure que le dialogue intérieure est plus aimant, plus tendre, la sensation d’expansion s’installe, le désir d'habiter cet univers intérieur augmente, la sensation d'être privilégiée de pouvoir vivre cette communion avec tous les règnes, éléments, aspects de l'être qui me constitue.

Puis la sensation d’unité intérieure se reflète aussi vers l’extérieur parce qu’en fait il n’y a pas de séparation ni dans l’espace, ni dans le temps. Quel plus bel hommage peut-on rendre à la vie que de la chérir en soi, en manifestant la joie d’être.

samedi 24 décembre 2016

« Il était une foi…à l’infini » & conte de Magali





Aujourd’hui, tout est calme, ouvert et souriant à l'intérieur faisant écho au beau ciel bleu ensoleillé et au temps clément qui m'a permis de ne pas allumer le poêle depuis hier. 
Non seulement il ne fait pas froid mais en plus, comme l'énergie vitale, l'énergie du désir, de la joie, circule de façon de plus en plus fluide, c'est vivifiant et calorifère. 

L’écoute et l’accueil des émotions refoulées a produit son effet libérateur et les contes ont ouvert l’imaginaire. C’est très instructifs de se laisser bercer par la narration de ces expériences de vie si extraordinaires parce qu’elles portent des enseignements que l’âme peut capter et transformer en leçon de sagesse. 

Plus ça va et plus je suis consciente et convaincue que Tout est en soi. 
Tout ce qu’on cherche à l’extérieur et même les signes, les visions, les contacts extra-terrestres, avec les entités de l'espace, des mondes invisibles. 
On n’est pas assez attentif à nos mondes intérieurs et tellement effrayé par l’inconnu qu’on ne voit pas tout ce potentiel à notre disposition.

L’amour qui est reliance, communication, échange équitable, est notre essence primordiale, l’énergie et la vibration qui nous anime et nous donne l’élan d’agir, qui a poussé notre âme à venir s’incarner, est à portée de main, c'est tout ce que nous sommes, perçu dans l'unité et l'harmonie. 
On le cherche au dehors parce qu’on ne comprend pas sa nature. Mais nous avons progressé dans nos recherches, notre compréhension, en venant dans ce monde d'illusion, de séparation...

vendredi 23 décembre 2016

« Accueillir ce qui émerge des profondeurs » & « Contes des mille et une nuits »





Aller au cœur de soi-même, chercher l’être authentique, la vérité de l’être, c’est nécessairement passer par les épaisses couches de tristesse, de colère, de peurs, de culpabilité, de honte, c’est oser enfin regarder en soi tout ce qui nous empêche de sentir l’amour que nous sommes. 
Nous avons toujours inconsciemment ou parce que nous nourrissons de fausses croyances au sujet de l'amour, repoussé ce moment parce que nous pensions que pour manifester notre essence, l’amour et la lumière que nous sommes, nous devions être bon et donc nier toutes ces pensées émotions douloureuses. 

Nous avons pensé en tant qu’enfant que pour être aimé, il nous fallait agir de façon à mériter l’amour de nos parents, et donc faire tout ce qu’ils attendaient de nous. Quand leurs attentes étaient injustes ou indues, nous n’avions pas le pouvoir de nous y opposer et ce fait a induit en nous toutes sortes de croyances quand à notre valeur. 
Nous avons éprouvé de la honte, de la culpabilité, un sentiment d’injustice, de trahison et cela a crée en notre cœur autant de cicatrices qu’il a fallu anesthésier en nous coupant de ce dernier. Toutes ces croyances trouvent leur origine dans la perception que nous avons de dieu, dans l'idée de séparation nourrie depuis des siècles par l'humanité, par nos ancêtres. Pour l'enfant, dieu, c'est son père, sa mère, ce sont ces seules références. 
On peut aisément comprendre la confusion qui vient de cette association malheureuse.

Quand on décide d’emprunter le chemin qui va de la tête au cœur, nous sommes face à ces blessures, ces pensées d’injustice éprouvées alors, tout revient à la surface mais nous continuons par réflexe de les rejeter, de les nier, de juger ces émotions et de nous faire le reproche de porter encore de tels sentiments alors que nous sommes adultes et prétendument sages.

mercredi 21 décembre 2016

« Transparence, authenticité, dans la relation à l’âme » & « 7ème reconnexion âmique » guidée par Magali and cie






Ce matin et depuis hier soir, la connexion Internet se coupe et comme un voyant bleu s’allume, l’idée que des mises à jour s’effectuent m’a évité de paniquer. Puis cette intuition m'a été confirmée en allant sur le site du serveur.
Je parle de panique parce que c’est clair que je suis dépendante de cette connexion qui constitue mon ouverture au monde, aux âmes sœurs, et qui me permet de m’affirmer en tant qu’individu en partageant ma vision et mon expérience. 
J’en suis dépendante mais comme j’accepte ce fait, déjà, ça m’évite de nourrir la culpabilité, l’idée de perfection qui colle la pression et maintient dans les jeux de rôles, dans l’illusion. 
Puis comme l’extérieur reflète ce que je vis à l’intérieur, je peux aussi affirmer que je suis dépendante de la connexion à l’âme, au divin, à la source. Plus qu'une dépendance, il s'agit d'une reconnaissance de l'essence vitale qui m'anime, de mes origines...

Ce thème de la dépendance est important dans ma vie et j’ai longtemps considéré que c’était une tare, une faiblesse, que de dépendre de l'amour des autres alors je luttais contre cette idée qui m’insupportai parce que dépendre des autres, de leur amour, amène nécessairement à souffrir. 
Puis la foi m’a ouvert un nouveau chemin, une compréhension plus vaste de ce que je suis, de la vie et du divin en soi. Maintenant, je reconnais complètement cette dépendance à la source qui me préserve de la souffrance et de l’attachement aux humains. 

Placer sa confiance en l’âme, en la présence, en la famille intérieure, en ses corps, rend autonome affectivement et c’est quelque chose d’essentiel parce que lorsque le contact est établit, lorsque la communication intérieure peut se faire librement, on entre dans un nouveau monde, celui de l’amour pur.

mardi 20 décembre 2016

« Pouvoir être en paix avec ce qui est, ramène à l’humilité, à la gratitude, à la confiance... »





Ce matin, je suis en mode réceptif, attentif, détendu. Le fait d’avoir pris l’habitude de laisser les pensées émotions défiler sans les retenir, semble libérer de l’espace à l’intérieur. Une nouvelle façon de voir, d’être et de créer s’est installée nourrissant la joie, la capacité d’émerveillement qui vient de la confiance en la vie, du fait que la réalité se situe au-delà des apparences. 
Se laisser guider par l’âme, par l’élan spontané, par la joie, libère l’enfant intérieur du poids du passé, des habitudes et des conditionnements douloureux. 

C’est vrai que tant qu’on doute de cette capacité de changer et du fait qu’il suffit de tout confier à son cœur, on peut passer par des moments difficiles puisque les pensées émotions qui ont été prises dans la glace de notre inconscient ont besoin d’être libérées. Et pour cela, il faut orienter l’amour lumière en leur direction afin que la chaleur fasse fondre la glace et que l’énergie puisse circuler à nouveau. 
Dit autrement, il faut laisser ces pensées émotions difficiles, celles qui nourrissent le manque d’amour de soi, remonter à la surface et les observer sans jugement, les ramener à la conscience et les inonder d’amour. 
Les inonder d’amour revient à ne pas les juger, ne pas les rejeter, ne pas les qualifier mais juste les laisser passer, les laisser s’exprimer sans s’y attacher.

C’est fascinant comme processus parce qu’on peut sentir notre taux vibratoire qui change et la joie finit toujours pas se manifester. Parce que la joie est notre nature véritable, c’est l’élan de notre âme, son moteur d’incarnation, c’est ce désir d’être, d’expérimenter, de cocréer, qui la pousse à plonger dans l’incarnation. 

lundi 19 décembre 2016

« L’intention qui porte les choix, les actes, est déterminante, essencielle » & conférences Magali et Isabelle Padovani





18 12 Je continue d’être bien dans ma peau, dans l’accueil, la douceur et la paix. 
L’énergie de la lune est une invitation à sonder ses mondes intérieurs et une activation du féminin sacré, de ce pouvoir d’accueil, de cette capacité à prendre soin de la vie, de la chair, de l’élan à contribuer, à nourrir, à étendre sa compassion sur les aspects de l’être, à ouvrir son cœur à la tendresse…
Quand on considère les choses d’un point de vue énergétique, vibratoire, on abandonne les images et les représentations ( saints, maitres ascensionnés, modèles) pour entrer dans le monde des sensations. Les émotions deviennent des guides et leur vibration nous relie à des fréquences, des êtres, des dimensions, en résonance.
On a moins besoin des images, des modèles, des interprétations, parce que la sensation parle d’elle-même et l’ouverture de cœur, la capacité d’accueillir c’est aussi celle de recevoir l’intuition, l’inspiration, d’être à l’écoute, d’observer de façon neutre et ainsi de pouvoir percevoir ce qui est au-delà de l’image, de l’apparence. 

Cela n’enlève rien à l’image ou à la représentation mais de ce point de vue, depuis la paix et l'unité intérieures, on voit avec clarté, en profondeur, et plus seulement de façon superficielle selon des croyances limitantes et les conditionnements humains. 
La vision est élargie et approfondie parce que le ressenti s’y ajoute et comme dans un esprit d’unité, les corps sont alignés, ils perçoivent ensemble et simultanément, la situation, la personne, les aspects internes ou l’environnement.